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Un autre nouvel an Chinois, sans réunion pour des milliers de familles brisées – Partie 3

21 février 2005

Suite…

(Minghui.org)

Partie 1: http://fr.minghui.org/news/0502/19/E57478_20050213_fr.htm

Partie 2 : http://fr.minghui.org/news/0502/20/E57536_20050214_fr.htm

3. Les familles des pratiquants de Falun Gong sont détruites par le groupe de Jiang et le PCC

Jiang Zemin, le chef des auteurs de crimes ainsi que son groupe, responsables d’avoir initié la persécution, ont diffamé le Falun Gong en utilisant les outils médiatiques de toute la nation pour ainsi réprimer le Falun Gong et justifier la persécution. Durant les cinq dernières années, le régime communiste de Jiang n’a jamais suivi les lois dans sa persécution du Falun Gong. Plutôt, Jiang Zemin a annoncé des réglementations spéciales ayant spécifiquement trait au Falun Gong : « Ruinez leur réputation, Ruiner-les financièrement, Détruisez-les physiquement, » « Les cas de pratiquants de Falun Gong battus à mort seront considérés comme des suicides, » « Les cas de pratiquants de Falun Gong battus à mort seront directement incinérés sans que le corps soit identifié». Le PCC et le groupe de Jiang ont non seulement persécuté les pratiquants du Falun Gong sans aucun scrupule mais ils ont également eu recours à des méthodes infâmes contre les familles des pratiquants.

Les policiers de la ville de Anshan, province de Liaoning ont enlevé la pratiquante Mme Wu Yuqin et ils ont ensuite battu son mari à mort

Vers 1h00 du matin, le 3 novembre 2004, les officiers du département de police Qianshan de la ville de Anshan ont commis un acte infect. Ils ont envoyé cinq voitures de police et un groupe d’officiers menés par Zhang Chengguo, le chef de la section politique et de la sécurité du département de police. Ensuite, ils sont entrés par effraction dans les maisons de pratiquants de Falun Gong, Jin Ying et Wu Yuqin dans le complexe résidentiel des employés de la mine de fer Qianshan dans la ville de Anshan et ils ont kidnappé Jin Ying et Wu Yuqin pour les amener de force au département de police Qianshan.

Le 7 novembre, le mari de Wu Yuqin, Sun Youlin, qui n’est pas pratiquant de Falun Gong, s’est rendu au département de police de Qianshan porter un gilet à sa femme, mais les policiers ont refusé de lui dire où elle était détenue. Il s’est rendu au centre de détention No.1 et No.2 de la ville de Anshan mais il n’a pas pu trouver sa femme. Il est retourné au département de police de Qianshan pour raisonner avec la police. Encouragés par Zhang Chengguo, plusieurs officiers ont alors attaqué Sun Youlin et l’ont battu à mort. Un trou a été découvert à l’arrière de sa tête et son corps était couvert de brûlures causées par les bâtons électriques.

Pour camoufler le meurtre, la police a amené le corps sans vie de Sun Youlin à l’hôpital central de la ville. Le docteur a vu que Sun Youlin était mort depuis quelques temps ainsi il n’a rien fait. La police a ordonné au docteur d’émettre un document de déclaration de suicide mais il a refusé.

Après la mort de Sun Youqin, les persécuteurs du département de police de Qianshan ont visité la famille de Wu Yuqin trois jours consécutifs et ils leur ont dit que la mort de Sun Youqin n’avait rien à avoir avec eux. Ils ont également dit qu’ils allaient leur remettre 80 000 yuans si la famille ne déposait pas de poursuite judiciaire contre eux. Ils ont également menacé Wu Yuqin : « Nous n’avons pas encore terminé avec toi! »

Des policiers sans loi ont forcé le fils d’un pratiquant, un adolescent à être le témoin de l’autopsie de son père

Le pratiquant de Falun Gong Liu Qiusheng vivait dans le village de Qingdong, ville de Cuimiao, comté de Fuchen, province de Hebei. Le 2 février 2002, la police l’a kidnappé et amené au département de police. Kou Wentong, le député en chef du département de police et Zhang Zhijun, le chef de la division politique et de la sécurité, l’ont attaché et torturé pendant plus d’une heure jusqu’à ce qu’il perde conscience. Nous avons appris, de la part des détenus, que Liu Qiusheng a été par la suite battu à plusieurs reprises et qu’il avait été gavé sur le lit de la mort.

En l’espace de 20 jours, du 2 février au 22 février, cet homme âgé de 44 ans, vigoureux et en santé, a été torturé à mort. Pour dissimuler leur crime, la police, y compris Kou Wentong, s’est rendue chez le secrétaire du Parti du village. Ils ont conspiré et manigancer pour que son fils âgé de 16 ans Liu Dong, quitte son emploi à l’usine et vienne assister comme témoin à l’autopsie de son père Liu Qiusheng.

L’adolescent, Liu Dong, avait déjà tant souffert du fait que son père avait été torturé à mort; il fut sévèrement traumatisé lorsqu’il a vu le médecin ouvrir en le coupant le corps mort de son père. La police a averti la femme de Liu Qiusheng après que l’autopsie fut terminée. Sa femme est venue et elle a vu que les oreilles, le visage, les lèvres, l’épaule droite et le côté droit de sa poitrine étaient noirs et bleus, toutefois le rapport d’autopsie a déclaré : « Aucune blessure externe n’a été trouvée; Liu Qiusheng est mort d’une maladie de cœur adipeuse. »

La femme de Qiusheng a insisté pour engager elle-même un coroner, mais les auteurs du crimes ont refusé sa demande et ont insisté pour faire incinérer immédiatement le corps. La femme et le fils de Liu Qiusheng se sont battus de toute leur force sans résultat. Kou Wentong et d’autres persécuteurs ont appelé plus de 100 durs à cuire. Mené par le chef du département de police, ils ont encerclé la femme de Liu Qiusheng et son fils. Ils les ont immobilisés au sol, ont marché sur leur tête et couvert leur bouche pour les empêcher de crier et de bouger. Un des voyous qui tenait Liu Dong se trouvait à être le faux coroner qui avait « examiné » le corps de Liu Qiuasheng. Les auteurs de crimes ont incinéré à la hâte le corps. Pensant qu’il n’y avait plus rien que les victimes puissent faire sans les preuves, ils ont criés : « À présent, allez-y et poursuivez-nous! ».

La pratiquante de Falun Gong, Mme Gao Feng est torturée à mort; son corps est incinéré et son mari reçoit l’ordre de calomnier le Falun Gong

La pratiquante de Falun Gong Gao Feng, auparavant nommée Gao Xiufeng, vivait dans la commune de Xingsheng, ville de Wuchang, province de Heilongjiang. Elle a été persécutée pour sa pratique du Falun Gong et a dû quitter sa demeure, au début de l’année 2001 pour éviter d’être kidnappée par la police. Trois mois plus tard, le 9 mai, elle est retournée chez elle pour aider au travail dans les champs. Le 12 mai, Zhan Zhigang, le chef député de la section politique et de sécurité du département de police de la ville de Wuchang ainsi que d’autres auteurs de crimes l’ont kidnappée chez elle et l’ont détenue illégalement au centre de détention administratif de prévention de la ville de Wuchang. Elle a fait une grève de la faim pour protester contre la persécution. Sept jours plus tard, le 19 mai, Gao Feng est morte d’un poumon perforé suite au gavage forcé à l’hôpital du peuple de la ville de Wuchang.

Par la suite, la police locale a essayé de faire incinérer le corps mais la famille de Gao Feng a refusé de signer le certificat de décès et a demandé une autopsie. Chen Shuse, le chef député du département de police de la ville de Wuchang a dit : « Tu penses que nous n’incinérerons pas son corps si tu ne le signes pas ? Nous le ferons sans ta signature; c’est une pratique commune à travers le pays. » Il donna l’ordre qu’on incinère le corps. Il ordonna aussi à cinq ou six officiers de police d’attacher Sun Qiang à un autre pratiquant et l’envoya au camp de travaux forcés de Changlinzi.

Après l’incinération Chen Shusen alla chez le mari de Gao Feng, Wu Zhiqiang et dit : Nous te donnerons 60 000 yuans si tu dis que ta femme est morte dû à la pratique du Falun Gong. » Wu Zhiqiang a fermement refusé de trahir sa conscience; alors les autorités ont échoué dans leur tentative malicieuse.

Les camps de travaux et les prisons commettent des crimes puis blanchissent leurs crimes

Pendant les dernières années, les autorités des camps de travaux forcés et des prisons ont délibérément et indirectement tué les pratiquants du Falun Gong pour étouffer toutes preuves de la persécution. Plusieurs pratiquants ont été torturés aux camps de travaux forcés et dans les prisons jusqu’à ce qu’ils soient dans un état misérable, néanmoins les auteurs de crimes de ces endroits ignorent les conditions critiques dans lesquelles se trouvent les pratiquants et ils ne leur procurent aucune aide médicale et n’avertissent leurs famille que lorsque les pratiquants sont morts où sur le point de mourir.

Les familles des pratiquants doivent faire face à des officiers de police ou des gardiens sans loi qui sont endossés par le gouvernement et n’ont nulle part où se tourner pour obtenir justice, ils n’ont aucun autre choix que de ramener leurs bien-aimés, souvent inconscients, à la maison. Plusieurs pratiquants ramenés chez eux de cette façon sont décédés peu après avoir été relâchés.

Le pratiquant de Falun Gong M. Li Guoshun de la commune de Baisha, district de Xinluo, ville de Longyan, province de Fujian

M. Li Guoshun avait 27 ans et diplômé en 1998 à l’école professionnelle industrielle de la ville de Longyan. Il a été enlevé par la police le 23 août 2004 alors qu’il distribuait des documents de clarification de la vérité et a été détenu dans le centre de détention Longyan. Il a fait une grève de la faim pour résister à la persécution. Après 15 jours, le centre de détention l’a envoyé à l’hôpital de la prison Minxi où il a continué sa grève de la faim pendant 25 jours supplémentaires sans recevoir de traitement. Quarante jours plus tard, le 3 octobre 2004, il a été envoyé pour un traitement d’urgence, au 2e hôpital de la ville de Longyan. Il est mort dix jours plus tard le 14 octobre 2004. Pendant sa grève de la faim, la mère de Li Guoshun a demandé par deux fois à ce qu’il soit relâché sous caution d’un traitement médical mais sa demande a été refusée.

La pratiquante du Falun Gong Mme Zhang Haiyan du comté de Heishan, province de Liaoning

La vue courte de Mme Zhang Haiyan ainsi que sa jambe droite déformée se sont rétablie peu après qu’elle ait commencé à pratiquer le Falun Gong. Après le début de la persécution en 1999, elle a persisté à pratiquer le Falun Gong et a résisté à la pression. Elle fut illégalement détenue. Parce qu’elle a refusé de délaisser ses croyances, les auteurs des crimes l’ont suspendue avec les menottes, l’ont attachée avec de la corde et l’ont brutalement battue. Presque deux ans de torture inhumaine l’ont blessée énormément, tant physiquement que mentalement. Au mois de février 2003, lorsque sa famille l’a visitée, ils se sont aperçus que sa tête était enveloppée d’une gaze et que ses mains étaient gravement enflées. Elle n’a pas reconnue sa famille. Un mois plus tard, le 21 mars 2003, les autorités du camp de travaux forcés de Masanjia ont averti sa famille de venir la chercher. Zhang Haiyan avait alors perdu l’esprit complètement et elle ne pouvait plus prendre soin d’elle-même. Elle est décédée au mois de janvier 2004. Son fils de douze ans pleurait en disant : « Je ne vais plus jamais voir maman! »

La pratiquante Mme Wang Fang est morte de la persécution

Wang Fang vivait dans la ville de Hailin, près de Mudanjiang dans la province de Heilongjiang. Alors qu’elle se trouvait illégalement détenue au centre de détention de la ville Mudanjiang, le chef député du centre de détention a frappé sa bouche avec ses pantoufles. Durant sa détention illégale dans le centre de détention Hailin, le gardien Shan Chengqiang a demandé si elle allait encore pratiquer. Wang Fang a dit : « Si je ne peux pas pratiquer ici, je pratiquerai à la maison. » Shan Chengwing a cramponné ses mains avec un outil de torture appelé « bâtons à mains, » rendant ses mains immobiles, enflées et finalement complètement infirmes. Elle fut privée de nourriture pendant neuf jours et neuf nuits et les auteurs de crimes ont fouetté la plante de ses pieds à l’aide de tubes de plastiques. Plus tard, elle a été transférée à la prison pour femme de la ville de Harbin dans la province de Heilongjiang où elle fut torturée davantage. Elle a été relâchée alors qu’elle n’avait plus que la peau et les os. Elle est morte à 3h00 du matin, le 24 septembre 2004 dans les deux mois qui ont suivi sa remise en liberté.

Selon des statistiques publiées sur le site Web Minghui, plusieurs morts de pratiquants du Falun Gong ont été causées intentionnellement par les autorités des camps de travail et des prisons, dans une tentative de couvrir leurs crimes de torture et d’extorsion.

 (À suivre)