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Falun Dafa m’a donné une nouvelle vie – 2e partie

14 mars 2005 |   Écrit par une pratiquante du Falun Dafa de la province Liaoning, Chine

(Minghui.org)

(Suite de la 1re partie, http://fr.minghui.org/news/0503/11/E57875_20050225_fr.htm)

Quand nous avons clarifié la vérité, certaines personnes ont accepté les dépliants que nous leur avons distribués, tandis que d’autres ne les ont pas acceptés et nous ont même rapportés à la police. Parfois, les compagnons de pratique étaint arrêtés immédiatement après qu’ils aient distribué les documents de clarification de la vérité. Nous avions souvent peur quand nous distribuions les documents. Nos jambes tremblaient et notre coeur battait rapidement. À ce moment-là, nous récitiions «La Vertu Majestueuse», un poème de «Hong Yin»

« Dafa ne quitte pas son corps

Son Coeur contient Zhen-Shan-Ren;
un grand Arhat dans ce monde
Les esprits et les fantômes sont terrifiés»

Li Hongzhi
le 6 janvier 1996

Nous avons aussi récité le poème

« Assister la Loi »

« Émettre le vœu de sauver les êtres

Assister le Maître l’agir dans ce monde

M’aider à tourner la Roue de la Loi

[Une fois] La Loi réussit le Ciel et la Terre sont bons.

Li Hongzhi
Le 28 aôut 1994

De cette façon, notre attachement à la peur a diminué graduellement. Sous la protection du Maître, chaque jour nous allions de maison en maison pour apporter les documents de clarification de la vérité aux résidents des maisons. Une fois, immédiatement après qu’un compagnon de pratique ait quitté une maison, le document a été jeté par la fenêtre. Avant que le pratiquant ait eu le temps de le ramasser, un passant l’a pris. Quand le passant a été questionné sur la provenance du document, il a répondu : « Il est tombé du ciel ». Puis il est parti tout joyeux avec le document. Afin de sauver plus de gens, nous avons non seulement distribué les documents de clarification de la vérité dans notre voisinage, mais nous les avons aussi envoyés par la poste dans d’autres endroits en Chine. Nous avons continué à donner la documentation et à clarifier la vérité sans arrêt.

Trois mois se sont écoulés. Mon unité de travail m’a informée que je devais revenir et finir de remplir les documents relatifs à l’emploi, alors j’y suis retournée. Les dirigeants de mon unité de travail ont dit qu’étant donné que je ne voulais pas travailler, je pouvais terminer les procédures et quitter l’emploi. Je leur ai dit : « C’est toi qui m’a maltraitée et qui ne veux pas que je retourne au travail. Ce n’est pas moi qui ne veux pas l’emploi. J’ai retrouvé la santé depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong et je ne fais pas d’erreurs dans mon travail. Pourquoi ne me laisses-tu pas travailler ? Pourquoi ne me laisses-tu pas travailler ? Pourquoi me licencies-tu ? Tu devrais être tenu responsable de ce que tu as fait. » Les dirigeants m’ont obligée à signer mon nom sur les documents afin de me licencier. Cela me faisait très mal parce que j’ai travaillé là-bas pendant tant d’années et j’ai été licenciée parce que je pratique le Falun Gong et que je suis une bonne personne. Ils m’ont obligée à faire un choix et ont déclaré que je ne pouvais pas continuer à pratiquer le Falun Gong si je voulais toujours garder mon emploi. À ce moment-là, ma seule pensée était celle-ci : je pouvais tout abandonner pour valider le Dafa. Même si je n’avais pas la permission de travailler à ce bureau, je préférerais trouver un emploi temporaire plutôt qu’abandonner le Dafa. Puis j’ai signé mon nom sur le formulaire et quitté l’édifice afin que je puisse continuer à faire ce que j’étais supposée de faire. Cependant, le lendemain, mon patron m’a appelée et m’a demandé de revenir travailler, parce que le licenciement n’a pas été approuvé quand ils sont allés aux bureaux du gouvernement appropriés pour essayer de terminer la procédure pour me licencier. On m’a aussi dit que mon nom sera sur la liste des gens qui ont quitté volontairement leur travail si je ne retournais pas travailler. Alors je suis retournée. Après mon retour au travail après environ deux mois, j’ai été arrêtée le 22 octobre 2000. J’ai été envoyée au centre de détention, où j’ai été détenue pendant plus de 40 jours et j’ai reçu une sentence de trois ans pour un camp de travaux forcés. Le 6 déembre 2000, la police m’a envoyée au camp de travail forcé de Masanjia pour y subir d’autres persécutions.

4.         Je me suis relevée après être tombée

Le camp de travail forcé Masanjia est un lieu qui m’a fait ressentir beaucoup de douleur et de regret. Après avoir été envoyée à la section no 2 de la section des femmes au camp de travail, les gardiens et ces collaborateurs qui ont eu une compréhension en suivant un chemin démoniaque sont venus me voir pour dire beaucoup de choses insensées et diffamer le Maître et le Dafa. Toute la journée les gardiens faisaient jouer une vidéocassette qui diffamait le Dafa. Ils ont aussi forcé les pratiquants à lire les articles qui diffament le Dafa et le Maître. Les collaborateurs citaient le Dafa hors contexte et ils ont essayé de me faire subir un lavage de cerveau et me faire abandonner ma cultivation. Ils m’ont interdit de dormir parce que j’ai refusé de renoncer à la cultivation. Quand les pratiquants refusaient de les écouter, ils les frappaient et les insultaient. En raison de la torture, les visages de certains compagnons de pratique sont devenus bleus, d’autres ont été hospitalisés, certains sont devenus infirmes et d’autres ont été traumatisés mentalement. Dans les repaires des forces perverses au camp de travail forcé de Masanjia, les pratiquants de Dafa ont enduré toutes sortes de torture. Sous une telle pression et voyant les gens pervers diffamer le Dafa avec une telle frénésie, j’ai eu une dépression mentale. Je ne pouvais plus écouter leurs paroles. Je n’avais qu’une pensée : je devais m’enfuir de ce lieu.

J’ai commencé à devenir anxieuse, impuissante et agitée en raison de la pression. Comme je n’ai pas bien étudié la Loi, mon coeur tremblait et j’avais peur quand j’ai vu la cruauté de la perversité. Ceux qui ont trahi le Dafa ont essayé de m’obliger à trahir le Maître et le Dafa. Chaque jour ils essayaient de me contraindre à signer les trois déclarations. Afin de quitter Masanjia, j’ai fait semblant d’accepter le lavage de cerveau contre mon gré. Quand les méchantes personnes m’ont demandé d’écrire les trois déclarations, mon esprit était vide et je continuais à pleurer. J’étais incapable d’écrire quoi que ce soit. Ma main tremblait quand j’ai tenu la plume. J’avais un mal de tête et j’avais la nausée. Je me suis assise là-bas pendant plusieurs jours, mais j’étais incapble d’écrire quoi que ce soit. Plus tard, une personne a apporté des déclarations que les autres avaient écrites et elle m’a demandé de les recopier. Alors je me suis assise pour écrire quelque chose sans importance et l’ai remis aux gardes. Cependant, après l’avoir lu, le chef du camp de travail a dit que je n’avais pas encore abandonné ma cultivation. Alors il m’a constamment créé des troubles et m’a rendue très nerveuse. J’avais tellement de douleurs que rester un jour ressemblait à une année. J’ai crié chaque nuit car je me sentais coupable. À Masanjia, mes cheveux sont devenus gris. J’étais mentalement sous une énorme pression.

À Masanjia, chaque jour les gardiens ont contraint les pratiquants de Dafa à travailler avec du matériel toxique. Ils nous ont obligés à écouter l’horrible propagande à la radio et à regarder les programmes vidéo. Les gens sont venus souvent faire une visite ou faire un reportage pour les Nouvelles. Parfois, nous étions appelés pour participer à la soi-disant campagne de « un million de signatures ». Nous étions aussi envoyés dans les champs pour enlever les mauvaises herbes et faire du travail dans les fermes. Les pratiquants qui refusaient d’accepter le lavage de cerveau étaient souvent privés de sommeil pendant plusieurs nuits consécutives. Mais ils devaient aussi travailler durant le jour. Étant donné que je n’avais pas une très bonne compréhension de Dafa, je n’avais pas une fondation solide dans la cultivation. Menée par une mentalité incorrecte, mes attachements ont pris le dessus sur moi. Sous la pression, j’ai utilisé ma mentalité humaine pour essayer d’enlever la culpabilité. Quand mon esprit est redevenu lucide, j’ai compris que j’avais fait une erreur qui ne pouvait pas être remédiée facilement.

Plus tard, je me suis efforcée de me calmer. Chaque jour j’ai récité Luynu les poèmes dans Hongyin et certains des articles du Maître dont je pouvais me rappeler. De cette façon, mon esprit est devenu graduellement lucide. J’ai compris que le fait d’avoir accepté d’être transformée voulait dire que j’avais transigé avec la perversité. J’ai commis des péchés contre le Dafa et trahi ma nature humaine et mon âme. J’ai fait quelque chose qui était contre ma conscience. J’étais désolée pour le Maître qui m’avait donné une nouvelle vie. Je ne pouvais pas continuer à faire des choses incorrectes et je savais que je devrais corriger mes erreurs. Je sentais que ce n’était pas le lieu où je devrais être et que je devrais partir. Depuis, j’ai fait de mon mieux pour rester lucide. Quand le chef du camp m’a demandé de faire subir aux autres le lavage de cerveau, j’ai dit que je n’avais pas bien étudié la Loi et je ne savais pas comment le faire. Le chef m’a alors demandé d’apprendre les opinions tortueuses et les mots trompeurs de ceux qui ont trahi le Dafa. Si je refusais d’écouter leurs mots, ils diraient que je n’avais toujours pas abandonné la cultivation. Quand les pratiquants de Dafa arrivaient, le chef du camp de travail me faisait suivre ceux qui avaient été transformés pour apprendre leurs façons de faire subir aux gens le lavage de cerveau. Même si je suis allée avec eux, je n’ai pas écouté leurs stupidités et je récitais Lunyu dans mon esprit, donc je n’entendais rien, peu importe ce qu’ils disaient. Plus tard le chef du camp a demandé à la détenue qui agissait comme leader dans ma cellule de me laisser faire subir aux autres le lavage de cerveau. J’ai dit à la détenue que je ne ferai pas subir aux autres le lavage de cerveau parce que je crois que le Falun Dafa est la Loi de l’univers et je ne parlerais pas de cette façon à propos du Dafa. Cela ne marcherait pas. La détenue a répondu que si le chef du camp de travail apprenait que je pensais de cette façon, je ne pourrais pas retourner à la maison. J’ai dit que je pensais réellement de cette façon. Je ne ferais pas subir à quiconque le lavage de cerveau. Après avoir écouter mes paroles, la détenue était d’avis que ce que j’avais dit était plein de bon sens, alors elle ne m’a pas obligée à le faire. Depuis, personne ne m’a demandé de faire ce genre de chose.

De cet incident, j’ai compris que c’était moi, qui pouvais décider ce que je voulais faire et que tout résultat proviendrait de ma propre pensée. Puisque j’avais attachements et que je voulais fuir les tribulations et quitter le repaire des forces perverses, j’ai suivi les mensonges et accepté volontairement la transformation, tout en prétenant que je ne le voulais pas. Cela sabotait la réputation de Dafa et salissait mon propre chemin de cultivation. Quand je me suis rendue compte de ce point, j’ai commencé à échanger des points de vue avec d’autres compagnons de pratique. À chaque fois que les pratiquants étaient capables de quitter ce lieu, je leur disais de lire Zhuan Falun du début à la fin afin de s’évaluer avec le Dafa et trouver leurs insuffisances. Certains étaient d’accord avec moi, tandis que d’autres ne me comprenaient pas et ils disaient que la cultivation était sur le point de se terminer et que cultiver seulement le xinxing était suffisant. Ils m’ont même critiquée. Après ma libération du camp de travail, et après avoir lu les articles du Maître et Zhuan Falun, beaucoup de pratiquants ont obtenu à nouveau une compréhension correcte et ils ont peu de temps après rejoint la rectification de la Loi. Après ma libération de Masanjia, ils m’ont tous appelée et m’ont dit qu’ils étaient tous retournés au Dafa.

Après ma libération du camp de travail forcé Masanjia, je me suis jointe à nouveau à la rectification de la loi et j’ai renoncé aux trois déclarations et à tous mes mots et actions qui ne se conformaient pas au Dafa lors de ma détention au camp. J’ai étudié la Loi, maintes et maintes fois et j’ai compris que je n’avais pas bien fait au sein de la persécution diabolique au camp et que j’avais commis un péché impardonnable. J’avais été envahie par la peur et sous l’emprise des attachements j’avais eu recours à la perspective d’une personne ordinaire et je m’étais conformée à la perversité. En me remémorant tout cela, j’avais même honte de lever la tête et je regrettais profondément mon erreur. Je me rends compte que j’ai fait une grave erreur. Je suis déterminée à bien étudier la Loi et à ne pas refaire la même erreur. Je ferai bien les trois choses que le Maître requiert de nous et je marcherai avec droiture mon chemin de cultivation.

Après avoir enduré la persécution la plus perverse dans le monde des humains, mon coeur n’a pas changé même si j’ai pris un détour. Je suis devenue plus mûre et j’ai constamment regardé à l’intérieur pour chercher mes attachements. J’ai déraciné les attachements fondamentaux, les ai éliminés et je suis plus diligente dans l’étude de la Loi. Quand ma compréhension s’est améliorée, tout a alors changé, et tout ce que j’ai perdu a été rétabli. Après mon retour de Masanjia, mon mari a déposé une poursuite et a regagné notre maison. Quand je suis retournée à la rectification de la loi, ma famille était inquiète quand j’ai été arrêtée en plusieurs occasions et ils m’ont surveillée et m’ont interdit de quitter la maison. J’ai clarifié la vérité à ma famille et leur ai dit que j’étais persécutée. Je dois ma vie et ma santé au Maître, comment puis-je rester tranquille quand le Maître et Dafa sont diffamés ? Comment ne puis-je pas clarifier la vérité ? Je dois clarifier la vérité ! Voyant que j’étais sincère, ma famille m’a laissée tranquille. Mon mari disait souvent à ses amis : « Falun Dafa est bon ! Ma femme a été guérie de ses maladies par la pratique de Dafa, vous, les gars, devriez l’apprendre aussi ! » Il ne s’oppose plus à ma pratique. J’ai dit à ma famille et à mes amis « Falun Dafa est bon ». J’ai clarifié la vérité à mes voisins et éveillé leurs pensées droites envers le Dafa.

Une fois, mon voisin a dit : « Cela ne vaut pas la peine ! Tu as été jetée en prison parce que tu pratiques le Falun Gong ! Si le gouvernement t’interdit de pratiquer, alors ne pratique pas ! Pourquoi veux-tu contrer le gouvernement ? Ton Maître t’a abandonnée ! » « Le groupe de Jiang a abusé de son pouvoir et m’a jetée en prison. Qu’est-ce qu’il y a de mal si je fais les exercices et je suis en bonne santé ? » Il a dit : « Le programme de télévision dit que vous, les pratiquants de Falun Gong, vous ne vous occupez pas de votre famille et de vos enfants et que vous tuez les gens ! » J’ai répondu : « Vous vous trompez à nouveau. Je n’ai pas négligé ma famille. Quand le Maître nous dit d’être de bonnes personnes, des personnes meilleures que des bonnes personnes, comment ne puis-je pas m’occuper de ma famille et de mes enfants ? » Le groupe de Jiang a ordonné à la police de me jeter en prison et le groupe de Jiang persécute le Falun Gong, diffame le Dafa et le Maître. C’est pourquoi nous, les pratiquants de Dafa, allons de l’avant pour clarifier la vérité. Le programme de télévision est une propagande. Les pratiquants de Falun Gong ne se tuent pas et ne tuent pas d’autres êtres. Les médias mentent et diffament le Falun Gong. » Mon voisin a appris la vérité après que je lui ai expliqué la vérité et il ne dit plus quoi que ce soit contre le Dafa. Il dit plutôt : « Ton professeur est magnifique ! À l’avenir, j’apprendrai le Falun Gong de toi. »

Une soirée en décembre 2001, une de mes amies qui travaillait dans un centre de détention m’a appelée et a dit qu’elle avait de graves crampes aux jambes et elle voulait mon aide. J’ai dit : «Es-tu allée à l’hôpital ? » Elle a dit : « Je l’ai fait mais le docteur ne pouvait rien voir d’anormal avec mes jambes. Elles font tout simplement mal. » J’ai répondu : « Comment puis-je t’aider ? » Finalement elle m’a dit : « Aujourd’hui, une pratiquante de Dafa faisait les exercices ici, et mon superviseur a repéré la pratiquante et elle m’a semonnée, en disant que je n’avais pas fait mon travail. J’étais en colère, alors je me suis approchée de la pratiquante et je lui ai donné un coup de pied. Plus tard, ma jambe a commencé à faire très mal. » J’ai compris tout de suite que c’était une rétribution immédiate. J’avais l’habitude de lui clarifier la vérité et je sais qu’elle ne s’oppose pas au Dafa, et elle sympathise normalement avec les pratiquantes de Dafa. J’ai dit : « Demande au Maître de te pardonner et demande lui de t’aider. Personne d’autre ne peut t’aider. Elle avait peur et a répondu : « Tu dois demander à ton Maître de me pardonner. » J’ai dit : « Ok, Alors tu dois te repentir. Elle a crié : « Maître Li Hongzhi, aidez-moi s’il vous plaît, je ne frapperai jamais une autre pratiquante de Dafa. » Elle a dit qu’elle était sincère. Quand j’ai raccroché le téléphone, c’était le moment d’émettre des pensées droites, alors j’ai commencé à les émettre. Une pensée a soudain surgi de ma tête : « Maître, veuillez aider mon amie. » Quand cette pensée a été émise, je me suis rendu compte : « Je ne peux pas faire cela. Quiconque a fait du mal doit payer pour cela. Quand j’ai une telle pensée, elle deviendra vraie et j’aurai à endurer la rétribution pour elle. » Soudain du pus jaune s’est mis à couler de mon nez et j’ai vraiment enduré pour elle. Je me suis rendue compte de mon erreur et j’ai crié : « Maître, j’ai fait une erreur. J’ai utilisé des sentiments humains au lieu de la bienveillance. Je ne peux pas endurer cela pour elle, je lui demandrai de se repentir et de ne pas commettre des crimes contre le Dafa à nouveau. » Je me suis couchée après l’émission des pensées droites. Le lendemain matin, mes chevilles et orteils étaient complètement noirs. J’ai compris que c’était le résultat de mon unique pensée. J’ai été émue par le sentiment et je n’avais pas fait ce qui était requis par le Dafa et la perversité a été capable de me persécuter. Plus tard, j’ai utilisé cet incident pour lui clarifier la vérité à la maison et je lui ai montré le karma qu’elle avait créé envers les pratiquants de Dafa. Elle a reconnu son erreur dans les crampes qu’elles avaient eues aux jambes et quand elle a vu mes jambes et mes pieds, elle a dit : « Je crois au Maître et en Dafa, je ne ferai jamais cela. » Depuis, elle aide souvent les pratiquantes de Dafa.

Afin de sauver plus de gens, les compagnons de pratique ont écrit à propos de la persécution et la vérité au sujet de Dafa, et nous avons clarifié la vérité dans notre voisinage. Nous avons clarifié la vérité sous toutes sortes de température notamment la pluie, la neige, le froid et la chaleur. Nous avons bien coopéré en tant qu’un seul corps. Bien que certains pratiquants ont été forcés de devenir des sans abris, ils ont persisté à faire l’acte magnifique de clarifier la vérité et de sauver les gens. Beaucoup de gens ont appris la vérité et ont obtenu le Dafa par nos efforts de clarification de la vérité.

Le Maître a dit :

«Vous devez chérir cela – vous devez chérir le chemin que vous avez parcouru. C'est seulement en chérissant les pas que vous avez faits que vous pouvez bien faire les pas sur le chemin qui est devant vous. Il ne reste pas beaucoup à parcourir. Faites toujours mieux sur votre chemin et faites les choses avec encore plus de droiture ». (Enseignement de la Loi à Pâques 2004, à la conférence de Loi de New York)

Je suivrai les paroles de Maître et ferai bien les trois choses : étudier la Loi et faire les exercices, émettre les pensées droites et clarifier la vérité.