(Minghui.org) Je souhaite rapporter les faits au sujet de quatre soeurs: Ma Fang, Ma Lan, Ma Yan, Ma Li et de leur mère. Elles travaillaient toutes à la manufacture de réfrigérateurs de la ville de Jilin et ont été soumises à une persécution sans loi. Les persécuteurs sont le directeur du commissariat de Shijinggou, District de Fengman, ville de Jilin, Province de Jilin ainsi que des policiers et le commissariat de la rue Shijinggou. Mme Ma fang, ses trois soeurs et sa mère pratiquaient toutes le Falun Gong. Due à leurs piètres santé physique, elles étaient toutes misérablement malades et leur vie était très difficile. Ma Fang tout spécialement, avait subi l’ablation d’un rein et souffrait de tumeurs fibromes utérines et de maladie cardiaque. Cependant depuis la pratique du Falun Gong, elles ont toutes recouvert la santé. Elles ont aussi développé une gentillesse immense. Je ne suis pas un pratiquant du Falun Gong mais j’ai vraiment été témoin des miracles et vertus du Falun Gong. Depuis le début de l’interdit qui frappe le Falun Gong par le régime de Jiang, les policiers du commissariat de Shijingguo ont participé à la persécution des pratiquants du Falun Gong. Tout simplement pour pratiquer le Falun Gong, les quatre sœurs Ma Fang, Ma Lan, Ma Yan et Ma Li ont été condamnées au camp de travaux forcés et leur mère a été emprisonnée sans procès. Seul leur père, qui ne pratique pas le Falun Gong est resté à la maison. Il a énormément souffert de l’expérience. 1. Les policiers sans loi du commissariat de Shijingguo sont entrés par effraction chez des résidents et ont faits des fouilles illégales Vers 9:00 heure le 12 juillet 2004, Ma Fang est allée au commissariat de Shijingguo pour visiter et apporter de la nourriture à Gao Yueli, une pratiquante du Falun Gong, qui y était emprisonnée, mais on ne lui a pas permis de voir la pratiquante. Peu après son départ du commissariat, les policiers du commissariat sont entrés par effraction dans la maison de Ma Fang pour fouiller sans mandat ou preuve. Ils ont trouvé deux livres de Falun Dafa et des dépliants, ils ont donc arrêté de force Ma Fang. Immédiatement ils sont allés au restaurant Wuji Noodle qui appartenait à Ma Fang, pour arrêter d'autres pratiquants. La porte était verrouillée, ils l’ont donc enfoncée et ont fait une fouille minutieuse, laissant le tout dans un désordre complet. Les policiers sont alors allés à la maison des parents de Ma Fang pour faire une autre fouille, mais ils n'étaient pas à la maison. Ne trouvant rien, les policiers ont de nouveau fouillé la maison de Ma Li. L'article 39 de la Constitution de la République Populaire de Chine stipule: "... la maison résidentielle des citoyens de la République Populaire de Chine ne peur être forcée. La fouille ou l'entrée illégale dans la maison d'un citoyen est interdite." Les actions des policiers du commissariat de Shijingguo, de la zone de Fengman, ville de Jilin, en fouillant les résidences de Ma Fang, Ma Lan, Ma Li et de leur mère, Lin Shuqing, sans mandat violent la Constitution chinoise. 2. Violations des droits civils, procès secrets des pratiquants du Falun Gong et confessions obtenues par la violence Les parents de Ma Fang sont alors allés au commissariat pour la voir et demander sa remise en liberté. Ni Jun, le directeur du commissariat a non seulement refusé de la libérer mais l’a accusée de s'associer à d'autres pratiquants du Falun Gong. Le père de Ma Fang a affirmé, "elle ne s'est pas associée à d'autres pratiquants du Falun Gong." A ce moment, un essaim de policiers l'a entouré et battu. La mère de Ma Fang qui a plus de soixante-dix ans et a une maladie cardiaque a pali et s’est évanouie sur le plancher. Les policiers ne se sont pas arrêtes ici. Ils ont traîné les parents dans une pièce, les ont menotté et interrogés. Après environ une demi-heure, le père de Ma Fang s’est évanouie. Ni Jun s’est tourné pour interroger la mère de Ma Fang. Il a demandé : « Est-ce que votre fille m’a appelé? » Sa mère a dit : « Elle ne connaît pas votre numéro de téléphone. » Ni Jun a dit méchamment, « Je souhaite vous emprisonner toutes les cinq, vous et vos filles. Si j’attrape Ma Yan, je lui briserai les jambes ou engagerai quelqu’un pour la torturer à mort! » Plusieurs lois nationales déclarent clairement que les détenus ne seront pas battus ni torturés. Le directeur, Ni Jun et des policiers du commissariat de Shijingguo ont fait des interrogatoires illégaux de gens innocents de plus de soixante-dix ans. Ils ont employé la violence pour forcer leur confession. Ni Jun et les policiers sont responsables de respecter la loi, mais à la place ils violent la loi. Ils sabotent et minent la loi et la confiance des gens. 3. Arrêter les gens et confisquer leurs biens sans preuve criminelle Les policiers se sont cachés près de l'appartement de Ma Yan pendant plusieurs jours pour l'arrêter. Le 16 juillet 2004, à 14 hrs, Ma Yan a été arrêté en sortant de son appartement au troisième étage pour aller laver ses vêtements chez une amie au premier étage. La police a alors illégalement fouillé son appartement. Ils n'ont trouvé aucune preuve seulement un vieux livre de référence sur les lois. Néanmoins, ils ont pris son ordinateur et sa machine à écrire qu'elle utilisait pour aider son fils dans ses études. Après cet incident, les policiers sont souvent venus chez l’amie de Ma Yan et l’ont accusée d’héberger des criminelles. La voisine est tombée malade sous les menaces et intimidations constantes. 4. La police fabrique des preuves pour monter un coup contre les pratiquantes La police n’a trouvé que deux livres du Falun Dafa, un dépliant et quelques vieux livres de référence sur la loi dans leurs fouilles. Ils ont déterminé que la preuve était insatisfaisante pour réaliser leur but. Ils se sont donc entendus avec Wang Yingfan, le chef du bureau local de police, pour fabriquer la preuve pour monter un coup contre les détenus. Les dossiers de fouille ont été falsifiés disant : "Ma Fang: 15 livres, tracts, 4 bandes magnétique pour enregistrement sonore, "et" Ma Yan: 1 livre, 15 tracts, 4 bandes magnétique pour enregistrement sonore." Maintenant ils avaient assez de preuves (fabriquées) pour arrêter Ma Fang et Ma Yan et les condamner à un an de travaux forcés. Je suis un témoin. J’ai vu l’injustice et je veux intervenir et exposer les actions illégales des policiers du commissariat de Shijinggou. Selon les faits ci-dessus, le directeur Ni Jun et les policiers du commissariat de Shijinggou, le bureau de police du district de Fengman à Jilin, ont violé la Constitution de la République Populaire de Chine, le droit pénal, et les règlements de la police en manipulant le cas ci-dessus, et ont commis des crimes punissables. Traduit au Canada le 26 mars 2005 |