(Minghui.org)
Nos sources nous informent que Mme Gao Rongrong a été arrêtée près du Consulat des États-Unis dans le district de Heping de la ville de Shengyang, le 6 mars 2005. Le pratiquant Sun Shiyou qui était avec elle a aussi été arrêté au même moment. On ignore où se trouve Sun Shiyou actuellement. Après la mort de Mme Gao, le chef du Bureau 610 local, le personnel du camp de travaux forcés de Masanjia et le secrétaire-adjoint du comité de Parti de l’Institut de Beaux-Arts de Luxun, se sont rendus à la demeure de Mme Gao et ils ont forcé la famille à faire incinérer la dépouille immédiatement. Lorsque la dépouille fut au Crématorium de Wenguantuan, on a fortement découragé la famille d’aller se recueillir une dernière fois, sur sa dépouille mortelle. La police surveille les alentours de la maison de Mme Gao. Gao Rongrong 1. Gao Rongrong avait été secrètement incarcérée au camp de travaux forcés de Masanjia depuis son arrestation Après son arrestation, Gao Rongrong a été secrètement détenue au camp de travaux forcés de Masanjia. Les membres de la famille de Gao ont téléphoné le chef du camp, Su Jing, qui au commencement avait catégoriquement nié que Mme Gao y était détenue- là. La mère de Gao est allée plusieurs fois à Masanjia. Finalement, Su Jing ne pouvait plus maintenir sa farce, a révélé que Mme Gao avait été envoyée à la salle d’urgence de l'hôpital d'université le 6 juin 2005. Le 12 juin, Mme Gao Rongrong tomba dans le coma et ne répondait plus aux stimuli externes. Les membres de sa famille ont noté, dès leur arrivée à l'hôpital que plus de 20 personnes la surveillaient. Ils avaient même l’audace de demander fréquemment devant la mère de Mme Gao, quand ils pouvaient s’attendre à ce qu’elle meure. 2. Le médecin se doutait que Gao Rongrong avait reçu des injections de drogues dommageables Les médecins ont divulgué qu’ils avaient fait un balayage CT du cerveau et que celui-ci avait révélé que le cerveau de Mme Gao Rongrong semblait anormal. Le médecin se doutaient que l'anomalie était due au fait qu’elle avait reçu des injections de drogues dommageables. Les membres de sa famille ont exigé que tous les dossiers médicaux à Masanjia et à l'hôpital de l'université leur soient retournés. Cette demande a été refusée, sans explication. 3. Intensifier la persécution et se mettre de concert pour dissimuler la vérité Pendant les trois mois après l’enlèvement et la disparition de Gao Rongrong, le personnel des organismes impliqués, y compris le camp de travaux forcés Zhangshi de Shenyang, le camp de travaux forcés de Masanjia, les cours de la province de Liaoning et le Bureau des travaux forcés des provinces ont donné le même message : « Ne vous inquiétez pas, la loi punira sévèrement ceux qui sont responsables ! Vous n'avez pas besoin de faire davantage de recherches. Allez à la maison et attendez ! Les superviseurs en poste qui détiennent les responsabilités, sont encore à réviser ce cas. Cette fois, le retard n'a rien à voir avec Gao Rongrong. La révision est centrée sur ceux qui l’ont arrêtée. Aussitôt, que ce cas sera résolu, elle retournera à la maison. Nous parlerons à ce moment-là d’un traitement pour ses jambes. Nous devons décider si elle doit retourner à la maison ou demeurer ici pour le traitement. Tout ceci sera discuté plus tard. » En aucun moment personne ne s’est impliqué, ni n’a mentionné le fait que Gao Rongrong était en grève de la faim et qu’elle était devenue très faible. Les sources fiables à l’interne, nous disent que par rapport au secours apporté par des pratiquants de Falun Gong à Gao Rongrong, les autorités s’étaient inquiétées du fait que leurs crimes soient davantage exposés dans le monde entier. Luo Gan, le chef du bureau 610 central s’est personnellement impliqué. Lui et le No.26 du Ministère de la sécurité publique ont classé ceci comme un cas important. Le Bureau de sécurité de la ville de Shenyang a créé « un Groupe de travail spécial. » Ils ont installé un bureau spécial et une salle d'interrogatoire dans le petit bâtiment blanc du camp de travaux forcés de Zhangshi. Tous les pratiquants suspectés d’avoir été impliqués d’une façon ou d’autre avec Mme Gao Rongrong ont été emmenés là pour un interrogatoire. Ils ont publiquement annoncé leurs noms sur les sites Internet et ils les ont surveillés et surveillés jusqu’à un moment le plus opportun pour les kidnapper. À la fin de février et en début mars 2005, tous ceux qui avaient été impliqués dans le fait d’avoir porté secours à Gao Rongrong ont été enlevés et emmenés au camp de travaux forcés de Zhangshi et de là au camp de travaux forcés pour femmes de Masanjia et au camp de travaux forcés de Shenxin. Entre-temps ils gardaient toujours secret l’endroit où était détenue Gao Rongrong après qu'elle ait été kidnappée à nouveau le 6 mars. Les parents de Gao Rongrong sont retournés à Shenyang après un voyage en dehors de la ville et ils ont constaté que Gao avait disparue. Le personnel du Bureau pour la sécurité publique de Shenyang et le Bureau-adjoint de Heping ainsi que le commissariat de police local ont continué à se lancer la balle et refusaient de dévoiler l’endroit où elle se trouvait. Son ancien employeur, l’Académie des Beaux-Arts de Luxun, a même publié un faux document en mars dernier, dans lequel il alléguait que Mme Gao Rongrong avait quitté la Chine. Le pratiquant de Falun Gong, Sun Shiyou, qui était avec Gao à ce moment-là, a aussi été enlevé. Ils étaient près du consulat des États-Unis, situé dans le district de Heping, ville de Shenyang. Personne ne sait, non plus, où il est maintenant. Son épouse Dong Jingzhe a été brutalement persécutée à Masanjia et est en une grève de la faim depuis près de quatre mois. On rapporte que les jambes de Dong Jingzhe ont été fracturées suite à la torture. En mars 2005, les parents de Gao Rongrong sont allés au camp de travaux forcés de Zhangshi pour s'enquérir au sujet de la situation de Gao. Shi Fengyou qui était responsable du lavage de cerveau leur a indiqué que : « Le Centre de ré-éducation de Zhangshi n'avait pas accepté Gao Rongrong mais qu’elle avait été vue à l'hôpital de Masanjia. » Plus tard, il a changé sa déclaration et a dit qu'il avait vu Gao Rongrong quand ils avaient pris Dong Jingya (une autre pratiquante de Falun Dafa kidnappée) au camp de travaux forcés de Masanjia. Shi Fengyou a indiqué : « La situation est sous contrôle. Vous n'avez pas besoin de chercher plus loin. Ses jambes ne sont pas redevenues normales. Elle ne peut pas se tenir debout encore. Quand tout ira mieux, elle sera renvoyée à la maison. Elle va très bien. » Le père de Gao Rongrong a demandé : « Est-ce que Luo Gan s’intéresse à ce dossier? » Shi Fengyou a répondu : « Luo Gan a donné ses directives puisque ce sujet a un aussi grand impact mondial. ‘ Laissez nous bien ‘prendre en main la situation’ ». Les vieux parents de Gao Rongrong sont allés encore au camp de travaux forcés de Masanjia. Personne n'a osé venir à leur rencontre. Seulement après une intense persistance, la directrice Su Jing est venue les rencontrer. Su Jing a dit : « On peut dire que Gao Rongrong est à Masanjia, bien qu'elle ne soit pas ici en personne. » Elle a dit qu’elle-même ne pouvait voir Gao Rongrong, car les autorités compétentes étaient entrain de l’interroger. Au début avril, les parents âgés de Mme Gao ont visité Masanjia encore une fois. Ils ont trouvé Su Jing et lui ont demandé des nouvelles au sujet de la grève de faim de Gao Rongrong. Su a dit : « À ce moment tout va bien. Elle mange très bien.» La mère de Gao a demandé : « N’aviez-vous pas dit que vous n’étiez pas capable de voir Gao Rongrong ? Comment pouvez-vous sûre qu’elle mange bien? » Su a répondu : « Je me suis informée au sujet de cela et je le sais. » Ils ont demandé où était Gao Rongrong et ont demandé à la voir en personne. Su Jing a refusé la demande et leur a dit de retourner à la maison. Elle a dit qu'ils devaient attendre les instructions des autorités de niveaux plus élevés, qui avaient en main ce cas. La famille de Gao Rongrong est allée à Masanjia à plusieurs reprises et a demandé la permission de voir Gao et a demandé sa libération. Une adjointe de l’endroit du nom de famille de Zhao (femme) est venue les rencontrer toutes les fois. Une fois, la mère de Gao Rongrong a posé des questions au sujet des jambes cassées de Gao et a demandé à la voir. Zhao a dit: « Elle va bien. Vous n’avez pas besoin de vous inquiéter à son sujet, en lui apportant de la nourriture. » La mère a de nouveau suggéré qu’elle aimerait emmener Gao à la maison pour prendre soin de ses jambes, Zhao s’exclama : « Nous ne pouvons la laisser aller à la maison, dans l’état où elle se trouve actuellement. L’impact social ne serait pas bon.» La persécution est la vraie raison de l'effet négatif sur la société, associé à l'impact international. Cependant, le régime communiste chinois, qui est le criminel au premier rang dans la persécution, non seulement ne met pas fin à la répression et aux traitements inhumains des pratiquants, mais augmente aussi ses efforts pour cacher la vérité et intensifier la persécution de manière significative. En outre, il accuse les victimes de causer un impact négatif sur la société. C'est une caractéristique distinctive de la nature criminelle et autocratique du PCC. 4. En se servant de l’excuse des «ordres d’en-haut » et de collaborer dans la persécution Les membres de la famille de Mme Gao ont mis beaucoup d'effort pour la rechercher, notamment demander de l'information des bureaux de gouvernement appropriés. Ils ont dit aux fonctionnaires : « Mme Gao a été défigurée avec des chocs de matraques électriques ; sa jambe a été cassée sous les tortures. Cependant, les bourreaux ne sont pas punis. Selon les règlements des camps de travaux forcés, parce qu'elle est une victime qui a été sérieusement blessée, elle ne devrait pas être détenue. » Shi Fengyou du camp de travaux forcés de Zhangshi, Su Jing et vice Zhao vice-directrice du camp de travaux forcés de Masanjia et les fonctionnaires du département judiciaire provincial et du Bureau des travaux forcés ont tous dit que selon la loi les bourreaux seraient punis. Ils ont dit à la famille de s’en aller à la maison et d’attendre de plus amples informations et que les « autorités d’au-dessus » n'avaient pas tiré de conclusion dans ce dossier. » Cette fois, Gao Rongrong n’est pas dans le trouble; c’étaient ceux qui l’avaient emportée qui se trouvaient dans le trouble, mais pas Mme Gao. Nous la retournerons à la maison aussitôt que son cas sera réglé. De plus, nous discuterons de la question du traitement de ses jambes - - si on la traiterait d’abord ou si on la laisserait aller à la maison et recevoir des traitements là. » Du début jusqu’à la fin lors des demandes de renseignements, personne n’a mentionné que Mme Gao était en grève de la faim, ni n’a parlé de l’état critique dans lequel elle se trouvait, lors des discussions. Le 6 juin 2005, les membres du camp de travaux forcés de Masanjia ont envoyé Mme Gao de l'hôpital de prison de Dabei dans la ville de Shenyang à l'hôpital affiliée No. 1 de l'université médicale de la Chine pour des soins d’urgence. Cependant, quand les parents de Mme Gao sont allés à Masanjia le 10 juin pour lui rendre visite, un directeur de la prison du nom de Wang leur a dit : « Nous ne voulions pas la prendre, mais comme nous avons reçu « un ordre d'en haut », nous l’avons prise. Nous suivrons tous les ordres que nous recevrons à savoir si nous vous laissons la visiter ou quand nous la relâcherons. » A ce moment-là, il n'a jamais mentionné que Mme Gao était dans un état critique et qu’elle avait été envoyée à l'hôpital affiliée No.1. 5. En causant intentionnellement la mort de Mme Gao Vers les 9h00, le matin du 12 juin 2005, après avoir été avisé, les membres de la famille de M. Gao sont allés à l'hôpital. Ils ont vu Mme Gao avec un respirateur dans la bouche - elle était inconsciente et émaciée. Tous ses organes détériorés. Son visage, en particulier le côté gauche, était encore couvert de cicatrices des chocs électriques des matraques. Un des membres de la famille possède des connaissances médicales. Le parent s'est immédiatement rendu compte que les solutés servant à la nourrir étaient insuffisants pour Mme Gao - en fait, les nutriments n’étaient pas adaptés à sa condition. Le membre de famille a conclu que le corps de Mme Gao était détérioré parce qu'elle n'avait pas eu de nourriture depuis longtemps. Le médecin de la salle d’urgence en charge du cas de Mme Gao a dit : « Elle était dans un état critique lorsqu’elle est arrivée ici le 6 juin. » Les membres de la famille de Mme Gao ont demandé aux gardiens du camp de travaux forcés de Masanjia qui étaient en poste près de sa chambre : « Pourquoi est-elle dans une telle condition ? Pourquoi ne nous avez-vous pas avisés plus tôt? » Les gardiens ont tous dit qu’ils venaient tout juste commencer à travailler au camp de travail, ainsi ils ne savaient rien au sujet de Mme Gao. Entre-temps, des bourreaux sont restés dans les alentours de la maison de Mme Gao. Ils ont dit aux voisins de Mme Gao : « Mme Gao Rongrong est en grève de la faim et elle se meurt. » Le 16 juin 2005, Mme Gao est morte dans la salle d’urgence de l'hôpital affiliée No.1 de l'université médicale de la Chine. Elle n’avait que 37 ans quand elle est morte. Les mêmes bourreaux mentionnés précédemment qui ont continué à dire que les « Autorités supérieures » n'avaient pas encore tiré une conclusion concernant ce dossier, font maintenant pression auprès des membres de la famille de Mme Gao pour faire incinérer son corps et pour détruire toute preuve de la torture. L’acte de dépôt pour les restes de Gao Rongrong 6. Wei Ershen, directeur-adjoint du Collège des Beaux-Arts de Luxun est également responsable Carte d’identité de travail de Mme Gao du Collège de Beaux-Arts de Luxun Wei Ershen, directeur-adjoint de l'Université de Beaux-Arts de Luxun, est également responsable de la mort de Mme Gao. Wei est un représentant du Congrès national du peuple et directeur adjoint de l'Association des Beaux-Arts de la Chine. Simplement parce que Mme Gao avait clarifié la vérité aux étudiants à l'Université des Beaux-Arts de Luxun, Wei l'a fait enlever et envoyer au camp de travaux forcés de Longshan, où elle a été défigurée. A la suite de cela, les membres de la famille ont à plusieurs reprises demandé de l’aide de Wei. Cependant, en tant que le directeur adjoint de l'université et représentant du Congrès national du peuple, Wei les a complètement ignorés. On dit que Wei voyage souvent à l'étranger en tant que touriste. Collège des Beaux-Arts de Luxun Information de contact pour le Collège des Beaux-Arts de Luxun Le Collège des Beaux-Arts de Luxun s’appelait auparavant l’École des Beaux-Arts Yanan de Luxun qui a été fondée e 1938. Le Collège des Beaux-Arts de Luxun est présentement situé dans le Développement du district de Nanhu de Hautes-Technologies de la ville de Shenyang. Adresse: No. 19 rue Sanhao , district de Heping, ville de Shenyang, province de Liaoning Province, 110003 Téléphone: 86-24-23932651 Télécopieur : 86-24-23930671 Adresse du collège affilié : No. 146 rue Wanghuazhong, district de Dongling, ville de Shengyang , 110045 Deux bourreaux directement responsables pour la mort de Mme Gao : Tang Yubao: chef-adjoint de la Brigade No. 2 Deux hommes de 47 ans environ, numéro d’identification policière 2116065, demeurent sur la rue Xinggong, Dortoir du bureau judiciaire du district de Tiexi . Bourreau Fawanghuihui a un permis de travail No. 12697. Avant que le visage de Mme Gao soit défiguré, Tang avait causé la mort de pratiquante Mme Wang Xiuyuan. Mme Wang avait 52 ans et résidait dans le district de Shenhe, ville de Shenyang. Chefs d’équipe de la Brigade No. 2: Jiang Zhaohua Camp de travaux forcés de Longshan, ville de Shenyang Adresse: Lizigou #97, canton de Zhujia, district de Dongling, ville de Shenyang, province de Liaoning, code postal: 110173. Téléphone principal de réception : 86-24-24760033 Li Fengshi: chef du camp de travail dans la quarantaine demeure près du Chemin du Marché de South Shima, district de Heping Brigade No. 2: 86-24-24761745, 24761735, 24760033 ext. 8222 Wang Jinghui: chef de la Brigade No. 2, femme dans la quarantaine. Chefs d’équipe de la Brigade No. 2 : Jiang Zhaohua, Wang Jichang, Wang Chunmei et autres Brigade No. 1: 86-24-24760624, 86-24-24760033 ext. 8212, 86-24-24760033 ext. 8213 Yue Jun: head of Brigade One, male, 33 years of age Yang Min: chef-adjoint de la Brigade No. 1: femme dans la trentaine Chefs du camp d’administration: Wei Mintang, Jiang Yubo, Wang Xuetao, 86-24-24761735 Zhang Xiaoqiu: chef de la Division de Santé et Hygiène Li Wuyi: médecin du camp de travail Bureau judiciaire de la ville de Shenyang Adresse: rue Heping Nord, ville de Shenyang, province de Liaoning, code postal: 110014 Zheng Chaoquan: chef du Bureau judiciaire Zhang Xiansheng: chef-adjoint du Bureau judiciaire Li Rongchen: chef de la Division d’administration de travaux forcés du Bureau judiciaire Téléphone: 86-24-22852378, 22855022, 22825808 Liu Bo: chef de division, 86-13804006266(portable), 86-24-22855027(bureau) Ji: chef de division 86-24-22855027(bureau) Section de secrétariat: 86-24-22824660 Section de l’organisation: 86-24-22855034 Section de la propagande: 86-24-22700704 Dans le cadre des politiques sur le terrorisme d'état du Parti communiste chinois (PCC), le Bureau 610 remplit systématiquement les ordres de Jiang Zemin de « diffamer leur [réputation des pratiquants de Falun Gong], les ruiner financièrement, les détruire physiquement » et suit la politique de « les cas de pratiquants torturés à mort seront enregistrés comme des cas de suicide, n'exigent aucune identification du corps ; seront incinérés localement. » En conséquence, beaucoup de pratiquants de Falun Gong ont été torturés à mort ou blessés. Des familles innombrables ont été déchirées et des centaines de milliers de pratiquants ont été forcés de partir de la maison et de devenir indigents pour éviter d'être emprisonnés. Des millions de membres, d'amis et de collègues de la famille des pratiquants ont été soumis à divers degrés de lavage de cerveau et beaucoup ont été entraînés malgré eux dans la participation à cette persécution. En dépit des couches de blocus de l'information, on a vérifié par des sources non gouvernementales que plus de 2’600 pratiquants de Falun Gong sont morts de la persécution. Ce sont seulement les cas enquêtés jusqu'ici. Parmi ceux-ci, environ 55% sont des femmes, et environ 57% des femmes de plus de 50 ans. |