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Sortir de la tribulation

16 août 2005 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org)

Je ne sais pas pourquoi j’avais toujours senti que je rencontrais plus de tribulations que les autres. Je suis allé à Pékin pour faire appel pour le Falun Gong quatre fois, j’ai été condamné une fois dans un camp de travaux forcés, détenu deux fois et j’ai été enlevé pendant le 16e Congrès National du PCC. Bien qu’à chaque fois je m’en suis sorti avec la puissance de mes pensées droites, les tribulations continuaient de venir, les unes après les autres.

Mon unité de travail a été réorganisée et mon enfant a été renversé par une voiture. J’avais encore plus de petits problèmes, qui me rendaient très occupé au travail. Chaque jour j’essayais de mon mieux de surmonter les difficultés, d’être capable de lire une chapitre par jour de Zhuan Falun et j’étais ensuite occupé par les choses des gens ordinaires. J’étais continuellement interféré lorsque j’envoyais les pensées droites et je me sentais fatigué et j’avais sommeil lorsque j’étudiais le Fa, lorsque je pratiquais les exercices et lorsque j’envoyais les pensées droites. Plus tard j’ai lu sur le site Internet Minghui que certains pratiquants prolongeaient le temps d’émission de pensées droites. Maintenant, à part les trois choses que Maître nous a demandées de faire, je prolonge aussi le temps d’émission des pensées droites. Par conséquent, il n’y avait plus de problèmes dans mon travail et mon efficacité dans la clarification de la vérité s’est nettement améliorée.

J’ai demandé a beaucoup de pratiquants pourquoi j’étais si occupé et pourquoi l’état de ma cultivation n’était pas bien malgré que je faisais aussi les trois choses et que je considérais moi-même que je les faisais bien. Lorsque j’étudiais le Fa, je n’ai pas réalisé jusqu’à aujourd’hui les mots suivants de Maître.

 « Nous disons que le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent. » (« 4e leçon », Zhuan Falun)

Bien que je clarifiais la vérité et la quantité de documents de clarification de la vérité que j’ai donné n’était pas peu, j’avais toujours l’attachement de peur. En particulier, si je n’avais pas distribué des documents de clarification de la vérité pendant une période de temps, je ne voulais pas le faire. Lorsque les documents m’étaient envoyés, je les passais à d’autres pratiquants. Mais si les compagnons de pratique étaient incapables de distribuer une si grande quantité pour différentes raisons, je devais les ramener chez moi et je pensais en plus : « Pourquoi ses pratiquants retraités ou au chômage ne peuvent-ils pas les distribuer ? N’ont-ils pas plein de temps ? Je le ferais si j’avais autant de temps qu’eux. J’étais déjà très occupé avec mon travail et je devais en plus distribuer les documents, donc je devais les laisser chez moi et le faire lorsque j’étais libre.

Plus tard, alors que j’avais depuis distribué tous les documents, je l’ai fait passivement au lieu de traiter activement le travail de Dafa comme la meilleure et la plus spirituelle tâche. A cause de cette pensée, la perversité a trouvé des excuses pour la persécution : puisque tu ne veux pas faire le travail de Dafa, je vais te laisser faire les choses des gens ordinaires. Donc la perversité ont poussé le travail des gens ordinaires sur moi et c’est la raison pour laquelle j’avais été si occupé et que j’avais même expérimenté d’autres tribulations.

J'ai soudainement eu une bouffé d’air de soulagement après avoir réalisé ce point.

Le 12 juillet 2005

Traduit en Europe le 30 juillet 2005 de l’anglais :