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Échapper au danger avec des pensées droites

14 janvier 2006 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa de la province de Shandong

(Minghui.org)

Un jour début décembre 2005, après dîner je suis allé au centre commercial du centre ville avec d’autres pratiquants, comme d’habitude. Nous y clarifions la vérité aux passants et nous leur proposons de quitter le Parti communiste chinois (PCC) et ses organisations affiliées.

Après avoir convaincu quelques personnes de quitter le PCC, trois voitures de police sont soudainement apparues juste en face de moi. Les policiers sont sortis et nous ont encerclés, moi et un autre pratiquant. Le chef a crié « Qu’est-ce que vous faites là ? Vous avez été dénoncés » Pendant qu’il parlait, les autres ont voulu nous prendre. La police a commencé à me pousser dans la voiture. Je me suis assis en lotus et j’ai émis des pensées droites. En même temps j’ai dit à la police «Personne ne doit me toucher » Personne ne s’est approché.

Alors de plus en plus de monde s’est attroupé. Un des policiers m’insultait. Je l’ai regardé sévèrement et je lui ai dit : « Je suis plus âgé que vos parents. Vos parents vous ont-ils appris à insulter les gens ? » J’ai dit à tous les gens présents « Le bien est récompensé et le mal puni. Celui qui persécute des gens bienveillants commet un pêché. Pensez au futur des membres de votre famille ! »

Nous étions bloqués. En émettant les pensées droites, j’ai demandé au Maître de me renforcer. J’ai pensé « Je dois partir » Je me suis levé et j’ai traversé la rue. Il y avait un taxi, je l’ai pris. Trois voitures de police nous ont suivis. Après quelques km, le conducteur a eu peur et s’est arrêté. Quand je suis sorti du taxi j’ai pensé à la façon d’échapper à la police tout en émettant des pensées droites. A la faveur de l’obscurité, je me suis caché dans un coin qui me protégeait du vent. Il faisait très froid et mes chaussures étaient trempées et boueuses. Après plusieurs heures de cache-cache, j’entendais encore les bruits de pas des policiers.

Après un moment j’ai pensé « Ce que je fais est le plus sacré. Le mal n’est pas digne de me persécuter. Je dois marcher avec droiture. » J’ai alors pris la route principale puis suis monté dans un taxi. Je suis rentré chez moi sans problème.

L’autre pratiquant n’a pas non plus coopéré avec la persécution, du début à la fin. Les policiers dépourvus l’ont finalement relâché.