(Minghui.org)
Maître nous a choisis, Il nous a sauvés de l’enfer et Il a arrangé un chemin de cultivation pour nous. Est-ce que nous choisissons le chemin que Maître a arrangé pour nous ? Est-ce que nous voulons marcher avec droiture sur ce chemin ? Voulons-nous accomplir le voyage? Comment marcherons-nous sur ce chemin ?
Comment saurons-nous si le chemin sur lequel nous marchons est bien celui que Maître a arrangé pour nous ? Comment saurons-nous si le choix que nous faisons est le bon ? Quand nous ne sommes pas sûr de ce qu’il nous faudrait faire, nous devons nous calmer et étudier la Loi en profondeur, alors nous serons en mesure de « voir » le chemin que Maître a arrangé pour nous. Quand je regarde les problèmes que j’ai eus et les choix que j’ai faits depuis que j’ai commencé la cultivation, rien n’a échappé au Zhuan Falun. En fait mon problème était que mon niveau de cultivation était trop bas et je ne me rendais pas compte de ce fait.
Les gens disent que la vie est constituée d’une série de choix. Sur le chemin de cultivation que Maître nous a arrangé, nous devons choisir si nous voulons bien marcher chaque pas, ou trébucher de temps en temps. Faute d’une grande volonté et des pensées droites puissantes un pratiquant sera incapable de faire constamment les bons choix. En présence des tribulations et des conflits le résultat peut être très différent selon les choix dans la pensée. La pensée au moment précis de faire un choix est souvent la plus cruciale.
Nous avons dit que le mal et le bien vient de la pensée spontanée d’une personne et que la pensée à ce moment là peut avoir des conséquences différentes. » (Zhuan Falun)
Cette pensée droite fidèle dépend de notre étude fréquente et bien faite de la Loi (Fa) pour que l’on puisse connaître le chemin que Maître veut que nous suivions.
Qu’une « maladie » soit ou non une maladie, c’est choisie par la pensée de la considérer comme une « maladie » ou pas. Je me rends compte que bien que la « maladie » est en relation avec le karma accumulé dans le passé, un « pratiquant n’a pas de maladie ». Même avec du karma un pratiquant continue à être capable de faire ce qu’il doit faire pour valider Dafa. Les forces anciennes se servent de la « maladie » pour interférer dans la pensée et la croyance droite du pratiquant. De la même façon une seule pensée peut décider si on sera constant ou si on prendra les choses plus à la légère. C’est avec sa pensée que l’on décide si on va accepter passivement la persécution ou si on va refuser de reconnaître l’arrangement des forces anciennes. Le choix que l’on fera à partir de cette seule pensée est celui qui va décider si on va pouvoir marcher comme il faut sur le chemin arrangé pour nous et si nous voulons vraiment s’assimiler à Dafa.
Je me suis rendu compte que si celui qui cultive est divin ou humain, que cela peut se décider à partir d’une seule pensée. Les forces anciennes ont choisi d’interférer avec la rectification de la loi et elles seront de ce fait, détruites. Au moment ou je relate les faits auprès des personnes, la pensée d’un Chinois, sur son choix de quitter ou non le PCC et ses associations affiliées, décide si oui ou non à l’avenir il mourra avec le parti pervers. Les pensées que nous émettons envers les personnes à qui nous clarifions la vérité ont également un effet sur eux. Est-ce que cela n’affectera pas aussi directement leur avenir? N’est-ce pas que les bonnes pensées des pratiquants aide Maître à sauver plus d’êtres ?
Donc aujourd’hui mes pensées sont toujours tournées vers les autres et à ma responsabilité pour les êtres, plutôt que de ne penser, égoïstement, qu’à ma propre cultivation. J’ai pris conscience que si l’on ne pense qu’à sa propre cultivation, nous ne faisons pas ce qui nous est demandé par Maître dans la période de la rectification de la loi. Ne s’occuper que de sa propre cultivation alors que l’on oublie la responsabilité et la mission que Maître a confiées aux « disciples de la période de la rectification de la loi » est aussi une forme d’égoïsme. Maître requiert de nous, que nous fassions bien les trois choses et elles sont requises par la rectification de la loi. Je sens que s’occuper que de sa propre cultivation, c’est la même chose que de s’occuper que de soi-même. Les vies sont devenues impures et dégradées à cause de leur égoïsme. Comment pourrions-nous retomber dans l’égoïsme et ne pas souhaiter cultiver puis retourner au ciel. J’ai pris conscience que je ne peux pas être préoccupé seulement par ma propre élévation et ne pas me considérer comme une particule de Dafa. J’ai à compléter la mission que Dafa m’a confiée.
Ce qui précède est ma compréhension. Soyez bon de me montrer ce qui ne serait pas exact.
Traduit de l’anglais en France le 23 octobre 2006