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Valider la Loi avec nos paroles et nos gestes

Samedi 11 novembre 2006

(Minghui.org)


Je suis un pratiquant de Dafa de la campagne, dans la province du Liaoning. Je gagne ma vie avec du travail manuel, normalement, je dois travailler plus de dix heures par jour. C’est assez fatiguant.

Les non-pratiquants avec lesquels je travaille habituellement essaient de perdre leur temps au travail quand le patron ou le surveillant est absent. Ils se disputent pour faire les travaux faciles et laissent les travaux fatigants qu’ils ne veulent pas faire, pour moi. Le patron a remarqué que je suis assez compétent et m’assigne ces travaux que les autres ne veulent pas faire. Comme je ne suis pas préoccupé par les difficultés, quoiqu’il me demande de faire, je garanti de bien le faire. Donc, le patron m’aime beaucoup et il me fait très confiance.

D’autres employés prennent aussi du plaisir à travailler avec moi. Ils font régulièrement des pauses cigarettes et se reposent. Je ne fume pas et je ne perds pas non plus mon temps au travail. Lorsque nous travaillons ensemble, je fais la part du lion du travail. Ils me font la remarque: « Pourquoi es-tu si bête ? Tu ne prends aucune pause ! » Je réponds que je suis un pratiquant et que je dois me discipliner avec fermeté.

La main d’œuvre est faite d’hommes et de femmes. Ni les uns ni les autres ne répugnent d’utiliser n’importe quels gros mots qui leur viennent à l’esprit. Ils ramènent aussi chez eux des produits du travail et m’encouragent à faire de même. Des personnes disent : « Il n’y a personne comme toi parmi les gens d’aujourd’hui. Tu ne fume pas, tu ne bois pas et tu ne cours pas non plus après les femmes. Tu ne fais que travailler durement et tu ne voles pas. Quel est le sens de la vie pour toi ? » Je dis : « Je suis un pratiquant de Dafa. Je ne ferais jamais rien qui endommagerait la réputation de Dafa. »

J’aide activement quiconque a des difficultés à finir son travail. Ils se battent souvent pour les bons boulots et les conflits surviennent souvent. J’aide alors à adoucir les communications entre eux. Ils ont tous une bonne impression de moi.

Je me traite comme un pratiquant de Dafa et j’équilibre bien mes relations avec les autres, je me discipline strictement. Ils ont tous été témoins de mon comportement. Ainsi, il m’est facile de clarifier la vérité et de les guider à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et des organisations affiliées. Ils disent tous : « Tu es une bonne personne, nous te faisons confiance ! » La plupart des gens qui me côtoient depuis plus longtemps, ont démissionné du PCC.

Quelque soit le travail que nous les pratiquants faisons, nos paroles et nos gestes sont liés directement à la réputation de Dafa. Nous devons donc nous traiter véritablement comme des pratiquants de Dafa et nous discipliner nous-mêmes avec fermeté, dans tous les domaines. C’est seulement alors que nous pouvons faire mieux en offrant le salut aux êtres vivants.