(Minghui.org)


Il y a plus de cinq cent pratiquants de Falun Gong détenus dans la prison pour femmes de Liaoning. Elles sont contraintes à de longues périodes de travaux forcés. Certaines font neuf à dix mois de travail forcé en un an, et elles doivent travailler dix-sept à vingt heures par jour. La prison ne permet aux prisonnières qui y sont détenues de se reposer qu’un jour par an.

Les pratiquantes qui ont été détenues dans cette prison sont dans une situation très difficile. Afin de surveiller les pratiquantes la police assemble les personnes détenues dans la prison par groupes de trois. Deux prisonnières surveillent une pratiquante. La pratiquante n’est pas autorisée à se déplacer seule. La police interdit aussi aux pratiquantes de s’adresser la parole mais feignent de ne s’occupent pas criminels.

La police a donné aux prisonnières l’ordre secret de malmener celles qui refusent de se « transformer, » dont les prisonnières exercent une pression sur les pratiquantes et utilisent divers moyens pour leur mener la vie dure. Une pratiquante a refuser la « transformation », la police a alors gelé son compte bancaire et lui a interdit d’utiliser l’argent. La police lui a alors interdit de voir quiconque, et aucune prisonnière n’a été autorisée à lui donner de nourriture ou des objets de nécessité quotidienne. Elle n’avait même pas de papier toilette. A la fin, la police a cessé de la persécuter, car ils ont eu peur qu’elle puisse vraiment mourir.

Il y a une autre pratiquante qui est très ferme dans sa croyance en Dafa. Cependant, la police a incité sa famille à ne pas lui donner d’argent et à exercer une pression sur elle mentale et physique pour essayer de la forcer à se « transformer. » La pratiquante a fait une grève de la faim pour protester et la police a cessé de la persécuter de peur que quelque chose n’arrive.

Un petit groupe de pratiquantes a protesté contre le surcroît de travail. Elles ont cessé de travailler quand l’heure était arrivée. La police voyant ça n’a rien fait parce qu’eux non plus n’aiment pas faire un surcroît de travail. Le deuxième jour, le chef de la prison l’a appris, et il est devenu furieux. Il a eu une réunion avec les prisonniers et les a menacés de ne pas réduire leurs condamnations. Ces prisonniers ont été exploités et persécutés longtemps par la police. Ils ont aussi souffert la douleur du surcroît de travail. Après un travail excessif pendant une longue période de temps, leur santé s’est détériorée. Certains sont devenus faibles et vomissaient souvent. Les prisonniers ont dit : « Lorsque nous sortirons, nous exposerons la perversité dont nous avons fait l’expérience ici. Nous irons sur Internet et feront savoir aux gens l’obscurité du Parti communiste pervers et sa brutalité envers la population chinoise.

Dans la prison, les prisonnières les moins bonnes seront davantage appréciées par la police. La police ne torture pas les pratiquantes personnellement. Ils utilisent ces prisonnières pour tabasser les pratiquantes. Une prisonnière utilisait des aiguilles quelle enfonçait sous les ongles d’une pratiquante, afin de la forcer à renoncer à sa pratique.

In China's prisons, people can spend money to bail out prisoners, including for medical treatment. They can spend money to buy a rather relaxing job, for example, a job at hospitals, supermarkets and security. For prisoners who have no power or money, if they become sick they have to go to the hospital in the morning and come back to work in the afternoon, otherwise the police will curse the prisoner. Many prisoners have to go back to work immediately after they come back from the hospital, whether they have heart disease or a headache. The police do not allow practitioners to be bailed out for treatment. They are still forced to work fourteen hours per day. If they rest for a little while, the prisoners curse them.

Dans les prisons chinoises, les gens peuvent donner de l’argent pour faire sortir les prisonniers sous caution, y compris pour raison médicale. Ils peuvent dépenser de l’argent pour acheter un job relativement facile, par exemple, dans les hôpitaux, les supermarchés et la sécurité. Pour les prisonniers qui ont du pouvoir ou de l’argent, s’ils tombent malades, ils doivent aller à l’hôpital le matin et revenir travailler l’après midi, sans quoi la police insultera le prisonnier. De nombreux prisonniers doivent retourner travailler immédiatement après être revenus de l’hôpital qu’ils soient malades du cœur ou aient des maux de tête. La police n’autorise pas les prisonniers à être libérés pour un traitement. Ils sont quand même forcés à travailler quatorze heures par jour. S’ils se reposent un petit peu, les prisonniers les insultent.

En mars 2004, le huitième groupe de la prison a ordonné aux prisonnières de suspendre des pratiquantes par leurs menottes et de les frapper pour « transformer » celles qui sont déterminées dans leur croyance. Certaines prisonnières recouvrent la tête d’une pratiquante d’un vêtement et plusieurs prisonnières la passent alors à tabac. Après quoi, elles refusent d’admettre que ce sont elles qui ont battu la pratiquante.

La police a aussi interdit aux pratiquantes de faire les exercices et d’étudier la Loi. Elles essaient aussi d’interdire aux autres prisonnières d’apprendre le Falun Gong. Certaines prisonnières savent que Dafa est très bon et elles regrettent profondément leurs crimes. Elles étudient la Loi en secret. Certaines ont aidé les pratiquantes à faire passer des articles et ont été vues par d’autres prisonnières, qui les ont dénoncées à la police. Certaines, après qu’elles aident les pratiquantes, sont battues, on leurs comptes en banque gelés, et n’ont pas le droit de dépenser d’argent en nécessités quotidiennes et en nourriture. Certaines reçoivent moins de nourriture, ont des points de mérite déduits et ne reçoivent pas de réduction de peine. Mais celles qui ont une foi juste n’en disent pas moins secrètement « Falun Dafa est bon ! » Certaines ont appris en secret les poèmes de Hong Yin. Certaines ont commencé à apprendre Dafa.