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Images claires de souvenirs merveilleux

Mardi 21 novembre 2006 |   Écrit par une pratiquante de la province du Hebei

(Minghui.org)

Quand je tiens le livre, Notre Maître, Pratiquants du Falun Gong V, Mémoire de Maître Li en Chine, je me sens comme si je retournais dans la même salle de conférence où j’ai entendu Maître enseigner la Loi, baigné dans sa grande compassion. En un instant, l’excitation, des larmes de joie et des mains que l’on serre, remplissent mon esprit d’images des meilleurs souvenirs sur la terre. Tout est tellement clair, comme si cela venait juste d’arriver hier.

Maître prépare chaque disciple à obtenir la Loi

Une journée d’octobre 2004, j’étais déterminée à participer à la dernière classe que le Maître devait tenir à Guangzhou. Cependant, quand j’ai dit à mon mari mon plan, il a immédiatement répondu : « Je n’ai jamais entendu que pour pratiquer le Qigong on doive se rendre à Guangzhou, à des milliers de milles d’ici. Combien d’argent vas-tu avoir besoin ? » J’ai répondu : « Dans toute ma vie entière, il n’y a rien que je n’ai pu faire sans [argent], mais louper Guangzhou serait le plus grand regret de ma vie. Je suis prête à partir. » « Tu peux y aller si tu trouves quelqu’un pour défrayer les coûts, ne reviens pas si tu y dépenses ton propre argent ». Le lendemain, un de mes compagnon de classe est revenu et il avait un certain degré de pouvoir. Je lui ai dit ce que mon mari avait dit et il a immédiatement répondu qu’il m’aiderait à payer mes dépenses. J’ai été donc capable de me joindre à la dernière classe du Maître à Guangzhou.

Une journée avant de partir pour la classe à Guangzhou, j’ai organisé une rencontre au troisième étage de mon lieu de travail. Dans le but de bien me préparer, j’ai quitté la réunion plus tôt. Quand j’ai quitté le troisième étage, j’avais initialement décidé de ne pas retourner à mon bureau situé au deuxième étage. Cependant, sans savoir pourquoi, je me suis rendue à mon bureau. Voyant que le téléphone sonnait, j’ai demandé à un travailleur s’il savait qui téléphonait. Le travailleur a répondu qu’il ne le savait pas. J’ai décroché le téléphone. C’était ma mère qui m’appelait. Elle a dit : « Au départ, j’ai discuté avec ton père que nous n’irions pas à Guangzhou après que nous ayons acheté notre nouvelle maison, mais maintenant il me demande d’y aller une autre fois encore» J’étais tellement émue que je ne savais plus quoi dire, parce que je savais que ma mère ne serait pas capable d’y aller par ses propres moyens. C’était le Maître qui une fois de plus avait personnellement arrangé cela pour que tous ses disciples remplissent leurs relations prédestinées. J’étais très émue et je pleurais en descendant les marches, me sentant comme si j’avais rencontré une relation perdue de vue depuis longtemps.

Ma mère et moi avons vu le Falun

Après que j’ai complètement lu le livre Falun Gong, pour la première fois, en août 1994, j’avais beaucoup de questions. J’ai parlé avec un pratiquant plus âgé durant une nuit entière. Le lendemain matin j’ai vu un petit Falun dans le bas du coin droit de mon œil juste avant que je me réveille, Même s’il était petit, il était très clair et brillant. J’ai dit au Maître dans mon cœur, Maître je crois en vous maintenant !

En retournant à mon hôtel, le troisième jour de classe, ma mère et moi ne pouvions pas dormir du tout. Ma mère avait une mauvaise toux et sa poitrine avait une douleur lancinante. C’était même souffrant de tourner son corps. J’avais les symptômes de la grippe. Cependant, nous savions toutes les deux que c’était le Maître qui nettoyait, pour nous, nos corps pollués et que c’était une bonne chose. Vers 4 h ou 5 h du matin, le lendemain matin, ma mère m’a dit qu’elle avait vu un très large Falun, aussi grand que le mur, brillant et tournant.

Nous avons vraiment rencontré un vrai Bouddha

Au sixième jour de classe, après m’être assise, j’ai réalisé qu’il y avait une fille d’environ dix-sept ou dix-huit ans qui pleurait beaucoup à côté de moi. Je lui ai demandé pourquoi et elle m’a dit que son œil céleste était ouvert et qu’elle avait vu plusieurs divinités célestes et des soldats qui protégeaient la Loi en haut de la salle. Elle avait aussi vu plusieurs groupes d’anges et de fées. Elle m’a dit qu’habituellement elle ne croyait pas aux êtres spirituels et aux dieux, mais maintenant, finalement cette fois-ci, elle y croyait après avoir rencontré un vrai Bouddha!

Pas de perte, pas de gain

Quelques jours après mon retour de la classe de Guangzhou, quelque chose d’étrange s’est produit, je marchais dans la rue, pourtant, quoique restant pleinement consciente et réveillée, il y a eu quelques minutes où je n’ai simplement pas pu bouger ni me déplacer. Je ne pouvais qu’écouter les ordres d’un voleur et ils ont pris mon collier en or. J’ai réalisé après cet incident que j’avais été volée. Par la suite, j’ai calculé et réalisé que le coût de mon collier était environ le même que le coût que mon ami avait payé pour mes dépenses. J’étais effectivement dans une situation de pas de perte, pas de gain. Je ne peux pas prendre avantage des autres justes pour apprendre la Loi et ainsi perdre de la vertu. Maître a vraiment beaucoup de considération pour nous tous, les disciples !


Traduit de l’anglais au Canada le 14 novembre 2006.