(Minghui.org)

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en novembre 1998. Au tout début de ma pratique, j'ai senti le Maître ajuster mon corps, et je sentais le Falun, la roue de la Loi, tourner dans mon corps. Quand je faisais le deuxième exercice – où le pratiquant tient ses bras en cercle, je sentais un grand Falun tourner rapidement. Pendant la méditation, je voyais des scènes magnifiques de d'autres espaces. J'étais sur le point d'être mère, la plupart du temps je restais à la maison et je participais rarement à l'étude de la Loi ou aux exercices en groupe. En fait, j'avais appris les exercices auparavant avec d'autres pratiquants le 20 juillet 1998, mais au début, ma compréhension de Dafa était limitée à la guérison physique. Cependant le Maître m'aidait déjà, car lorsque j'ai eu de grandes douleurs en donnant naissance, j'ai senti une grande main m'encerclant le dos et poussant en bas, et le bébé est né. Je ne suis pas allée à l'hôpital. Tout le monde a dit que j'avais eu une douce délivrance. Mais à cause de ma pauvre qualité d'éveil, je m'inquiétais sans cesse de savoir si le Maître me guidait et si j'étais capable de cultiver et pratiquer.

Ce n'est qu'en novembre 1998 que finalement j’ai décidé que je voulais suivre le Maître et pratiquer Dafa. Une nuit, alors que j'étais à moitié endormie, j'ai vu un Fashen – Corps de Loi – du Maître installer un objet blanc et lumineux dans mon ventre et mon estomac s'est gonflé instantanément. Je voulais bouger, mais je n'y arrivais pas. J'ai pensé que quelque esprit malveillant essayait de me blesser, car auparavant je pratiquais toutes sortes de qigong et ils m'avaient créé des interférences quand j'essayais de pratiquer Dafa. J'ai crié : « Maître, au secours ! Je ne veux pas de cette chose ! » Le Maître a regardé amusé et j'ai entendu une douce voix dire : « Cesse de crier, je suis ton Maître. Je t'ai donné une bonne chose, mais tu ne la veux pas ! »

J'ai été profondément convaincue de la grandeur de Dafa et du Maître depuis lors, et je fais les exercices tous les jours. Même si je ne participais pas à l'étude de la Loi et aux exercices en groupe fréquemment et qu'en général j'écoutais les cassettes des conférences du Maître, je sentais clairement que le Maître me poussait en haut. Mon xinxing s'est rapidement amélioré et j'ai mémorisé de nombreux passages de Dafa. Mon domicile est spacieux et je l'ai offert comme local pour les conférences de Loi. Pendant les conférences de Loi, je voyais d'innombrables Falun tomber du ciel et remplir notre pièce. Toute ma famille baignait dans l'harmonie. Mon mari et deux beaux-frères étudiaient souvent la Loi et faisaient les exercices avec les autres pratiquants. Notre travail à domicile prospérait également. Tout était magnifique.

Résister à la persécution et valider la Loi

Ma profession est enseignante. Notre maison était un site de pratique et ma belle-mère était une assistante bénévole. Après que le groupe de Jiang ait commencé à persécuter Dafa le 20 juillet 1999, des fonctionnaires du système juridique et judiciaire sont sans arrêt venus chez nous pour nous harceler. Je croyais fermement dans le Maître et dans Dafa, mais j'avais peur de faire ouvertement les exercices au travail. Je me levais à minuit chaque nuit pour faire les exercices et je me réveillais naturellement à minuit. Le Maître m'a constamment encouragée. Je voyais vaguement des scènes magnifiques dans d'autres espaces pendant les exercices ou dans mes rêves. Je savais que le Maître me poussait en avant, qu'il me disait de croire fermement dans Dafa et d'être diligente !

Bientôt, des fonctionnaires sans foi, ni loi, trompèrent ma belle-mère. Ils l'ont attirée au centre de détention du canton le soir du 19 février 2000, cela a affecté notre affaire, car c'est elle qui la dirigeait en majeure partie. Le Parti malveillant a également lavé le cerveau à mon beau-père, à mes beaux-frères et à mon mari avec une propagande de haine.

Quelques jours avant l'arrestation illégale de ma belle-mère, elle et moi avions écrit une lettre pour clarifier la vérité au chef de police. Je me demandais si je devais remettre cette lettre après qu'elle ait été arrêtée. La perversité dans d'autres espaces a vu mon attachement à la peur et a manipulé ma famille pour me surveiller et m'empêcher de quitter la maison.

Mon beau-frère est resté à la maison et m'a surveillée le jour où j'avais décidé de remettre la lettre au département de police. Il ne voulait pas me laisser aller où que ce soit. Le Maître ne nous avait pas encore enseigné à émettre la pensée droite. Mais j'ai pensé : « Tu ne peux pas me garder ici. C'est sûr que je vais remettre cette lettre ! »

Mon beau-frère est parti après que j'aie eu cette pensée. Je savais que le Maître était en train de m'aider. J'ai acheté quelques affaires pour ma belle-mère et j'ai marché vers le département de police. Tout du long du chemin vers le département de police, j'étais remplie de pensées droites. Les policiers n'avaient pas encore repris le travail quand je suis arrivée, alors j'ai attendu. D'étranges pensées arrivaient sans cesse, comme « Et s'ils m'arrêtaient ? », « Comment va agir le chef de police ? », « Dois-je ou non lui donner la lettre ? » J'ai décidé de me débarrasser de ces pensées et j'ai personnellement remis la lettre au chef de police qui avait arrêté un bon nombre de pratiquants de Dafa. Je ne pensais pas que c'était une mauvaise personne, je pensais simplement qu'il ne connaissait pas la vérité. Il a lu attentivement la lettre deux fois, puis il l'a mise dans un tiroir. Il a dit qu'il allait envoyer les choses à ma belle-mère au centre de détention et qu'il allait réfléchir à ce que je disais dans la lettre, il m'a demandé de rentrer chez moi. Dans la lettre, je lui disais que le Falun Gong est bon et je lui demandais de libérer ma belle-mère et d'autres pratiquants de Dafa. Mon cœur était tellement léger sur le chemin du retour, en pensant que j'avais validé Dafa avec mes actes. Avant cet incident, je me sentais souvent honteuse de ne pas être sortie pour faire respecter la justice pour le Maître et pour Dafa.

Le lendemain, le chef de police a raconté à mon beau-père ce qui s'était passé. Les fonctionnaires ont essayé de faire que ma famille surveille mes mouvements, mais j'ai refusé de coopérer avec eux. L'école commençait le 6 mars 2000 et je suis retournée travailler à l'école, située à une trentaine de kilomètres de chez moi.

Je sentais que je devais clarifier la vérité aux fonctionnaires et leur demander de libérer ma belle-mère. J'ai écrit une autre lettre au secrétaire du comité politique et judiciaire et je l'ai amenée au Bureau pour les lettres et les appels un dimanche. Les fonctionnaires là-bas ont lu la lettre et demandé si j'avais utilisé mon vrai nom. J'ai répondu que oui. Ils m'ont laissée partir.

Après que je sois retournée au travail, la police a reçu l'ordre du secrétaire du comité politique et judiciaire de me placer sous « surveillance stricte » pour avoir écrit une lettre clarifiant les faits sur le Falun Gong. Ils ont également donné l'ordre à la police du quartier de collaborer avec eux pour me persécuter. Les fonctionnaires du gouvernement du quartier et du Bureau de l'éducation et de la culture, le chef du département de police et le principal de mon école ont tous fait pression pour que je renonce à Dafa. Ils ont obligé tous les professeurs de l'école à me surveiller chacun son tour ; quiconque refusait de suivre cet ordre était envoyé travailler dans une région lointaine, en plus d'avoir une réduction de salaire. Les malfrats ont mené la persécution en grande partie en coupant les vivres des gens. Ils me surveillaient 24h par jour. L'atmosphère à l'école était tendue. Beaucoup de professeurs ont cessé de me parler. J'avais près de trente ans et je n'avais jamais auparavant fait l'expérience d'une telle chose. Je ne savais pas vers qui me tourner pour avoir de l'aide. J'étais effrayée quand je voyais des voitures de police venir dans notre école, parfois mes muscles se contractaient de peur. Je récitais la Loi du Maître et les paroles du Maître apparaissaient dans ma tête :

 « Dans n’importe quelle circonstance difficile, vous tous, restez calmes dans votre cœur. Un cœur inébranlable est capable de maîtriser dix mille choses agitées. » (« Conférence de Loi à la conférence du Midwest américain »)

Je sentais que le Maître était juste à côté de moi. Je pensais : « Je suis une disciple du Maître. Nous n'avons rien fait de mal. Pourquoi devrions-nous craindre la police ? La police arrête les mauvaises personnes, et je ne suis pas une mauvaise personne. » Les pensées droites apparaissaient dans mon coeur.

Les fonctionnaires me parlaient souvent et ne me laissaient pas enseigner mes cours, mais chaque fois je cessais de leur parler parce qu'ils sortaient des arguments irrationnels. À cette période-là je me souvenais bien de la Loi et je n'avais aucune crainte en face d'eux.

Mon esprit était pur et je pouvais réciter de nombreux passages de la Loi. Je pouvais mémoriser les nouveaux articles du Maître après les avoir lus seulement deux ou trois fois. Je clarifiais souvent la vérité selon les principes que j'avais compris dans la Loi et je leur récitais la Loi. Ils me posaient beaucoup de questions. Le secrétaire du Parti du quartier ne pouvait rien faire pour m'empêcher de valider la Loi. Il était vraiment fâché ! Il disait : « Je peux vous arrêter ! » Je lui répondais : « Dans votre position en tant qu'administrateur de la loi, vous commettriez un crime ! Je suis une bonne personne, je ne peux pas être arrêtée ! »

Ils n'ont pas osé manquer de respect envers le Maître en ma présence, ils ont dit : « Vous êtes la seule disciple déterminée qu'il reste pour votre Maître. »

Le Maître me protégeait tout le temps. Quand les fonctionnaires venaient vers moi, des non-pratiquants leur répétaient sans cesse : « Vous ne faites rien de bon ! Pourquoi êtes-vous toujours en train d'embêter 'Petit Lotus' ? C'est une personne tellement merveilleuse ! » Une fois, j'ai écrit une lettre au commissaire du quartier et je lui ai remise en main propre sous la pluie pendant mon temps libre. Personne n'a dit du bon de cette personne, alors j'ai hésité avant d'y aller, mais finalement j'ai brisé diverses conceptions et je suis allée au commissariat. Il a tout de suite sorti son revolver et l'a brandi devant moi, mais je n'ai ressenti aucune peur. Puis il a lu la lettre et m'a posé quelques questions. Il a dit : « Ne perdrions-nous pas tous nos emplois si chacun dans le monde pratiquait le Falun Gong ? » Il a dit que c'était vraiment remarquable de ma part de sortir sous la pluie pour lui apporter la lettre. Je peux dire qu'il était vraiment touché. Nous devons abandonner toutes sortes de conceptions humaines lorsque nous clarifions la vérité.

Je n'ai coopéré avec aucune forme de persécution. Les fonctionnaires sont allés vers mon mari qui était en affaires à Pékin. Ils l'ont forcé à me pousser sans cesse à renoncer à la pratique de Dafa, j'ai fermement refusé de coopérer avec eux. Les malfrats cherchaient mon « point faible ». Le chef du bureau de l'éducation et de la culture et le commissaire ont vu que les méthodes « dures » ne marchaient pas, alors ils ont opté pour une méthode « douce ». Ils m'ont suppliée, disant qu'ils allaient tous perdre leur emploi si je ne renonçais pas à la pratique de Dafa, qu'ils avaient des familles à nourrir entre autres. Je n'ai pas été vigilante à leur complot et leur tactique m'a trompée. J'ai écrit une « lettre de garantie » de renoncer à Dafa.

Quelques jours avant d'écrire la déclaration, j'avais eu une discussion avec une ancienne pratiquante de notre canton. Elle a dit que ce n'était rien d'écrire une déclaration de garantie, tant que nous pouvions éviter la persécution perverse, comme nous n'écrivions pas spécifiquement « Falun Gong », nous trompions simplement la perversité. En fait nous nous trompions nous-mêmes et nous cachions nos attachements avec des conceptions humaines ! Comme le Maître a dit, j'ai imité d'autres pratiquants et je n'ai pas considéré les choses selon la perspective de la Loi. La perversité a profité de la pensée déviante dans ma tête. J'ai pleuré tout le temps que j'écrivais la déclaration et mon coeur saignait en sortant du bureau. Je sentais que je n'étais plus digne de Dafa. Plus tard cette nuit-là, j'ai fait un rêve dans lequel je chutais d'un endroit très élevé et j'ai cessé de voir de magnifiques scènes dans mes rêves.

J'avais toujours à l'esprit la pensée de réparer la souillure que j'avais mise sur Dafa. J'ai décidé d'aller à Pékin à la fin 2000, pour me laver de ma honte d'avoir écrit la déclaration de garantie, ainsi que pour demander justice pour Dafa. J'ai laissé une lettre à ma famille dans laquelle je leur clarifiais la vérité le 25 décembre 2000. Ma belle-mère et moi avons pris le train pour Pékin. Nous sommes allées à la place Tiananmen, mais la police nous a arrêtée avant que nous puissions dérouler une banderole où l'on pouvait lire : « Falun Dafa est bon ». La police m'a demandé d'où je venais. Tout d'abord, j'ai laissé mes conceptions humaines gagner et j'ai pensé : « Je n'ai encore rien fait, alors je vais dire que je suis une touriste de la province du Hebei. » J'étais en train de coopérer avec la perversité ! J'ai aussitôt réalisé que j'avais fait une erreur, car le Maître nous dit de ne pas coopérer avec les ordres de la perversité en aucune circonstance. J'ai pensé : « Ce serait bien s'il pouvait oublier ce que je viens de lui dire. » Un instant après, le jeune officier de police a dit : « D'où avez-vous dit que vous veniez ? J'ai oublié. » J'ai dit : « C'est bien que vous oubliiez. » Quand la police a essayé de nous fouiller, j'ai pensé que je ne pouvais absolument pas le laisser me fouiller, car je portais des articles de Dafa sur moi. Ils ne m'ont pas fouillée.

Nous avons été emmenée au poste de Tiananmen et nous n'avons pas dit nos noms quand on nous les demandait. Nous avons été enfermées dans un abri à vélo avec une trentaine d'autres pratiquants de Dafa déjà à l'intérieur. Un élève de l'école élémentaire avec son sac à dos était aussi venu à Tiananmen. Une pratiquante était dans les 70 ans, mais avait l'air 30 ans plus jeune. Elle récitait sans cesse :

 « Si l'homme n'a pas de vertu, il y aura des calamités naturelles et des fléaux humains. » (« La droiture de la Loi » tiré de « Principes essentiels pour un avancement assidu »)

J'étais impressionnée. Un policier portant une matraque électrique lui souriait sans cesse et la louait de « faire du bon travail ». Il lui a dit de continuer à réciter la Loi et tous nous avons commencé à réciter la Loi.

Je me tenais vers la sortie de l'abri. La police nous a dit de nous tenir près les uns des autres sans bouger. J'ai pensé que je ne devais pas l'écouter, alors je ne suis pas allée du côté où il y avait le plus de pratiquants. Un policier m'a montré un coin et m'a dit d'aller là-bas, j'ai refusé. Il était fâché et a marché dans ma direction avec la matraque électrique dans la main. Tout à coup, mon mari s'est pointé et a dit à la police : « C'est ma femme, je vais l'emmener. » Le policier a souri à mon mari et a dit : « Ah, alors c'est votre femme ! Emmenez-la. » Je pensais que mon mari connaissait le policier, mais en fait ils ne s'étaient jamais vus auparavant ! Pendant l'arrestation, j'avais pensé : « Ce serait bien si mon mari pouvait venir et m'aider. Je n'ai pas encore validé la Loi, je ne peux pas être arrêtée. » Le Maître a fait tous les arrangements ! Une fois de retour à la maison, j'ai fait un rêve dans lequel j'avais reçu un résultat parfait à une épreuve. J'avais répondu faux à une question, mais je l'avais corrigée ensuite.

Créer un environnement de cultivation

Je suis retournée travailler et les fonctionnaires n'osaient pas me surveiller ouvertement. Le secrétaire du Parti a bien réprimandé le principal et les fonctionnaires du quartier, disant que « j'avais fui » parce qu'ils me surveillaient trop étroitement. Ils ne savaient pas que j'étais allée à Pékin. Il s'est avéré qu'ils voyageaient à Pékin comme touristes le jour où mon mari est venu me chercher.

Le Maître a fait ces plans méticuleux pour me protéger ! Plus de 20 fonctionnaires du gouvernement municipal, du commissariat, du bureau de l'éducation et de la culture et de l'office cantonal de l'éducation sont allés à Pékin pour me chercher. Après mon retour, ils ne m'ont plus harcelée aussi fréquemment qu'avant, car ils avaient peur que je « m'enfuie » de nouveau. J'ai agi sans crainte. Ils m'ont menacée de me licencier si je continuais à pratiquer Dafa. Je n'étais pas intimidée et je n'avais aucune conception. Finalement, ils ont dit lors d'une conférence qu'ils pouvaient licencier tout le monde sauf moi, car ils avaient peur que j'aille à Pékin faire appel !

Le secrétaire du Parti leur a dit lors de la conférence que je devais être laissée seule pour pratiquer à la maison et qu'ils cacheraient cela tant que les hauts fonctionnaires ne me verraient pas en train de faire les exercices. J'ai pensé : « Pourquoi devrais-je agir secrètement pour faire les exercices ? Je dois pratiquer ouvertement, dehors. Le Maître nous a donné cette forme de cultivation et pratique. » Je faisais les exercices sur le campus et je pensais : « Si vous ne me laissez pas pratiquer sur le campus, je vais pratiquer à la porte d'entrée, car c'est une propriété publique, donc personne ne peut me créer d'interférences. » Personne ne m'a créé d'interférences. J'ai créé un environnement pour pratiquer ouvertement Dafa. Un policier est venu sur le terrain de l'école un soir et il me regardait. J'ai pensé : « Je vais vous montrer comment faire les exercices. » Je l'ai ignoré. Quand j'ai ouvert les yeux, il était déjà parti. Quand je l'ai rencontré plus tard et que je lui ai clarifié la vérité, je lui ai demandé : « Vous les gars, vous surveillez ma pratique ? » Le chef de police a répondu : « Non, nous n'avons jamais fait une chose pareille ! » Je faisais les quatre séries d'exercices le matin et la méditation le soir sur le terrain de l'école.

Je devais briser toutes sortes de conceptions humaines avant de sortir pour la pratique quotidienne. J'avais peur que les élèves ne me comprennent pas, parce que les nouveaux élèves avaient eu le lavage de cerveau avec la propagande de l'incident de l'auto-immolation sur la place Tiananmen. Les conceptions humaines bouillonnaient dans ma tête et je les surmontais les unes après les autres. Lorsque je n'avais plus aucune conception et qu'aussi je faisais bien les exercices, je sentais que j'étais incroyablement grande, la région environnante de plusieurs kilomètres carré était enveloppée dans mon champ de gong, tout dans l'école devenait très harmonieux. Les bâtiments, les arbres, les fleurs, l'herbe et le soleil du matin, tous me souriaient et toutes sortes d'oiseaux pépiaient alentour. Parfois, quand j'ouvrais les yeux, je voyais des élèves imiter mes mouvements. Petit à petit, les gens se sont habitués à la scène et ils n'étaient plus surpris par ma présence. Je souriais et les saluais sur le chemin de retour vers le dortoir.

Clarifier la vérité et sauver les êtres

J'ai secrètement essayé de me défaire de la surveillance pour pouvoir distribuer des documents clarifiant la vérité. J'ai demandé à mon mari de m'acheter une motocyclette et je la conduisais dans la campagne pour distribuer des dépliants. Quand j'arrivais dans un village, je marchais avec une main sur la moto et de l'autre je distribuais des dépliants. L'été c'était facile, même si parfois il pleuvait. Il fait vraiment très froid en hiver dans le nord de la Chine et j'ai beaucoup souffert. Une fois, je distribuais des dépliants dans un village et un homme est venu tout de suite après que j'aie laissé un dépliant devant la porte d'entrée. Il m'a vu mettre le dépliant par terre et a essayé de dire quelque chose. Je suis devenue nerveuse et j'ai poussé ma moto pour tenter de m'en aller. La moto est tout d'un coup tombée par terre et je n'arrivais plus à la démarrer ! Je me suis dit : « Plus tu seras nerveuse, plus la perversité pourra interférer. De quoi as-tu peur ? »

 « Avoir peur de quoi ? Même si la tête tombait, le corps resterait assis en tailleur. » (« Grande exposition » tiré de « Principes essentiels pour un avancement assidu »)

 « Ne t'inquiète pas » me suis-je dit : « Tu es ici pour sauver les êtres. Le Maître est ici et Dafa est ici ! » La peur m'a immédiatement quittée. L'homme ne m'a rien dit. Parfois il fait très froid l'hiver et je pensais : « Je suis une pratiquante de Dafa. Puisque je suis ici pour sauver les êtres, je ne devrais pas avoir aussi froid. » Petit à petit, mes mains ne furent plus aussi raides et je pouvais tenir le guidon et mes pieds ne me faisaient plus mal à cause du froid.

Je n'ai presque jamais rencontré de situation dangereuse. J'ai parfois suspendu des banderoles en envoyant toujours la pensée droite, demandant aux banderoles de rester là pendant longtemps. Une banderole est restée là pendant un an, jusqu'à ce que les couleurs passent et que le texte ne soit plus lisible, alors je l'ai descendue. Une fois, j'avais pris des brochures de Dafa et j'avais décidé de les distribuer au gouvernement municipal. J'en ai mis plusieurs dans les poches de mon manteau. Quand je suis retournée au campus, une collègue qui partageait ma chambre a insisté pour essayer mon manteau et elle a découvert les dépliants dans mes poches. Elle avait été contrainte à me surveiller. J'ai pensé : « D'accord, donc tu les as trouvés. Je n'ai pas peur. » Elle a demandé : « Vas-tu distribuer ces documents ? » J'ai dit : « Oui, ils sont faits pour aider les gens à apprendre la vérité. » Elle a dit qu'elle voulait venir avec moi et j'étais d'accord. Après la classe de l'après-midi, cependant, elle a changé d'avis et avait peur d'aller. Elle a dit : « Porte mon manteau, ainsi personne ne pourra te reconnaître. » Je suis sortie avec son manteau qui avait plusieurs grandes poches.

Les rues étaient vides. J'ai toujours eu peur de marcher seule la nuit, alors j'ai récité la Loi pour éliminer la peur. Tout à coup, une chouette a fait un bruit perçant et a volé juste en-dessus de ma tête. J'étais effrayée et je pensais à retourner, mais je me suis alors souvenue que c'était une interférence de la perversité qui essayait de m'empêcher de clarifier la vérité, mais je ne pouvais pas arrêter ! J'ai réussi à distribuer tous les documents et je suis rentrée saine et sauve. Ma camarade de chambre se faisait du souci pour moi quand je suis rentrée. J'ai regardé dans toutes les poches pour être sûre qu'il ne restait aucun dépliant avant de lui rendre son manteau. Étrangement, elle a trouvé un dépliant dans une poche une semaine plus tard et toute sa famille l'a lu. Je pense que le Maître bienveillant doit les avoir aidés à apprendre la vérité.

La police est venue le lendemain pour enquêter sur la source des informations. Ils ont menacé de renvoyer ma camarade de chambre si elle ne révélait pas d'information. La police lui a demandé si j'étais dans la chambre la nuit précédente et elle a insisté pour dire que je n'étais allée nulle part. Ils sont partis. Ma collègue m'a protégée avec l'aide du Maître.

Je pense que les décisions des gens ordinaires aux moments critiques sont en lien avec le comportement des pratiquants de Dafa dans la vie quotidienne. Je faisais toujours le travail dur et je prenais soin de mes collègues. Je me conduisais strictement selon la Loi du Maître et je saisissais chaque occasion de leur lire la Loi du Maître. Ils savaient tous que j'étais une bonne personne et que le Falun Gong était persécuté. Ils ont dit qu'ils cacheraient mes livres de Dafa si quiconque venait pour les chercher. Ma camarade de chambre a finalement été transférée au siège cantonal, même si les fonctionnaires malveillants du Parti ne transféraient en général personne au siège cantonal sans recevoir de pot-de-vin. Je pense qu'elle a été récompensée pour son courage.

Une autre fois, le chef de l'éducation du quartier m'a dit : « Pouvez-vous ranger vos livres de Dafa si des inspecteurs viennent ? » J'ai dit que je le ferai et ils m'ont laissée tranquille. J'avais une bonne relation avec la fille du chef de l'éducation. J'ai montré au chef de l'éducation un VCD avec l'analyse de l'incident de l'auto-immolation de Tiananmen, il a ainsi appris la vérité. Sa fille a dit que personne dans sa famille ne savait la vérité avant et que son père avait montré le VCD à ses amis et à sa parenté. Ils ont tous dit : « Nous avons été trompés ! » Les supérieurs de ce chef lui ont dit de suspendre une banderole diffamant Dafa dans l'école, mais il m'a dit : « Pourquoi devrais-je la suspendre? »

La fille du chef de l'éducation est une très bonne personne. Nous sommes vraiment devenues de bonnes amies. Elle m'a enseigné beaucoup de connaissance en informatique, ce qui m'a grandement aidée pour mon travail plus tard en validant Dafa. Je savais que tout cela était les arrangements du Maître. Cela faisait longtemps que je désirais fabriquer les documents pour clarifier la vérité, parce que c'est dangereux pour les pratiquants d'autres villes de m'apporter des dépliants et que l'approvisionnement était loin d'être suffisant.

Habituellement, je rentrais à la maison une fois par semaine. Quand je retournais à la maison au siège cantonal, je suis allée chez une ancienne volontaire de notre centre d'assistance régional de Falun Gong, la sœur de ma belle-mère. Nous avons mis ensemble des banderoles avec des piquets et nous les avons installés dehors. Nous avions un grand manque de documents pour clarifier la vérité. J'ai été suivie, mais ils n'ont rien pu me faire. Le Maître dissolvait toutes les tribulations pour moi.

Plus tard, le site Minghui a publié les instructions pour émettre la pensée droite. Je me sentais comme une montagne la première fois que j'ai envoyé la pensée droite, la terre était sous mes pieds. Je n'arrivais pas à comprendre cela et j'ai demandé à une assistante. Elle a dit que c'était quelque chose de magnifique. J'ai aussi vu des masses de toutes sortes d'animaux courir dans ma direction en groupe. Ils tombaient par vague quand je dressais ma paume et récitais les strophes de rectification par la Loi. Dans mes rêves, je me voyais souvent prendre mon mari et mon enfant et nous marchions ou volions vers le haut. J'ai réalisé que ma famille ferait bien si je faisais bien.

Je faisais les exercices tous les jours pendant cette période et toujours dehors, en toute saison. Je lisais une ou deux leçons du « Zhuan Falun » chaque jour et j'étudiais systématiquement les autres articles du Maître. Parfois mon esprit était tellement calme quand j'étudiais la Loi, même s'il y avait du monde autour, je ne sentais que mon cerveau en train de lire le livre, mes bras et mes jambes avaient disparu. C'était un sentiment merveilleux. Rien de ce que mes camarades de chambre faisaient ne me dérangeait. Parfois je leur lisais la Loi. J'ai dit à chacune de mes classes la vérité sur la persécution et je leur ai dit de se rappeler que « Falun Dafa est bon ». Je leur ai clarifié la vérité quelques fois dans le semestre, une fois qu'ils me connaissaient.

J'ai commencé à les aider à quitter le Parti et ses organismes affiliés. La plupart des élèves ont accepté ce que je leur disais, mais les parents de quelques élèves étaient secrétaires au Parti et leur esprit était plus empoisonné que les autres. Il était plus difficile de clarifier la vérité à ces élèves. J'ai souvent apporté des documents clarifiant la vérité au bureau et je les donnais aux autres professeurs. Ils ont tous appris la vérité.

Des professeurs ont dit : « Actuellement, il n'y a que ces dépliants qui disent la vérité. Le Parti communiste est totalement un imposteur. » Je leur ai donné des copies des Neuf commentaires sur le Parti communiste et l'environnement scolaire a continué à s'améliorer. Beaucoup de professeurs qui n'avaient pas entendu la vérité de ma bouche ont vu le pouvoir extraordinaire de Dafa avec ma santé resplendissante, ma personnalité optimiste et facile à vivre, ils ont dit : « Vous avez l'air d'une jeune fille, vous ne faites pas votre âge. » Ils m'enviaient et ont dit que le Falun Gong est vraiment bien.

Les villages aux alentours savaient tous qu'un professeur pratiquant le Falun Gong est une bonne personne. Beaucoup d'élèves ont parlé à leurs amis et à leur famille de la vérité, beaucoup d'enfants sont venus à mon école et ont demandé à être mes élèves. Je pouvais apporter mes livres de Dafa au bureau et en classe. Je lisais des passages de Dafa à mes élèves et beaucoup d'élèves lisaient les livres de Dafa. L'occasion de cultiver Dafa s'est intégrée dans leur vie.

Prendre un chemin tortueux

Avec l'amélioration de l'environnement, j'ai petit à petit développé la conception de me valider moi-même et j'ai développé l'attachement à la facilité et au confort et l'attachement au temps, cela a créé une excuse pour les forces anciennes perverses pour me persécuter. Une fois qu'elles trouvent la plus mince opportunité, elles veulent vraiment vous détruire.

À l'école, on m'avait assigné le travail le plus lourd. Au début, je n'ai pas réalisé que c'était une forme de persécution. Mes conceptions humaines ont fourni une lacune pour la perversité. Je considérais le principal comme un dirigeant et n'ont pas comme un être humain qui devait être sauvé. Je ne lui ai pas bien clarifié la vérité. Il a demandé une copie du « Zhuan Falun », dont il a lu trois chapitres, mais je n'étais pas retournée pour lui clarifier davantage la vérité. Le Parti malveillant avait ses griffes sur lui – pour me persécuter. Intentionnellement ou non, je l'ai classifié comme ces malfrats. Je n'avais pas fondé cette persécution dont j'étais l'objet sur la Loi et je pensais que la persécution était un problème ordinaire. Le principal a coopéré avec les autorités municipales pour me parler, mais en fait il ne disait rien et partait chaque fois.

Il a même montré aux autres la lettre de clarification de la vérité que je lui avais écrite et a dit qu'elle était bien écrite. Il a gardé la lettre pendant plusieurs années et finalement il me l'a rendue. En fait, plusieurs fois, lorsque les parents de certains élèves, manipulés secrètement par les forces anciennes, sont venus à l'école pour me créer des problèmes, il les a arrêtés. Bien que le Maître m'ait donné plusieurs indications, comme j'étais occupée et que je n'avais pas beaucoup étudié la Loi ces derniers temps, je n'en étais pas consciente et je ne lui ai pas clarifié la vérité. Un pratiquant doit vraiment être droit. Dès que l'on étudie moins la Loi et que l'on n'agit pas d'après la Loi, offrir le salut aux êtres va être retardé. Il est difficile de compenser pour certains torts.

Maintenant j'ai quitté l'école. Le principal n'a pas encore quitté le Parti malveillant. Pour garder en premier des pensées divines et ne pas être troublé par les conceptions humaines, il faut continuer à étudier la Loi et à cultiver selon la Loi.

Quelques temps plus tard, une pratiquante habituellement chargée des sites de pratique dans le canton a été arrêtée, ce qui m'a mis la pression dessus. Nous faisions souvent du travail pour Dafa ensemble. Je n'avais pas peur qu'elle puisse dire mon nom à la police, mais en voyant combien elle avait perdu et combien sa famille souffrait, j'avais peur de tout perdre dans le monde humain, comme elle.

Elle a été envoyée au camp de travaux forcés de Gaoyang à Baoding et a subi le lavage de cerveau. Elle marche encore sur un chemin pervers en ce moment.

Si l'on n'élimine pas la peur quand elle est encore petite, la perversité va l'amplifier. Petit à petit, j'ai eu plusieurs inquiétudes humaines et ne me préoccupais plus de clarifier la vérité comme auparavant. Je voulais attendre un moment. Les forces anciennes ont saisi ces pensées et ont utilisé cette opportunité pour arranger davantage de travail pour moi. Je devais travailler plus dur et pendant de longues heures ; plus de dix heures par jour, de 6h10 jusque presque 22h. Parfois je devais travailler pendant les moments de l'émission de la pensée droite.

J'ai vraiment essayé de bien faire sous les arrangements des forces anciennes. Je me sentais mentalement et physiquement fatiguée. Je ne me rendais pas compte que c'était ce que les forces anciennes avaient arrangé et que je devais devenir plus diligente et nier tous les arrangements. Au lieu de cela, j'étais tellement fatiguée et je voulais me reposer, ce qui m'a fait souvent pratiquer moins ou pas du tout. J'étais fatiguée au travail et je voulais dormir. Je pensais que je rattraperais les exercices le lendemain et que le Maître me pardonnerait. Il semblait que je pratiquais pour le Maître.

Petit à petit, ces conceptions humains m'ont brouillé l'esprit et je m'endormais même pendant l'étude de la Loi. Je n'arrivais même plus à terminer un chapitre en plusieurs jours. Pour émettre la pensée droite, ça allait un petit peu mieux, mais pas pour longtemps. Essayer de résoudre les problèmes que les forces anciennes ont arrangé est vain ; on ne peut pas aller outre. Petit à petit, j'ai éprouvé le changement physiquement. J'étais facilement fatiguée et mon état mental était bien pire qu'avant.

Une fois, j'ai eu une douleur extrême dans le bas ventre et dans le dos. J'avais de la peine à respirer et je n'arrivais pas à me coucher pour dormir la nuit. La douleur m'a fait transpirer tout le corps. J'étais choquée et réveillée. J'ai immédiatement envoyé la pensée droite et j'ai demandé l'aide du Maître. Maintenant que je me rappelle cet incident, je ne sais pas combien le Maître a souffert pour moi.

Pendant plus d'un an, j'étais aussi attachée à mon apparence. Mais c'est devenu de pire en pire. Je faisais énormément de travail, mais n'en tirait aucun bénéfice. J'étais clouée par la persécution perverse. Beaucoup de conceptions humaines ont fait surface. Je ressentais cela comme injuste (qu'on me donne autant de travail) et je traitais les choses avec des pensées humaines. Je sentais que mon état n'était pas droit et que je ne me comportais pas comme une pratiquante. Mais à cause de mon manque d'étude diligente de la Loi, il m'était difficile de faire une percée. Je pouvais être diligente pendant plusieurs jours, puis incapable de persévérer encore. Je luttais péniblement dans les arrangements faits par les forces anciennes, ce qui a perdu beaucoup de temps pour sauver les êtres. La vérité, c'est que je ne faisais pas bien les trois choses que le Maître nous a demandé de faire. Je faisais simplement les choses machinalement, donc rien n'était bien fait.

Remonter et être de nouveau diligente

Face à cet état, je me suis découragée et j'ai perdu confiance dans ma cultivation et pratique. Mon esprit était dans le chaos. Les autres ne peuvent pas imaginer la douleur que je ressentais quand je n'étais pas centrée sur la Loi. Combien il est dangereux de suivre les arrangements des forces anciennes ; je les ai presque laissées me détruire !

Le Maître a vu notre position et nous a dit :

 « J'espère que chacun d'entre vous fera de mieux en mieux à la fin. Surtout ne vous laissez pas aller. Vous ne devez pas vous relâcher et vous ne devez pas tomber dans l'apathie. » (« Enseignement de la Loi à la ville de Los Angeles », le 25 février 2006)

Pendant cette période, quand je revenais à la maison, je cherchais souvent des compagnons de pratique et j'avais des discussions avec eux. Si je n'avais pas étudié la Loi et envoyé la pensée droite avec eux, je serais toujours coincée là-bas et n'aurais pas été capable de me relever.

Je pensais que le Maître avait arrangé mon travail comme l'endroit où je devais sauver des êtres. Par la suite, j'ai réalisé que ce n'était pas juste. Dafa est harmonieux. Ce que le Maître a arrangé, c'est l'étude en groupe et l'environnement de pratique en groupe. Depuis le début, les forces anciennes ont essayé de m'empêcher d'étudier la Loi, ce qui m'a fait manquer l'environnement d'étude en groupe. J'étais entravée par ma lourde charge de travail. Je pensais que je pouvais sauver des êtres n'importe où ; il y avait un travail à faire pour Dafa plus important chez moi. Je ne devais pas que faire du travail ordinaire.

Il y a plusieurs années, la perversité a essayé de m'empêcher de changer de travail. Cette année, j'ai fait une percée et j'ai été transférée dans une autre école proche de chez moi. Maintenant, mon temps de travail est plus court et je peux étudier la Loi avec les autres pratiquants. Je peux m'occuper de mon fils de huit ans aussi et l'emmener à l'étude de la Loi et aux exercices. L'environnement est petit à petit devenu meilleur. Avec l'étude de la Loi, les exercices et l'émission de la pensée droite, je suis de nouveau devenue diligente. Je sens que ma pensée droite a aussi été renforcée.

Plusieurs pratiquants et moi-même avons établi un site de distribution des documents clarifiant la vérité, qui a bien fonctionné. Nous avons fourni des documents clarifiant la vérité à tout le canton. Maintenant, davantage de sites de distribution ont été établis dans divers endroits.

Comparée avec les pratiquants diligents, je suis vraiment en arrière. Écrire mes expériences, d'avoir d'abord pratiqué diligemment jusqu'à tomber, puis me relever, c'est pour rappeler tous ceux qui ont eu des expériences semblables à la mienne, de reconnaître les arrangements des forces anciennes, s'en débarrasser et suivre les plans que le Maître a fait pour nous, de bien faire les trois choses.

Je remercie ici notre Maître compatissant et magnifique, qui n'abandonne jamais l'espoir, peu importe combien ses disciples Le déçoivent. Il est difficile de décrire mes sentiments. Maître, votre disciple n'a pas bien fait, vous vous êtes inquiété. J'ai ressenti la bienveillance sans limite du Maître en étudiant récemment la Loi :

 « Ne craignez point de voir des défauts et des erreurs. S'il y en a, débarrassez-vous-en simplement. Si vous n'aviez aucun attachement ou erreurs, vous n'auriez plus besoin de cultiver. Pendant le processus de cultivation, tout le monde peut avoir des attachements humains, c'est sûr. » (« Conférence de Loi à la conférence du Midwest des États-Unis », le 26 juin 1999 à Chicago)

 « Même ceux qui n’ont pas bien fait en Chine continentale ou ceux qui n’ont pas suffisamment bien fait, voire même ceux qui ont fait des choses très mauvaises, avant que cette affaire ne soit terminée, ce sont tous des reflets de votre cultivation et pratique personnelle ; cela dit le temps n’attend personne, les chances s’amenuisent de plus en plus. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à la capitale des États-Unis », le 22 juillet 2006)

Compagnons de pratique, avancez diligemment !

 (De la troisième conférence de partage d'expériences sur Internet pour les pratiquants de Chine)

Le 26 octobre 2006

Traduit de l’anglais en Suisse le 18 novembre 2006