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Chérir les occasions de valider le Falun Dafa, le plus glorieux honneur que nous a donné le Maître

Mardi 28 novembre 2006 |   Écrit par une pratiquante en Chine

(Minghui.org)

Bonjour vénérable Maître, bonjour compagnons de pratique,

Je voudrais partager avec les compagnons de pratique mes expériences concernant la clarification de la vérité pour sauver les êtres.

Je suis une femme d’affaires et mon entreprise marchait bien. Mais vers juillet 2004, mon entreprise a commencé à avoir des problèmes et les affaires se détérioraient jour après jour. Mon mari m’a appelée et m’a demandé de l’aider à gérer l’entreprise, mais je ne voulais pas réellement y aller, parce qu’il n’y avait aucun pratiquant de Dafa là-bas. Nous avions plusieurs pratiquants de Dafa ici et je les rencontrais chaque jour.

Le Maître a mentionné dans Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Chicago en 2004 :

« … je ne veux pas laisser tomber ne serait-ce qu’une seule personne, donc la pensée du Maître est souvent différente des vôtres. Parfois vous trouvez que certains ne sont pas fiables, que certains ne sont pas dignes d’être sauvés, que certains sont ceci, que certains sont cela, quant à moi, je ne suis pas du tout de votre avis. Vous le savez, aujourd’hui quand j’apporte le salut aux êtres humains, la porte est grande ouverte, le travail des êtres dans la société humaine est ainsi, ils sont dans toutes sortes de professions. Je veux donner le salut à tout le monde. A condition qu’il apprenne la Loi, je veux le sauver, je ne veux pas l’abandonner. (Applaudissements) Que vous puissiez former une pensée droite encore plus puissante parmi les disciples de Dafa, voilà ce qui est le plus grandiose. »

J’ai été profondément touchée par les mots du Maître. J’ai vraiment senti que j’étais une pratiquante de Dafa durant la période de la rectification par la Loi et offrir le salut aux êtres était ma responsabilité et ma mission. Je me suis rendue compte que le Maître avait utilisé la bouche de mon mari pour m’aider à commencer un nouvel environnement pour les compagnons de pratique dans cette région qui ont abandonné la pratique sous la pression exercée par le gouvernement et permettre à plus de gens de comprendre la vérité et être sauvés. Je me suis dit, si le Maître veux que j’aille là-bas, aidez moi à vendre les marchandises que j’ai à vendre. En fait tous les articles ont été vendus très rapidement. Cela m’a fait comprendre que de nombreux êtres là-bas attendaient impatiemment qu’on leur offre le salut. Après seulement une semaine, la plupart des articles ont été vendus.

Quand je suis arrivée, rien ne m’était familier. J’étais inquiète parce qu’il n’y avait pas un seul disciple de Dafa. Je ne pouvais pas m’endormir, même après minuit, et j’étais déprimée. J’ai demandé au Maître : « Qu’est-ce que je dois faire ? » J’ai pensé à me rendre au marché pour clarifier la vérité. Alors j’ai commencé à aller au marché pour informer les gens ayant l’affinité prédestinée de la tromperie de l’auto-immolation sur la place Tian An Men. J’ai aussi distribué aux gens les CD de clarification de la vérité. J’ai raconté aux gens qui étaient malades que mes proches avaient recouvert la santé après avoir pratiqué le Falun Dafa. J’ai même persuadé certains de pratiquer le Dafa.

Je sortais avec mon mari (un non pratiquant), mes proches et mon enfant pour clarifier la vérité. Nous imprimions, collions ou suspendions, et distribuions des documents de clarification de la vérité. Tous les quelques jours, nous prenions un deux roues motorisé pour aller donner des documents de clarification de la vérité. Nous avons laissé les pratiquants âgés distribuer les documents dans les régions avoisinantes. Nous avons pris deux motos pour aller dans des endroits situés à plus de 280 Kms pour valider le Dafa. Nous avons apporté des documents sur le Dafa et les Neuf commentaires sur le Parti communiste à des familles dans des régions éloignées. Nous n’avons pas arrêté depuis. Non seulement nous avons répandu un champ pour le Dafa dans ce monde humain, mais nous avons aussi éliminé et fait peur à la perversité dans d’autres dimensions. Notre environnement a pris forme petit à petit et s’est amélioré. Les gens ont graduellement compris la vérité sur la persécution et ont appris que le Dafa était bon.

Un jour pendant que j’accompagnais mon enfant à l’école, j’ai rencontré une dame âgée qui se plaignait de douleurs dans son corps. Sans perdre de temps, je lui ai dit : « Vous n’avez qu’à dire Falun Dafa est bon. » Elle est partie avec un sourire. De retour chez moi, je me suis dit qu’il me fallait saisir une occasion pour lui clarifier la vérité.

Je suis allée chez elle le lendemain soir. Elle m’a dit qu’elle avait commencé la pratique de Dafa en juin 1999, et la persécution avait débuté un mois plus tard. Les policiers étaient venus chez elle et lui avaient interdit de pratiquer le Dafa. Elle a eu peur, alors elle a brûlé tous les livres de Dafa. Ensuite elle a développé une mauvaise santé. Son visage entier était couvert de rides, et elle souffrait de terribles migraines. Alors elle a apporté chez elle quelques statues de bouddha et d’autres mauvaises choses. Non seulement sa santé ne s’est pas améliorée, mais elle se détériorait.

J’ai versé des larmes en l’écoutant. Je lui ai dit : « Le Maître voulais que je vous trouve. Vous devez étudier rapidement la Loi. Seuls Dafa et le Maître peuvent vous aider. » Je suis allée chez moi pour prendre des articles du Maître et émettre la pensée droite pour elle. Après un mois, elle s’est débarrassée de ces mauvaises choses qu’elle avait chez elle. Elle a commencé à faire les cinq exercices chaque jour avec persévérance. Sa santé mentale et physique s’est considérablement améliorée. Ses rides ont disparu et son visage est devenu rosé. Quand les gens ont vu de leurs propres yeux la magnificence et le miracle de Dafa, quelque vingt personnes se sont jointes à la pratique de Dafa. Nous avons mis sur pied deux groupes d’étude de la Loi (nous nous rencontrons soit chaque jour soit une fois la semaine). Il est vrai que « La lumière de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement. » (Zhuan Falun, deuxième leçon).

Elle a eu mal au bras à un moment. Elle a renforcé son étude de la Loi et a fait les exercices. Elle a émis des pensées droites avec persévérance pour éliminer les éléments pervers et pour se rectifier. Mais son état ne s’est pas amélioré. Elle a demandé au Maître dans son cœur : « J’étudie la Loi et je fais les exercices, pourquoi ai-je encore des douleurs au bras ? » Ensuite elle a rêvé d’une personne lui donnant des médicaments. Le premier ingrédient était « quitter le parti communiste chinois (PCC) ». Quand elle s’est réveillée le lendemain, elle est allée clarifier la vérité et persuader les gens de démissionner du PCC.

Notre entreprise s’est considérablement améliorée. Un jour, un voisin est venu nous voir et a demandé : « Votre entreprise marche si bien, avez-vous honoré un bouddha quelconque ? Je songe à inviter un bouddha pour qu’il m’aide à faire de l’argent. » Je me suis dit que je ne pouvais pas lui expliquer la raison pour laquelle, selon ma compréhension, je ne pouvais pas lui donner une explication en quelques mots, alors j’ai répondu : « Venez dîner ce soir avec nous et vous prendrez aussi un verre avec mon mari. Je vous dirai quel bouddha inviter. » Donc, pendant que lui et mon mari prenaient un verre, je me suis assise à côté d’eux et je lui ai clarifié la vérité. Je lui ai parlé pendant trois heures. Avant qu’il ne parte, je lui ai donné des documents pour qu’il les emporte avec lui.

Il venait souvent pour avoir plus de documents de clarification de la vérité. Une fois pendant qu’il conduisait, ses freins ont laché. Au moment où il allait rentrer dans une voiture coûteuse, il a fermé les yeux et a crié : « Falun Dafa est bon. » Sa voiture s’est arrêtée sans qu’il n’y ait aucun accident. Il a été témoin du pouvoir merveilleux et miraculeux de Dafa. Une fois, lui et mon mari sont allés suspendre une banderole. Elle est tombée dans un fossé sale. Sans hésitation, il s’est jeté dans le fossé, a ramassé la banderole et l’a suspendue à nouveau. Un après-midi, il est venu nous voir et a crié : « Voici quelque chose pour toi. » Je l’ai lue et je me suis rendu compte que c’était une déclaration solennelle. : « Je me suis joint au PCC dans l’armée. Je veux volontairement quitter le PCC sous mon vrai nom. » Cela m’a fait grand plaisir de voir que les gens s’éveillaient.

Pendant que je clarifiais la vérité et que je conseillais aux gens de quitter le PCC, les gens me disaient souvent que le gouvernement observait les pratiquants de Falun Gong de près et ils ajoutaient : « Beaucoup de gens savent que vous pratiquez le Falun Gong. » Ils m’ont conseillée d’arrêter de clarifier la vérité. Je me suis dit : peu importe ce que vous dîtes, cela ne peut ébranler mes pensées droites par rapport à la validation de Dafa et à l’offre de salut aux êtres. Mais après un certain temps, mes notions humaines se sont manifestées et la peur a surgi. Ensuite j’ai rêvé d’un très méchant chien noir en train de me regarder avec convoitise. Quand je l’ai regardé de plus près, j’ai vu un anneau en fer et ayant la forme d’un T attaché à la gueule du chien. À mon réveil, j’ai compris que le Maître me donnait un indice : n’aie pas peur. Il y a le Maître et la Loi ; personne ne peut te nuire aussi longtemps que tu as des pensées droites. 

« Dès l’instant où le parti a prononcé qu’il voulait absolument vaincre le Falun Gong, le spectre perfide du PCC et le groupe pervers de voyous du PCC qui dans ce monde persécutent les disciples de Dafa ont été condamnés par les divinités de tout l'Univers à la peine de mort. […] Mais maintenant ce parti non seulement a commis des crimes, mais ce sont des crimes impardonnables, alors, la nature en est différente, il est dans l’ordre des choses que cela conduise les adeptes de ce parti au désastre. Si l’homme ne s’en retire pas, il est un de ses membres, une de ses particules, un de ses composants, il deviendra la cible de la destruction des divinités. » (Faire tourner la roue en direction de ce monde)

Après avoir lu les mots du Maître, mes pensées droites se sont renforcées pour clarifier la vérité et persuader les gens de démissionner du PCC. J’ai clarifié la vérité à mes proches que je n’avais pas vus depuis plusieurs années, aux gens qui venaient faire des affaires avec nous, aux gens qui s’arrêtaient momentanément chez nous, et aux gens qui s’asseyaient en face de moi dans un train. Si l’occasion se présentait, j’émettais tout d’abord la pensée droite pour nettoyer les éléments pervers derrière ces gens, et ensuite je leur clarifiais la vérité à fond pour les sauver. Les personnes à qui je parlais étaient toutes quasiment prêtes à quitter le parti pervers. Je leur rappelais de ne pas oublier d’en parler à leurs familles et à leurs proches.

Un jour, un haut fonctionnaire du gouvernement a crié dès qu’il est sorti de sa voiture : « J’ai appris que c’était vous qui m’aviez aidé à me débarrasser de mon nom. » J’ai été désorientée pendant quelques minutes, mais j’ai vite compris ce qu’il voulait dire. Il avait reçu ma lettre lui conseillant de démissionner du PCC. Je lui ai souri et je lui ai demandé s’il avait accepté de démissionner du PCC. Il a répondu : « Oui, j’accepte. J’ai inventé un nom que vous pourrez utiliser pour démissionner en toute sécurité. » Il était très heureux et m’a remerciée.

Je sais que le Maître a déjà pavé la voie pour qu’on retourne à la maison, malgré le fait que nous n’avons fait que certaines choses superficielles. Mais le Maître nous a donné une gloire éternelle et suprême et une vertu majestueuse ! Il nous laisse valider la Loi et sauver les êtres pour que nous devenions mûrs, que nous nous dirigions vers la plénitude parfaite, et que nous remplissions nos vœux solennels faits en des temps immémoriaux.

Je remercie le Maître pour sa protection bienveillante qui m’a permis d’être là où je suis aujourd’hui. Je suis reconnaissante envers mes compagnons de pratique qui ont harmonisé et aidé durant cette période si difficile de l’histoire.

Traduit de l’anglais au Canada le 23 novembre 2006.