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Harcelée à répétition, Mme Li Chaorong, une pratiquante de 73 ans, de la ville de Beiliu, Province du Guangxi est portée disparue depuis plusieurs jours

Samedi 16 décembre 2006

(Minghui.org)


Mme Li Chaorong, 73 ans, vient de la Province du Guangxi. Parce qu’elle persiste à cultiver Falun Dafa, depuis le 20 juillet 1999, elle a été fréquemment détenue, mise sous surveillance, harcelée et a et sa maison fouillée. Sa vie quotidienne en a été sérieusement perturbée. Les auteurs de ces harcèlements sont des fonctionnaires du Bureau de la Sécurité Publique de la ville de Beiliu, le Parti communiste chinois (PCC), le Comité Politique et Judiciaire, le Bureau 610, le Commissariat de police de Songhua et le Centre de Détention de la ville de Beiliu.

Le 2 octobre 1999, Mme Li est allée à Pékin demander justice au nom du Falun Dafa. Elle a été arrêtée et ramenée au poste de police de sa localité pour une détention de quinze jours dans le but de la forcer à renoncer au Falun Dafa. Parce qu’elle ne coopérait pas, elle a été envoyée au Centre de Détention et y a été détenue pendant plus d’un mois.On lui a fait subir le lavage de cerveau et on l'a menacée de faire licencier ses deux fils qui travaillent pour le même employeur. Les autorités ont épuisé tous les moyens habituels à leur disposition, mais ne sont pas parvenus à atteindre leur but. Finalement, elle a été relâchée après qu’ils aient réussi à extorquer à ses fils la somme de 3 000 yuans.

En février 2002, les officiers de police Huang Wenyuan, Liang Wenzhao, He Qihua, Qiu Ruiqing et Xiao Bin du Bureau de la Sécurité Publique de la ville de Beiliu ont fait irruption chez elle et lui ont confisqué tous ses livres du Falun Dafa et les documents de clarification de la vérité qu’elle avait. Ils l’ont arrêtée et détenue illégalement pendant 23 jours.

En avril 2003, elle a amené des documents de clarification avec elle quand elle se rendait dans sa ville natale dans le Comté de Rong. Elle a été suivie par des policiers en civil et été arrêtée avant d’arriver . Elle a été envoyée au commissariat local du Comté de Rong pour y subir un interrogatoire. Parce qu’elle n’a pas coopéré, elle a été condamnée par le département de police du Comté à un an de liberté conditionnelle.

En juillet 2003, Li Chaorong distribuait des documents clarifiant les faits non loin de la porte du bureau du directeur du PCC du commissariat de police de la ville de Beiliu. La directeur l’ayant vu s’est mis à insulter et à pousser sur plusieurs mètres cette dame âgée de 73 ans, jusqu’à ce qu’elle tombe. Le lendemain, les policiers Gan Quanlin, Lu Shanxing, Xiao Bin et Qiu Ruiqing ont fouillé sa maison et l’ont détenue pendant six jours.

En 2003, deux jours avant la Fête Nationale de deuil (Journée Nationale du Parti communiste chinois), Mme Li Chaorong a été arrêtée par des policiers en civil alors qu’elle distribuait des documents de clarification dans le Parc Lizhi de la ville de Beiliu. Elle a été relâchée quelques heures plus tard grâce à ses pensées droites.

Le 28 septembre 2006, Pang Lin et Yang Jie du commissariat de Songhua ont tenté d’arrêter Mme Li Chaorong sur la route en attrapant son vélo et son sac à main. Elle a résisté de toutes ses forces. Plus tard, la police a envoyé sur place plus d’une vingtaine d’officiers. Ils l’ont battue avec une telle violence qu’elle crachait du sang. Ils l’ont fouillée, trouvant ainsi les clés de son domicile. En toute illégalité, ils ont ouvert sa porte et lui ont confisqué tous ses livres du Falun Dafa, ses documents de clarification, ses cassettes audio des conférences de la Loi ainsi que les cassettes vidéo des exercices, la photo de Maître, les badges du Falun Dafa, les gâteaux de lune, des parfums, des montres, un chapeau pour se protéger du soleil et de l’argent liquide. Elle a été emmenée au commissariat de Songhua pour interrogation. Elle a fermement refusé de coopérer et y a été détenue pendant plus d’un mois. Par la suite, elle a été relâchée avec la pensée droite.

Cela fait maintenant plusieurs jours qu’on n’a pas de nouvelles de Li Chaorong. Le bruit circule qu’elle aurait encore été arrêtée il y a quelques jours de cela. Pour en savoir plus, il est nécessaire qu’il y ait une enquête plus poussée.