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Exposer la dictature du régime de Lee Kuan Yew de Singapour aux Nations Unies (Photo)

Lundi 18 décembre 2006

(Minghui.org)


Concernant les pratiquants de Falun Gong NG Chye Huay et Erh Goon Tiong illégalement accusés et emprisonnés par les autorités de Singapour, le Groupe de travail des droits de l’homme du Falun Gong (FGHRWG) a soumis récemment un rapport de violation des droits de l'homme à l'ONU. Le rapport révèle que Singapour viole depuis longtemps les droits de l'homme fondamentaux des habitants de Singapour et a rappelé à la communauté internationale d'être claire au sujet du gouvernement de Singapour.

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Photo de groupe des pratiquants de Falun Gong de Singapour et du rapporteur spécial de l'ONU à Genève, septembre 2006

Le rapport précise que les deux pratiquants de Falun Gong ont été accusés et détenus simplement parce qu'ils étaient assis devant le consulat chinois pour protester contre la persécution des pratiquants du Falun Gong par le Parti communiste chinois (PCC). Lors du procès, les autorités de Singapour ont rejeté toutes les preuves et témoins de la persécution que les deux pratiquants ont fournis. Sans preuves, témoins ou victimes, avec uniquement la spéculation d'un policier, l’accusation de « harcèlement » a été confirmée. En outre, la cour n'a pas honoré les rapports de l'ONU sur la violation des droits de l'homme des pratiquants de Falun Gong en Chine.

Afin d’isoler les pratiquants, l'administration de Singapour a également menacé les avocats pour les empêcher de s’occuper du cas. Suivant la conscience et la justice, le seul avocat des droits de l'homme à Singapour, M. Ravi, a pris le cas. Mais le régime de Lee Kuan Yew l’a constamment harcelé, menacé et a même a attaqué M. Ravi. En septembre 2006, l’avocat Ravi a été invité à témoigner devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, mais il a été enlevé par la police la veille de son départ, il n’a donc pas pu assister à la réunion. Par la suite, on l’a interné de force dans une clinique psychiatrique où on lui a injecté des drogues psychiatriques. Finalement, les autorités ont retiré à M. Ravi son permis de pratiquer le droit.

Sans avocat, les deux pratiquants ont dû se défendre. Devant le tribunal, sans preuves suffisantes et en ne tenant pas compte de la dignité de la loi, le juge a décidé que les deux pratiquants étaient coupables, bien qu’ils aient défendu solidement leur innocence. De plus, le juge a violé le processus légal en ne permettant pas aux pratiquants de faire appel immédiatement, mais a envoyé les deux pratiquants en prison. Les activités illégales de la cour qui ignore les droits de l'homme lui ont valu un grand discrédit. Comment les habitants de Singapour peuvent-ils croire dans leur gouvernement ? Le manque de règle par la loi de Singapour a été clairement révélé à la communauté internationale.

La dictature du régime de Lee Kuan Yew à Singapour a attiré de plus en plus l’attention de la communauté internationale. Il n'y a aucune liberté d’expression à Singapour, quoique la liberté de parole soit un des éléments importants de la déclaration universelle des droits de l'homme de l’ONU.

Le FGHRWG demande à ce que l'ONU enquête et condamne la violation à long terme du gouvernement de Singapour de la convention internationale des droits de l'homme. Le FGHRWG réclame également l'attention de la communauté internationale sur les violations des droits de l'homme de Singapour.

(Fourni par le FGHRWG)


Traduit de l’anglais au Canada le 17 décembre 2006