pratiquants
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J'avais déjà auparavant projeté retourner dans ma ville natale pour parler aux gens des faits du Falun Gong, mais en employant toutes sortes d'excuses, je n’y suis pas allé. Cette fois j'ai estimé que je devais y aller. J'ai passé une semaine à préparer beaucoup de documents de clarification de la vérité comprenant des anciennes et des nouvelles prophéties, les Neuf commentaires sur le Parti communiste, et j’ai emporté 2 000 yuans Il n'y avait aucun autre pratiquant tout près de ma ville natale, et ma ville natale avait été affectée grossièrement par les mensonges propagés par le Parti communiste chinois (PCC). J'ai fait face l'année dernière à beaucoup de difficultés lorsque je clarifiais les faits aux gens au sujet du Falun Gong mais quand je suis parti, je leur ai dit que je reviendrais.
Cette fois j'étais déterminé à sauver mes parents et amis de ma ville natale. Quand tout a été prêt j'ai dit aux camarades pratiquants du centre d’information : « S’il vous plaît, remplacez-moi durant mon absence. Je retourne dans ma ville natale sauver des gens. Je serai de retour dans dix jours. Veuillez émettre des pensées droites pour moi. » Le jour suivant, je suis arrivé dans ma ville natale par bus. Ma maison est dans une petite ville. Mon frère, son épouse, fils, fille, et mon fils et ma petite-fille, tous vivent là. Je leur ai parlé de la merveille de Dafa ce jour-là. Je leur ai parlé de la bienveillance immense du Maître et des crimes affreux de Jiang Zemin. Je leur ai également expliqué la raison pour laquelle nous devions abandonner le PCC et ses organismes affiliés, ce qu'ils ont tous fait par la suite.
Le lendemain, je suis allé chez ma sœur et j’ai adopté la même méthode pour dire à toute la famille les faits. Ils ont également abandonné le Parti avec joie. Je me suis rappelé que la méthode que le Maître nous a enseignée est de cultiver parmi les gens ordinaires, ainsi j'ai acheté quelques présents. Avec ma sœur qui m'accompagnait, nous sommes allés voir mes anciens collègues (retraités) de l'école. Je leur ai donné des exemplaires des Neuf commentaires et je leur ai dit les faits. Ensuite, je les ai aidés à passer par le processus de renonciation au PCC et ses organismes associés. J'ai entendu dire que le fils du directeur était allé à une université, ainsi je suis allé voir le directeur et lui ai parlé pendant longtemps. Il a dit qu'il avait besoin d'un certain laps de temps pour penser à cela. Quand je suis parti, je lui ai dit que je serais de retour.
Nous avons commencé à nous rendre dans chaque maison de chaque rue pour leur dire les faits. Voici ce que je leur disais : « Comment allez-vous ? Je vous apporte la paix. » Je saluais les personnes âgées et disais quelques mots au sujet de leurs enfants et je leur donnais des présents. Ensuite je commençais à leur dire les faits sur le Falun Gong. Beaucoup de gens se réunissaient autour rapidement. Je me suis rappelé les mots du Maître à l’«Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à la capitale des États-Unis » :
« Que ce soit les Corps de Loi du Maître ou les divinités droites ou le champ gigantesque arrangé dans ce monde par la Grande Loi, tous peuvent utiliser n'importe quel environnement pour vous amener les gens ayant l'affinité prédestinée et les gens pouvant être sauvés, pour leur offrir une occasion de connaître la vérité. Mais vous devez le faire, ça ne marche pas non plus si vous ne le faites pas »
Le Maître miséricordieux n’abandonnerait aucune personne qui puisse être sauvée. C’était le Maître qui amenait vers moi ces êtres qui aspiraient à être sauvés. De cette façon ils ont avec succès quitté le Parti. Certains ont été très émus et n’arrêtaient pas de me remercier.
Le troisième jour, j'ai appelé ceux qui étaient allés à la campagne pour faire le travail avec moi par le passé et je leur ai demandé de me rencontrer dans un certain bar. Environ 30 personnes sont venues et tous ont fini par renoncer au PCC.
Il a commencé à pleuvoir la nuit du quatrième jour. J'avais projeté aller chez mes étudiants. La plupart d'entre eux vivaient dans des secteurs ruraux, qui n'étaient pas bien développés et la route était en mauvais état. Pensant aux nombreuses choses que le Maître a faites pour nous, j'ai chargé les présents sur mon dos et je suis allé sur mon chemin. J'ai fait dix kilomètres à pied sur les routes dangereuses. Mes chaussures étaient trempées et couvertes d’une couche épaisse de boue. Mes pieds blessés me faisaient mal. En effet, « C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » J'ai pensé aux mots du Maître :
Les disciples de Dafa expliquent la vérité,
De la bouche sont lancées simultanément des épées tranchantes.
Percez complètement les mensonges des diables pourris,
Prenez fermement en main le salut [des êtres] dépêchez vous d'expliquer.
(Dépêchez-vous d’expliquer)
Graduellement, je n’avais plus mal aux pieds. On peut le décrire de cette façon : « Pendant que je marchais sur les routes dangereuses dans la campagne, le Maître bienveillant m'accompagnait. » « La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. »
De cette manière, avec l'aide du Maître, le résultat a été bon. En sept jours, avec succès, j'ai persuadé 34 personnes de renoncer au PCC, 184 d’abandonner la Ligue de la jeunesse, et 64 de quitter les Pionniers de la jeunesse. Dorénavant je consacrerai ma vie entière au travail du salut des êtres vivants. Peu importe la difficulté, je le ferai bien, et de façon droite pour faire plaisir au Maître et pour diminuer ses inquiétudes.
Traduit de l'anglais au Canada le 26 novembre 2006