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La mort de huit pratiquants de Falun Gong liée à la persécution confirmée en novembre 2006 (Photos)

Jeudi 28 décembre 2006

(Minghui.org)


En novembre 2006, des sources ont confirmé que huit autres pratiquants de Falun Gong de Chine continentale sont morts à cause de la persécution. Trois cas ont eu lieu dans la province de Heilongjiang ; trois dans la province de Jilin ; et un dans les provinces de Gansu et de la région autonome du Xinjiang. Cinq pratiquants sur les huit étaient des femmes, ce qui représente 62% du total ; trois avaient plus de 50 ans, 38% du total.

Ces huit pratiquants sont morts entre janvier et novembre 2006, quatre d’entre eux sont morts en novembre 2006. Les statistiques du site internet Minghui/ Clearwisdom ont démontré qu’au moins 151 cas de morts en Chine continentale ont été confirmés entre janvier et novembre 2006. Depuis le début de la persécution du Falun Gong en juillet 1999, le nombre de morts à cause de la persécution s’élevant à 2'990 pratiquants de Falun Gong, lequel a été confirmé malgré le blocus strict d’informations du Parti communiste chinois (PCC).

À partir de ces cas, il est évident que le PCC kidnappe toujours avec frénésie les pratiquants de Falun Gong. Beaucoup de pratiquants de Falun Gong sont détenus dans des centres de détention du PCC, des camps de travaux forcés, des prisons et sont sujets à des tortures physiques et mentales acharnées. Des cas où les pratiquants de Falun Gong sont torturés à mort ou à l’infirmité continuent à se produire.

Plusieurs cas récents de mort

Depuis août 2006, la police de la ville de Qiqihar a recommencé à arrêter de nombreux pratiquants. Le 4 septembre 2006, la pratiquante de Falun Gong Li Guiqin et son mari Fu Guiming ont été arrêtés par la police du poste de police de Zhengyang ; leur maison a été saccagée. Madame Li et son mari ont été torturés. La police a forcé Madame Li à fournir des informations sur d’autres pratiquants et elle a refusé fermement. Cinq jours plus tard, le 9 septembre, Madame Li est morte à cause de la torture. Le mari de Madame Li, Monsieur Fu, est actuellement emprisonné dans le centre de détention de la ville de Qiqihar.

Madame Cao Aihua, une pratiquante de Falun Dafa de la ville d’Aksu, de la région autonome du Xinjiang, s’est autrefois fait enlever un sein à cause d’un cancer du sein. Quand elle a commencé à pratiquer le Falun Gong en été 1998, elle venait de terminer des traitements de chimiothérapie. Elle avait perdu tous ses cheveux et pesait moins de 40 kg à cause de ses traitements de chimiothérapie. Après seulement une semaine de pratique du Falun Gong, elle a senti que le Maître avait purifié son corps et elle a commencé à se rétablir. Après le début de la persécution, elle a clarifié sans cesse la vérité et a été emprisonnée et envoyée plusieurs fois en camps de travaux forcés. Son mari a voyagé plus de 1000 km par mois pour lui rendre visite. Bien que son mari ne soit pas un pratiquant, il sait que le Falun Gong a donné une deuxième vie à sa femme. En été 2006, Madame Cao a été à nouveau arrêtée. En novembre elle a été envoyée au camp de travaux forcés pour femmes d’Urumqi dans le Xinjiang. Seulement quelques jours plus tard elle a été torturée à mort.

Monsieur Liu Yongchun, âgé de 52 ans, vivait dans le sixième groupement du village de Baishu, commune de Baishu, ville de Wuwei, province de Gansu. Le 12 juin 2003, alors que Monsieur Liu distribuait des documents clarifiant la vérité et affichait des bannières de Falun Dafa, l’agent de sécurité de l’État de la ville de Wuwei Chen Fenggang et d’autres, l’ont arrêté et battu brutalement. Monsieur Liu a été condamné à cinq ans de prison par le tribunal de la ville de Wuwei et a été emmené en détention dans la prison de Dashaping dans la ville de Lanzhou. Le garde He Liqing a dit aux prisonniers : « Vous ne devez pas battre d’autres prisonniers, seulement les pratiquants de Falun Gong et les battre à mort ! » Il a ordonné aux prisonniers de battre cruellement Monsieur Liu et ils ont utilisé des matraques électriques pour lui faire des électrochocs, ce qui lui a fait perdre plusieurs dents. En 2004 et 2005, Monsieur Liu a été transféré à la troisième prison de la ville de Wuwei et à la prison de Jiuquan. Les gardes de prison ont torturé les pratiquants de différentes manières comme les ébouillanter avec de l’eau brûlante, les brûler avec des cigarettes, les battre avec le crochet à fourneaux, les brûler avec un crochet à fourneaux chauffé à blanc, faire mordre et griffer leurs parties intimes par un lapin vivant mis dans leur pantalon, les gifler dans une position où le pratiquant ne peut ni être debout, ni être assis et avoir les bras tordus et la tête claquée contre le mur et tirée par le cou, etc. Les pratiquants de Falun Dafa ont été souvent battus jusqu’à ce que leurs visages soient couverts de sang et que des bleus couvrent leurs têtes et leurs corps. Si un pratiquant refusait d’accepter les lavages de cerveau, il était privé de sommeil. Le 4 novembre 2006, l’administration de la prison de Jiuquan a appelé chez Liu Yongchun et a déclaré que Monsieur Liu Yongchun était mort de « maladie » le 3 novembre 2006. L’administration de la prison a interdit à sa famille de voir son corps en dessous de sa tête ou d’aller près de son corps.

Yang Hongquan, âgé de trente-six ans, a été torturé à mort, laissant sa mère âgée sans revenu

Monsieur Yang Hongquan, 36 ans, un pratiquant de Falun Gong de la province de Jilin, a commencé à cultiver et pratiquer avec sa femme à la fin de 1998. Après avoir commencé à pratiquer, Monsieur Yang a suivi les enseignements d’ « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » et a fait de son mieux pour être une bonne personne. Son mal de dos et ses douleurs aux jambes dont il avait souffert pendant de nombreuses années ont été guéris. Le 20 juillet 1999, le régime de Jiang Zemin et le PCC ont commencé leur violente persécution du Falun Gong. Monsieur Yang voulait clarifier la vérité au gouvernement et s’est rendu au gouvernement provincial pour faire appel pour Dafa. Cependant en chemin, le bureau de la Sécurité publique ne l’a pas laissé passer et l’a emmené à un centre de détention local (ville de Jilin), où il a été détenu pendant quinze jours.

En 2000, Monsieur Yang est retourné à la place Tiananmen pour valider la Loi, et a été violemment maltraité par la police. Son mouchoir était maculé de sang. Il a été par la suite emmené au centre de détention Mentougou à Pékin. Là-bas, il a entamé une grève de la faim pour protester contre la persécution. La police l’a attaché à une chaise et a essayé de le soumettre au gavage forcé, Monsieur Yang a perdu connaissance dans la cellule. La police l’a relâché par peur d’en endosser la responsabilité. Après sa libération, Monsieur Yang a souvent été harcelé par la police, qui essayait de le forcer à abandonner sa croyance en « Authenticité, Bienveillance, Tolérance ».

En 2003, Monsieur Yang a été à nouveau arrêté par l’équipe de sécurité nationale de la ville de Yanji, qui l’a violemment torturé. Pendant cette période, la police le battait en utilisant des planches de bois pour écorcher ses côtes et le traînait ici et là par la tête. La police a aussi utilisé des sacs de plastique pour couvrir sa tête et l’étouffer. Ils l’ont momentanément relâché quand ils ont vu qu’il était proche de la mort avant de continuer à l’asphyxier.

En février 2004, Monsieur Yang a été à nouveau arrêté, et a été détenu illégalement au centre de détention de la ville de Yanji pendant plus d’un mois. Il n’a pas seulement perdu sa liberté personnelle, mais aussi son droit d’utiliser la salle des toilettes.

Après plusieurs autres incidents de torture, les conditions de santé de Monsieur Yang ont commencé à se détériorer jour après jour. Sous toutes ces formes de tortures physiques et mentales, Monsieur Yang a développé de l’urée. Après qu’il ait appris que sa femme n’avait pas été relâchée bien qu’elle souffrait d’une dépression nerveuse due aux tortures infligées par la police. Monsieur Yang n’a pas pu s’empêcher de verser des larmes. Sa condition de santé s’est détériorée de jour en jour. Il est mort le 29 août 2006, laissant sa mère âgée sans revenu.

Lin Shixiong a été privé de tout, y compris de sa vie

Monsieur Lin Shixiong, 46 ans, était un directeur de la division des réparations à Mitsubishi de la ville de Yanji, province de Jilin. Il avait une famille joyeuse et une carrière professionnelle admirée par de nombreuses personnes. Cependant, au cours de ces sept ans de persécution, il a même perdu tout ce qu’il possédait.

Quand la persécution a commencé, Monsieur Lin a rédigé une lettre ouverte pour le maire de Yanji. À cause de cela, il a été envoyé dans un camp de travaux forcés pendant une année. Après sa libération, Monsieur Lin a continué à clarifier publiquement la vérité sur le Falun Gong. Malheureusement, en 2002, Monsieur Lin a été une fois de plus arrêté et détenu dans le centre de détention de la ville de Yanji pendant presque deux ans. La division de sécurité nationale de la ville de Yanji a ensuite condamné Monsieur Lin à treize ans de prison sur des inculpations inventées et l’a remis à la prison de Jilin. Alors qu’il était incarcéré, il a été forcé à abandonner les droits de direction de l’usine qu’il avait construite à partir de rien, a été obligé de divorcer et a dû abandonner la garde de son enfant.

Monsieur Lin a souffert de traumatismes mentaux et physiques irréparables dans la prison de Jilin. Sa condition s’est détériorée jour après jour. Lorsqu’il lui a été diagnostiqué une sévère tuberculose, la prison de Jilin a refusé de le relâcher. La condition de Monsieur Lin s’est détériorée rapidement et il était aux portes de la mort, les fonctionnaires de la prison devaient le laisser rentrer chez lui avec la garantie de sa famille, ainsi il aurait pu être soigné à la maison.

Cependant, la prison de Jilin et le comité politique et judiciaire ne voulaient toujours pas laisser partir Monsieur Lin. Ils l’ont souvent harcelé avec comme excuse sa période de prison incomplètée. À cause de leur harcèlement fréquent, Monsieur Lin a souffert d’une grande pression mentale. Il n’a pas été en mesure de soigner sa santé en paix chez lui. Il est décédé aux alentours du 20 novembre 2006 chez lui.

Madame Shen Jing’e est décédée après de nombreuses tribulations

Madame Shen Jing’e, 45 ans, était une infirmière à l’hôpital de la ville de Muling dans la province de Heilongjiang. Au début 1998, les métastases de son cancer du sein se sont répandues jusqu’aux nodosités des lymphes. Elle avait eu une mammectomie à son sein droit et a eu les nodosités des lymphes enlevées. Les docteurs en ont conclu que son espérance de vie n’était pas de plus de trois mois et lui ont conseillé de ne même pas essayer de traitement.

Vers la fin de ces trois mois, au printemps 1998, elle a commencé à pratiquer le Falun Dafa. Elle était très déterminée, parce qu’elle savait qu’elle n’avait plus beaucoup de temps. Elle était persuadée et a survécu après l’échéance prédite par le docteur. Sa santé s’est améliorée de jour en jour. Elle a retrouvé sa bonne santé.

Sa vie a recommencé. Elle voulait introduire Dafa à plus de personnes.

Le 20 juillet 1999, le régime de Jiang Zemin a déclenché la persécution des pratiquants de Falun Gong. Madame Shen Jing’e était très déterminée. Malgré la persécution, elle n’a jamais arrêté d’assister à des groupes d’étude de la Loi et des groupes d’exercices. Elle a aussi continué de raconter à ses amis et parents combien Dafa était vraiment merveilleux.

Un jour en février 2000, la police a posé des questions à tous les pratiquants de Falun Gong de la région qu’ils pratiquent encore le Falun Gong ou non. Toutes les personnes qui cultivaient et pratiquaient encore étaient arrêtées. Madame Shen Jing’e a été arrêtée et incarcérée dans un centre de détention de la police. Même sous son arrestation, elle a continué à pratiquer le Falun Gong avec des autres compagnons de pratique. La police l’a forcée ainsi que trois autres pratiquants, à s’asseoir sur une surface en béton à l’extérieur pour les punir. Ils ont été exposés au temps glacé pendant deux heures, portant seulement des sous-pulls fins. Ils ont été menottés et enchaînés, avec des chaînes pesant 48 kg. Ils ont été enchaînés à une clôture. Ce jour-là, il a neigé. Les policiers Kong Qingzeng et Wang Yongan, le directeur du centre de détention Geng Zhongxian et le garde Ye sont restés à l’intérieur d’un vestibule pour les voir endurer le temps très froid. Shen Jing’e a protesté contre les traitements illégaux en entamant une grève de la faim. Après quelques jours de détention, Shen Jing’e est devenue très mince et faible. Le centre de détention de la police a dû la laisser partir. Quand sa mère est venue pour la chercher, ils l’ont forcée à payer un peu d’argent comme condition pour sa libération.

En avril 2000, Shen Jing’e pratiquait les exercices en groupe dans un stade. Les policiers Kong Qingzeng et Wang Yongan du département de police de la ville de Muling l’ont finalement arrêtée et placée dans un centre de détention. Pendant qu’elle était dans le centre de détention elle a refusé d’écrire les « déclarations de garanties ». En conséquence, elle a été envoyée au camp de travaux forcés de Shuanghe dans la ville de Qiqihar, avec deux autres pratiquants. Avant leur départ, le policier Kong Qingzeng a demandé à sa famille de payer 1'500 yuan. Alors que les fonctionnaires du camp de travaux forcés de Shuanghe ont refusé d’accepter les trois pratiquants, ceux-ci ont été envoyés au camp de travaux forcés de Sidao dans la ville de Mudanjiang, où ils ont commencé à réciter les enseignements du Maître. Pour les faire taire, la police leur a bandé la bouche avec du ruban adhésif, les a battus, leur a infligé des électrochocs et a attaché leurs mains et pieds à une chaise.

La cellule de Madame Shen Jing’e faisait face à une cellule d’hommes. Alors qu’elle pratiquait les exercices en position debout la police a essayé de l’arrêter. Mais elle a insisté. La police a même tiré ses pantalons vers le bas. Alors qu’elle pratiquait la méditation assise, la police a versé de l’eau froide sur elle ; ils l’ont même tirée par le col et lui ont versé de l’eau depuis le cou jusqu’en bas. La police l’a maltraitée physiquement et l’a insultée tous les jours.

Après deux mois de grève de la faim, le camp de travaux forcés a dû la relâcher.

En octobre 2000, Madame Shen Jing’e s’est rendue à Pékin faire appel pour le Falun Gong. La police l’a arrêtée et l’a envoyée au centre de détention de Bamiantong. Après une grève de la faim elle a été libérée.

Le 18 janvier 2001, les agents du département de police de Bamiantong ont tenté de forcer tous les pratiquants de Falun Gong qu’ils pouvaient trouver, à marcher sur la photo du Maître. Quiconque refusait de le faire était envoyé en prison. Shen Jing’e a refusé. Au lieu de cela, elle a ramassé la photo du sol et la mise en place avec ses bras. Par conséquent, elle a été arrêtée et envoyée dans un centre de détention. Après une autre grève de la faim, la police a dû la laisser partir.

Après qu’elle ait souffert de la persécution, la société de son mari a commencé à le harceler, en essayant de le pousser à divorcer. Il a cédé sous cette grande pression et a demandé le divorce. Sa famille joyeuse a ainsi été brisée.

Le 30 mai 2001, les autorités ont intensifié leur persécution des pratiquants de Dafa. Les harcèlements répétés ont fait beaucoup de ravages sur sa santé. Elle a perdu beaucoup de poids et son esprit était faible. Un jour, le policier Kong Qingzeng et d’autres se sont rendus chez elle pour l’arrêter. Elle a résisté avec toute son énergie et a crié à pleins poumons. La police a dû la transporter jusqu’à la voiture de police. Après cette horrible expérience, Shen Jing’e a été détenue plusieurs autres fois.

Le 26 octobre 2001, Madame Shen Jing’e a été arrêtée alors qu’elle préparait des documents de clarification de la vérité dans le village de Lishugou, dans la commune de Xiachenzi. La police l’a condamnée à trois ans et demi de prison. Le 27 novembre 2002, elle a été envoyée à la prison pour femmes de Harbin, avec une autre pratiquante.

Elle a gardé sa foi en Dafa et a refusé de faire un compromis dans « l’équipe d’entraînement intensif ». Par conséquent, ils l’ont enfermée dans une cellule isolée qui n’avait pas de chauffage en hiver. Ils lui servaient seulement deux portions de soupe de maïs par jour. La police a maintenu ses mains attachées derrière elle tout le temps. Elle ne pouvait pas beaucoup bouger. Elle avait l’interdiction d’utiliser les toilettes et devait se soulager dans ses vêtements. Plus tard elle est tombée dans le coma. Après les requêtes répétées d’autres pratiquants de Falun Gong, la prison l’a envoyée à l’hôpital.

La police disait souvent à des détenus criminels de la torturer, ce qui a provoqué la perte de contrôle de ses intestins et de sa vessie. Ils ont attaché ses mains derrière son postérieur et l’ont pendue. Ils l’ont soumise à maintes reprises au gavage forcé à travers un tube et l’ont empêchée de dormir.

Une fois, alors qu’ils l’avaient pendue avec une corde, elle a perdu connaissance immédiatement. La police l’a posée sur un lit, où elle est restée pendant plus d’un mois. Pendant ce temps, elle a complètement perdu la vue. Après qu’elle se soit rétablie, les gardes de prison l’ont posée sur une toilette publique froide et humide, pour la torturer et l’humilier. Elle s’est levée et a chanté, « Venant de si loin, encore et encore, je suis venue pour vous,… » Après avoir entendu ce chant, de nombreuses personnes en ont été émues aux larmes y compris les pratiquants et les détenus criminels.

En mai 2005 elle est retournée chez elle. Mais elle était extrêmement faible. Elle pouvait seulement manger très peu. La longue période de torture psychologique lui a provoqué une profonde dépression. Le gouvernement a refusé de lui payer une pension et il est devenu difficile pour elle d’avoir des ressources suffisantes pour ses premières nécessités. Elle a vécu dans la peur. Madame Shen Jing’e est morte à l’âge de 45 ans, le 5 novembre 2006.

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La persécution inhumaine lancée par le PCC et le gang de Jiang Zemin contre des personnes innocentes qui croient en « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » remet en question la conscience de l’humanité.

Au cours de ces sept ans de persécution du Falun Gong, malgré les très grandes souffrances endurées, les pratiquants de Falun Gong ont toujours calmement et rationnellement clarifié les faits au monde pour éveiller leur conscience. De plus en plus de gens travaillent pour arrêter la persécution. Nous espérons que le monde va voir les faits eux-mêmes et faire de leur mieux pour mettre fin à ces atrocités.


Traduit de l’anglais en Suisse le 26 décembre 2006