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Bien étudier la Loi et marcher sur le chemin que le Maître a arrangé pour nous

Dimanche 3 décembre 2006

(Minghui.org)

Site Clartés et Sagesse]


Bonjour Maître et compagnons de pratique :

J’ai toujours souhaité écrire un article mais j’avais peur de ne pas pouvoir écrire assez bien. En fait, chaque pratiquant a quelque chose à dire. Je sens que j’ai de quoi écrire parce que je pratique une Loi si merveilleuse, qui m’enseigne comment cultiver et pratiquer, comment être une bonne personne, ainsi que la vérité de l’univers.

1. Abandonner l’attachement à la vie et à la mort pour valider Dafa

J’ai eu la chance d’apprendre Dafa en 1997, ce qui m’a sortie de mon état dans lequel j’avais de nombreux problèmes de maladies et préférais mourir plutôt que de vivre. J’ai survécu et je suis maintenant en bonne santé. Je dois faire un pas en avant et valider Dafa. Dafa continue à me donner une nouvelle vie.

J’ai senti que je ne pouvais pas rester à la maison pendant cette période où la perversité persécutait frénétiquement Dafa en 1999. J’étais prête à sacrifier ma vie pour défendre ce à quoi je croyais. Alors que je me suis rendue à Pékin pour valider Dafa le 20 juillet, j’ai été arrêtée et emmenée au département de la police locale. Ils n’ont pas voulu me laisser dormir, ils m’ont réprimandée et menacée tout au long de la nuit.

Après avoir été relâchée, je suis retournée à Pékin en octobre et j’ai été arrêtée par la police locale et mise dans un centre de lavage de cerveau pendant 9 jours. Le 15 janvier 2000, quelque uns d’entre nous sommes allés ensembles au bureau du canton pour leur expliquer les bienfaits que nous bénéficions du Falun Dafa. Ils nous ont arrêtés et mis en prison. Ils nous ont à moitié privés de nourriture, menottés derrière le dos pendant trois à quatre jours. Ils ont fini par nous garder pendant trente-trois jours. Lorsqu’ils m’ont sauvagement torturée, j’ai pensé : « Ils sont en train de faire cela car ils ne savent pas les faits. » J’ai donc dit aux autres pratiquants : « Nous devons êtres bons avec eux et ne devrions pas les détester. Nous devons leurs expliquer les faits à propos du Falun Gong autant que nous le pouvons. » Alors nous leur avons expliqué les faits verbalement et par courrier. En décembre 2000, je suis retournée avec un autre pratiquant à Pékin pour valider Dafa. Nous avons été arrêtés lorsque nous avons déployé une bannière sous le mur de Tiananmen. Ils nous ont battus et donné des coups de pieds et nous ont bâillonné la bouche pour nous empêcher de crier. Plus tard, j’ai été condamnée à trois ans de travaux forcés.

Au camp de travaux forcés de Gaoyang j’ai beaucoup souffert. À cause de ma peur à recevoir des électrochocs avec des décharges électriques, j’ai pensé me suicider, ainsi je n’abandonnerais pas ma croyance sous cette dure persécution. Mais je me suis rappelé ce que le Maître avait dit dans Zhuan Falun que l’on ne doit pas se suicider, j’ai donc éliminé cette pensée. Regardant à l’intérieur en tout moment, je n’ai plus eu peur de la mort. À quoi d’autre serais-je attachée ? Rien ne pouvait empêcher ma détermination à cultiver et pratiquer et ma volonté à valider Dafa.

Au début octobre 2001, mon mari m’a menacée de divorcer. J’avais su à l’avance que mon mari allait soulever cette question parce que le Maître m’avait donné un indice dans mes rêves. J’ai envoyé la pensée que je ne voulais pas le laisser accroître son karma dans son ignorance. Il voulait en fin de compte savoir que j’étais en train de faire les choses les plus sacrées. Parce que j’avais eu du temps pour me préparer, j’étais très calme lorsqu’il est venu, et j’ai pu parler paisiblement avec lui. Cela lui a fait changer d’avis ; il m’a donc dit qu’il me une couple de mois de plus.

Quelques jours plus tard, les gardiens de la prison ont essayé de me forcer à écrire un engagement pour ne plus pratiquer. Environ une douzaine de femmes gardes m’ont allongée de force m’ont fait des électrochocs avec des matraques électriques. Je n’ai pas eu peur. J’ai pensé : « Le karma que vous engendrez en me persécutant ne pourra même pas être remboursé par vos enfants, vos petits-enfants, ni leur progéniture. » J’ai fait appel au Maître dans mon esprit, en pensant que je ne pouvais pas les laisser continuer à me persécuter. Avec cette pensée, mon corps s’est raidi et rigidifié, comme si j’étais morte et je ne pouvais plus rien voir. Elles ont été effrayées et n’ont plus voulu me toucher. Le lendemain elles m’ont emmenée à l’hôpital pour me faire examiner, on a découvert que j’avais un nerf coincé dans mes vertèbres cervicales et que j’avais une maladie du cœur héréditaire. Le camp de travaux forcés n’a pas voulu me garder et a appelé les membres de ma famille tard dans la nuit pour me ramener à la maison. Ainsi je suis retournée chez moi en octobre 2001, j’ai donc fini ma condamnation plus tôt. J’ai su clairement que c’était le Maître qui m’avait sauvée. « Si le disciple est empli de la pensée droite, le Maître a la capacité de changer la décision du Ciel » (de Hong Yin « La grâce du Maître envers ses disciples »).

Après avoir passé huit mois dans le camp de travaux forcés, à vivre en enfer, j’étais extrêmement faible. À la maison, je me suis peu à peu rétablie à travers l’étude de la Loi et la pratique des exercices. J’ai à nouveau pu rejoindre le travail de validation de la Loi. J’ai parlé aux gens des faits à propos du Falun Gong et de comment le PCC nous persécute.

Au cours des quelques mois où j’étais à la maison, la police locale et les fonctionnaires du bureau 610 sont venus me harceler à plusieurs reprises. Ils m’ont mise à nouveau dans un centre de lavage de cerveau. Dans le centre, ils m’ont bombardée de vidéos calomniant Dafa. J’ai fait une grève de la faim sans boire d’eau pendant cinq jours. Ils m’ont transportée à l’hôpital et ont découvert que j’étais enceinte. Ils ont tenté de me forcer à avorter afin que je reste là-bas.

J’ai refusé de coopérer. Je voulais garder mon bébé aussi longtemps que j’étais en vie. Pendant ce temps, j’ai reconnu que c’était une bonne opportunité pour moi pour dénoncer leurs mensonges et valider Dafa. Quelques jours plus tard l’hôpital a découvert que j’avais trois fibromes de 7 à 8 cm dans mon utérus, ce qui pourrait causer à n’importe quel moment de violents saignements. Parce que j’ai refusé de me faire opérer, ils ont forcé m’ont mari à signer un papier, en menaçant de le virer de son travail s’il ne s’y pliait pas.

Je leur ai dit solennellement : « Je porte un enfant en vie. Je suis les principes de Dafa et ne vais jamais tuer. Il est inutile de menacer mon mari. » Ils ont projeté de me rendre inconsciente à l’aide d’anesthésiques pour qu’ils puissent procéder à l’avortement. J’avais seulement une pensée à l’esprit : « Je ne vais jamais les laisser tuer mon bébé. » J’étais très déterminée. Lorsqu’ils ont essayé de maintenir mes bras au sol et de soulever mes jambes, j’ai commencé à saigner, un signe des violents saignements à venir. Ils ont été effrayés et ont arrêté d’essayer de me forcer à avorter. Mon mari a lui aussi pu garder sa place de travail. La perversité qui les contrôlait dans les autres dimensions s’est désintégrée. Ils ont arrêté de diffuser les vidéos calomniant Dafa. Le centre de lavage de cerveau ne voulait plus me garder et m’a renvoyée à la maison.

Un mois plus tard, la police est venue chez moi pour me harceler, ce qui m’a forcée à quitter la maison. Le bureau du canton et les agents du bureau 610 ont affirmé qu’avec les grosses tumeurs dans mon utérus et étant enceinte, je ne pourrais pas survivre. Trois mois plus tard, j’ai donné naissance à un petit garçon de 3,63 kilos (8 pounds), et mes tumeurs avaient disparu. Je suis retournée chez moi, ainsi je pourrais valider Dafa. Tout le monde qui avait pris part à ma persécution dans le canton, y compris le bureau du canton, les procureurs, le tribunal, l’hôpital, le département de la police, le bureau 610, ma belle-mère, mon lieu de travail, étaient tous surpris que j’aie donné naissance en toute sécurité. Ils ont tous dit que le bébé avait de la chance et qu’il aurait une bonne vie dans le futur, et ils ont conseillé vivement à mon mari de faire une grande fête. C’est le pouvoir de Dafa qui a fait que tout cela arrive. J’ai raconté à toutes les personnes que je rencontrais que c’est Dafa qui m’a sauvée ainsi que mon bébé. Tout le monde a été touché et a dit que Dafa est vraiment grand. Ils se sont dit : « Le bébé a été sauvé grâce à la cultivation et pratique du Falun Gong de sa mère. » Plus tard, je suis souvent sortie avec mon bébé pour dire les faits aux gens, distribuer de l’information et sauver les êtres vivants.

2. Croire en Maître et Dafa. Passer des tests avec des compagnons de pratique.

Pendant la période où j’ai été forcée à être hors de chez moi, j’ai eu la chance de rencontrer d’autres pratiquants qui étaient aussi forcés à rester hors de chez eux. Ils m’ont demandé si j’avais le courage qu’ils restent avec moi. Le Maître a dit, «…, ses affaires sont vos affaires, vos affaires sont ses affaires. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington DC », du 22 juillet 2002) Les mots du Maître m’ont profondément impressionnée. J’ai dit : « Je souhaite beaucoup que vous restiez. » Mon mari (qui ne pratique pas) a dit aussi : « Si nous n’aidons pas, qui le fera ? »

Cette ville en particulier cherchait agressivement les pratiquants. Ils avaient tous juste échappé à la détention avec leurs pensées droites. Ils ont dit que même leurs parents avaient trop peur pour les laisser rester pour la nuit. À cette période j’étais aussi un peu inquiète. Mais j’ai pensé que nous étions tous les disciples du Maître. Nous étions un seul corps. Nous pouvions empêcher la perversité de nous persécuter. Nous pouvions briser les arrangements des forces anciennes. Nous aidions le Maître dans la rectification par la Loi et ne laissions aucune possibilité à la perversité de venir. « Avec le Maître et Dafa, de quoi avons-nous peur ? » Nous croyons en le Maître et en Dafa à tout moment. Rien ne peut nous faire peur. Nous avons écrit des lettres ensembles, expliqué les faits aux gens, envoyé les pensées droites, étudié la Loi et partagé nos expériences, et distribué du matériel de clarification de la vérité. Nous avons très bien travaillé ensembles.

3. Aider et collaborer paisiblement avec le centre d’information

La charge de travail à s’occuper dans notre centre de production d’information était très importante. J’ai senti que j’avais la responsabilité d’aider. Aussitôt que j’ai eu cette pensée, le Maître a tout arrangé pour moi. Mon mari a acheté un ordinateur et une imprimante. Grâce à cette bonne situation, et avec l’aide du Maître et des compagnons de pratique, j’ai vite appris à utiliser l’ordinateur et à aider à faire du matériel de clarification de la vérité. Mon mari était inquiet au sujet de la persécution et était souvent fâché contre moi. J’ai pensé qu’il serait mieux que j’aie mon propre ordinateur et une imprimante. Avec cette pensée, j’ai facilement trouvé suffisamment d’argent et ai acheté un autre ordinateur et une imprimante. C’était beaucoup plus commode. Je pourrais faire tout ce que Dafa avait besoin que je fasse.

Nous avons eu beaucoup d’attachements à enlever pendant que nous faisions les choses. L’attachement le plus visible était la peur : peur que quelqu’un qui savait le rapporte et peur d’être persécuté. Chaque fois que ces pensées se sont présentées, j’ai pensé : « Nous sommes des pratiquants de la période de la rectification par la Loi. Nous avons le pouvoir de désintégrer tous les facteurs pervers qui nous persécutent. Nous pouvons désintégrer n’importe quelle main noire ou démon pourri qui entravent notre validation de la Loi. Le Maître est juste à côté de nous pour nous protéger. Aussi longtemps que j’étudierai la Loi et enverrai bien les pensées droites, tout se passera bien. » En croyant en Maître et en Dafa, mes pensées droites sont devenues de plus en plus puissantes et finalement tous les attachements à la peur sont partis. Maintenant j’ai réalisé que la perversité devrait avoir peur de nous et que cela ne devrait pas être le contraire. Le Maître nous a donné tous les pouvoirs. Dès que les pensées droites sont là, toutes les mauvaises pensées et les pensées démoniaques qui ne se conforment pas à Dafa vont se désintégrer.

Le Maître a dit :

« L’histoire de l’humanité n’a pas pour but final d’être un être humain, l’histoire de l’humanité n’est pas là non plus pour offrir un paradis à la perversité pour sévir. L’histoire de l’humanité est créée pour la rectification par la Loi, seuls les disciples de Dafa sont dignes de manifester ici leur splendeur et leur gloire. » (« À la Conférence de Loi européenne 2005 »)

4. Cultiver pour éliminer les attachements et se débarrasser des esprits pervers.

Je me rappelle que quand je me suis débarrassée des médailles des dirigeants du parti et d’autres souvenirs du PCC (qui ont coûté 700 yuans lorsque mon mari les a achetés), j’avais peur que mon mari se fâche parce qu’il faisait très attention à l’argent. Mais je ne pouvais pas les laisser exister, je les ai donc brûlés. Mon mari m’a frappée, mais j’étais assez à l’aise et ne me suis pas sentie malheureuse. Tout ce que j’ai fait était de demander de l’aide au Maître. Avec les soins du Maître, il a arrêté de me frapper quand un téléphone d’urgence l’a fait s’éloigner. J’ai reconnu que la cultivation et pratique sont une affaire sérieuse et que nous ne devrions pas avoir d’attachements à faire les choses. À cause de mon attachement, la perversité a trouvé une lacune. Je me suis rendu compte qu’il est très important de se débarrasser de la culture du PCC, j’ai donc essayé de le faire où que j’aille. J’ai vidé tout le matériel du PCC dans la maison de mes parents et j’ai fait démissionner tous mes parents du PCC et de ses organisations affiliées. J’ai saisi toutes les opportunités pour demander aux gens de quitter le PCC.

En regardant en arrière le chemin que j’ai emprunté ces dernières années, je me rends compte que tant que nous croyons en Maître et en Dafa, que nous lâchons les pensées de vie et de mort, éliminons tous nos attachements, et que nous considérons les êtres vivants avec un cœur bienveillant, il n’y a aucune tribulation ou épreuve trop difficile à passer pour nous et que nous pouvons sauver plus d’êtres vivants.

Je vous prie de corriger gentiment mes défauts lorsque vous les voyez. Heshi.


Traduit de l’anglais en Suisse le 2 décembre 2006