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L'histoire de la cultivation de mon père

Dimanche 31 décembre 2006 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa de la province du Hebei (Rédigé par la fille, selon le récit oral de son père)

(Minghui.org)

Aux environs de 16h le 5 juillet 2006, il y a eu un orage avec de la grêle dans la ville de Shijiazhuang. À cause du mauvais temps, le trafic était perturbé.

Mon père, âgé de 70 ans et qui pratique le Falun Gong depuis un peu plus de neuf mois, se dépêchait de rentrer à la maison. Tout de suite après avoir passé un pont, une voiture noire est sortie du stationnement à une distance de 15 mètres, sans conducteur à l’intérieur, et a heurté mon père. Les roues du vélo étaient sous les roues de la voiture, tandis que la voiture s’arrêtait. Les piétons étaient tous sous le choc. Quelqu’un a crié à mon père : « Est-ce que ça va ? »

Mon père s’est relevé lentement et a dit : « Ça va bien, voyons si tout le monde va bien. » Un jeune homme lui a dit : « Comment se fait-il que vous alliez bien ? » Laissez-moi appeler le 110 (équivalent du 911en Amérique du Nord) et m’assurer que le propriétaire de cette voiture se rende à l’hôpital avec vous également. Faites-le payer pour les dépenses, ainsi que pour votre vélo. » Mon père à répondu : « Merci jeune homme, mais je vais bien. Pouvez-vous retirer mon vélo de sous les roues ? Je peux le réparer. » Cependant, le vélo était pris sous les roues et personne ne pouvait rien faire.

Les passants ont critiqué mon père : « Vous êtes trop stupide. Vous ne le lui demandez pas d’argent. Assurez-vous que le conducteur vous emmène à l’hôpital pour un examen médical. Il devrait au moins payer pour le vélo. »

Une demi-heure après l'accident, la tempête a cessé et la circulation a repris son cours normal. Le jeune homme qui avait appelé le 110 est resté avec mon père jusqu'à ce que le propriétaire de la voiture apparaisse. La police est finalement arrivée. Avant même que mon père n'ouvre la bouche, le jeune homme a commencé a dire à la police : « Cette voiture a frappé le vieil homme. Le vélo se trouve sous la voiture. Pouvez-vous chercher le propriétaire s'il vous plaît ? » L'officier de police a dit : « Quoi que vous disiez, faites-le moi savoir. Je vous emmènerai à l'hôpital si vous désirez aller à l'hôpital. Si vous voulez qu'il paie pour votre vélo, nous lui ferons payer votre vélo. » Mon père a insisté : « Je vais bien. » Le jeune homme a demandé : « En êtes-vous certain ? N'êtes-vous même pas blessé ? Ce n'est pas juste. Il doit venir avec nous à l'hôpital. »

À ce moment-là, la propriétaire est apparue sortant de la zone de stationnement. Elle a vu sa voiture sur le trottoir, le vélo sous ses roues, puis aperçut la police. Elle a dit à la police : « Je suis désolée. J'ai oublié de serrer les freins de la voiture. » La police lui a dit : « Allez voir ce vieil homme. S'il dit qu'il se sent bien, le cas est clos. Mais s'il ne va pas bien, nous devons faire quelque chose pour lui. » Mon père a dit : « Je vais bien. » Alors la police a dit à la propriétaire : « Vous avez de la chance aujourd'hui. Il affirme qu'il va bien. » La propriétaire a dit à mon père : « Monsieur, allons à l'hôpital. »

Mon père lui a répondu : « Vous êtes une fille chanceuse. Ne vous en faites pas. Je ne vais pas vous extorquer d'argent. Je suis un pratiquant de Falun Gong. J'ai mon Maître qui me protège. Mon Maître m'a dit que je devais être une bonne personne peu importe où je me trouve. Si je n'étais pas un pratiquant, vous auriez à payer beaucoup d'argent aujourd'hui. Non seulement je ne vais pas vous extorquer d'argent, mais en plus, je vous donne ma bénédiction. »

Mon père a donc commencé à clarifier la vérité sur le Falun Gong et l'incident de l'auto-immolation à Tienanmen. Il a également parlé des Neuf commentaires sur le Parti communiste chinois. La propriétaire a écouté attentivement et dit : « Aujourd'hui j'ai vu la beauté du Falun Gong. J'ai été témoin de votre gentillesse. C'est une chance de vous avoir rencontré aujourd'hui. Je crois ce que vous m'avez dit. » Elle et toute sa famille ont ensuite démissionné du PCC. Elle a remercié mon père abondamment et lui a laissé son numéro de téléphone. Elle a également mentionné qu'elle travaillait dans le bâtiment et qu'elle serait disponible pour l’aider, si un jour mon père avait besoin de son aide.

Après l'incident, mon père est revenu à la maison avec son vélo brisé. Mon père a mentionné que son seul regret est que le jeune homme, qui avait insisté pour l'amener à l'hôpital, ne l'ait pas entendu parler avant de partir, car lui aussi aurait été sauvé. Mon père a dit : « C'est étrange que la voiture n'ait frappé personne d'autre que moi. Ce n'était pas un accident ordinaire. Les forces anciennes étaient là pour prendre ma vie. J'ai donc dû rembourser ma dette et sauver un certain nombre de personnes. Bien que mon vélo soit brisé, j'ai agi selon les enseignements du Maître. Si j'avais eu une pensée différente et voulu une compensation, il n'y aurait pas que le vélo de cassé. » Tout comme le Maître l'a dit : « Le bien ou le mal surgit d’une seule pensée. » (« Zhuan Falun »). La différence entre la vie et la mort ne dépend que d'une seule pensée.

Mon père aimerait également saisir cette occasion pour remercier, à travers le site Minghui/Clartés et Sagesse, le Maître de la part de toute sa famille pour lui avoir sauvé la vie. Depuis octobre 2005, avec l'assistance et les arrangements du Maître, plus de vingt personnes de notre famille ont commencé à pratiquer le Falun Dafa, dont deux fils (un médecin et un haut fonctionnaire du gouvernement). Le Maître a nettoyé les maladies qu'ils avaient depuis plus de vingt ans. Quand mon père a commencé la pratique, le diagnostic du médecin était un cancer des poumons. Avec la protection du Maître, il a réussi à passer à travers et il fait les trois choses chaque jour.

Merci, Maître.


Traduit au Canada le 29 décembre 2006