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Le vrai salut éternel : J’ai obtenu la Loi en prison

Dimanche 31 décembre 2006 |   Écrit par un pratiquant qui a récemment obtenu la Loi dans une prison de la ville de Daquing

(Minghui.org)

J’étais un voyou cruel. Je n’ai pas échappé à la punition et ai été envoyé en prison. Je ne me suis pas repenti les deux premières années en prison. Au lieu de cela, ma haine bouillonnait et grandissait. Je pensais que ce qui m’arrivait était injuste car il y a tant de criminels qui sont pires que moi qui ne se sont pas fait prendre. Mais je devais quand même purger ma peine.

Bénédiction ou fléau(1)

J’ai finalement compris que le but de la vie ne consiste pas en la recherche de la célébrité, du profit ou des sentiments.

Je vis dans un environnement assez spécial, dans la prison de la ville de Daqing, avec un groupe de personnes spéciales. Je peux vous dire que cet endroit est d’une noirceur inimaginable. A cause des mauvais traitements et de la haine, les prisonniers se sont mis à échanger leurs expériences sur comment prendre sa revanche ou comment commettre encore plus de crimes. Cet endroit est une usine avancée « pour la fabrication de criminels ». Je ne dirai pas comment ils méprisent la valeur de la vie, comment ils font du mal aux autres et comment ils trichent et se trompent les uns les autres—mêmes les gardiens ne nient pas ce cycle vicieux de noirceur.

L’atmosphère y est très tendue et monotone. Je suis entré en contact avec certains pratiquants de Falun Dafa. Au début, j’ai essayé de les persuader d’écrire une « lettre de garantie » parce qu’alors je pourrai l’échanger contre une remise de peine. Pourquoi rester ici pour souffrir ? Je ne pouvais pas du tout comprendre ces pratiquants du Falun Dafa. Ils étaient surveillés qui par les gardiens qui par les prisonniers, qui d’ailleurs ne les autorisaient à dormir que pendant deux heures par nuit et les obligeaient à rester debout toute la journée comme méthode de torture physique.

Après avoir longtemps interagi avec eux, j’ai découvert que les pratiquants sont des personnes bonnes et sincères. Ils ne suivent pas les principes mauvais du Parti communiste chinois (PCC). Je peux les décrire en une seule phrase : L’or véritable ne peut être détruit par le feu.

Il y a deux mois de cela, de manière à poursuivre le véritable but de la vie, je suis devenu un pratiquant du Falun Gong.

Peut-être ne parvenez vous pas encore à comprendre la véritable raison du pourquoi de la vie humaine ou vous ne savez pas ce que vous emporterez avec vous à votre mort. Pour faire simple, j’ai appris que nous récoltons ce que nous semons. Je ne me m’inquiète plus quand surviennent des épreuves qui « prennent la tête » des gens ordinaires de plus j’ai vécu des changements physiques miraculeux durant ces deux derniers mois. Je n’essaye pas ici de persuader qui que ce soit d’apprendre le Falun Dafa. Ce que je veux seulement dire ici, c’est que ce que j’ai obtenu en ces deux mois, les gens ordinaires ne pourraient pas l’obtenir en plusieurs existences. Falun Gong est bon ! Falun Dafa est Droit !

Bénédiction ou fléau (Sai Weng Shi Ma, Yan Zhi Fei Fu) (2)

Non loin des frontières du Nord de la Chine, vivait un homme qui était très au fait des pratiques Taoïstes. Son cheval, sans aucune raison, alla sur le territoire des tribus du nord. Tout le monde compatit avec lui.

"Peut-être que cela s’avérera bientôt être une bénédiction," lui dit son père.

Après quelques mois, son animal revint du nord en guidant un superbe cheval. Tout le monde se mit à le féliciter.

"Peut-être que cela s’avérera être bientôt la cause d’une malchance," lui dit son père.

Puisqu’il était riche et possédait de bons chevaux, son fils adorait monter à cheval et il arriva qu’il se cassa la jambe lors d’une chute de cheval. Tout le monde compatit avec lui.

"Peut-être que cela s’avérera bientôt être une bénédiction," lui dit son père.

Un an plus tard, les tribus du nord ont engagé une grande invasion des régions frontalières. Tous les jeunes hommes valides et en âge de prendre les armes devaient se battre contre l’envahisseur. Résultat, dans cette région, neuf hommes sur dix sont mort. Le fils de cet homme ne s’est pas fait enrôler pour combattre cette invasion car il était handicapé, donc le père et le fils ont survécu.

12 décembre 2006