(Minghui.org)
Cette année, ma fille vient tout juste de commencer l’école primaire. Elle est en première année et déjà elle a eu à faire face à la condition obligatoire de devenir membre de la Ligue des Jeunes Pionniers du parti communiste. L’esprit pervers du communisme se meurt et il fait ses derniers efforts, en entraînant désespérément les enfants innocents dans une abysse de souffrances.
Un jour, ma fille m’a dit que son professeur s’est arrangé pour qu’elle devienne membre des Jeunes Pionniers. J’ai dit à ma fille que les Jeunes Pionniers sont une organisation de l’esprit pervers du communisme et que si elle en devient membre, elle sera marquée par la perfidie et qu’éventuellement elle aussi sera éliminée. Les gens sages se dépêchent à quitter le parti communiste et se choisissent un bon futur pour eux mêmes, donc elle ne devait pas devenir membre. Ma fille m’a dit qu’une autre pratiquante de sa classe avait dit qu’elle ne voulait pas devenir membre, mais que le professeur a dit qu’elle n’avait pas le choix. Le professeur a dit que tout le monde devait devenir membre et que nous devrions rapporter au principal de l’école quiconque ne l’était pas. J’ai décidé d’aller parler avec le professeur le lendemain.
En soirée j’ai envoyé des pensées droites au professeur de ma fille pour éliminer les facteurs communistes qui la contrôlait et interférait avec elle. J’ai commencé à penser comment mieux lui clarifier la vérité. J’ai décidé que si elle me référait au principal, que je prendrais l’opportunité de lui clarifier la vérité à lui aussi.
Le lendemain après-midi, les professeurs ont eu une réunion et les étudiants ont eu leur classe en après-midi après 12h30. Toute la matinée, j’ai continué à envoyer des pensées droites. J’ai conduit ma fille à l’école et par chance j’ai rencontré son professeur, donc j’ai commencé à lui parler au sujet pour ma fille de devenir membre des Jeunes Pionniers. J’ai dit que nous ne devrions pas demander à nos enfants de devenir membres des Jeunes Pionniers parce que tout le monde est en train de quitter le PCC et ses organisations affiliées, et qu’ainsi ils s’assuraient un meilleur futur. La professeure ne voulait pas en entendre plus. Elle m’a dit qu’elle comprenait et se retourna et s’éloigna fâchée. Je ne me sentais pas bien dans mon cœur, parce que je sentais que je ne lui avais pas bien clarifier la vérité.
Quand le cours de l’après-midi, a été terminé, ma fille m’a dit, avec la joie, que son professeur avait annoncé à la classe qu’elle n’était pas obligée de devenir membre des Jeunes Pionniers. En entendant cette nouvelle, j’étais très contente pour elle. Je savais que le Maître avait protégé ma fille avec bienveillance.
Ma fille m’a dit que quand le drapeau sang-rouge du partie communiste est monté sur le mât à drapeau, elle a envoyé les pensées droites et a demandé au Maître d’empêcher que le drapeau ne monte. Dès l’instant de sa demande, le drapeau n’a pas pu monter sur le poteau.
Le lundi suivant, quand le drapeau qui aurait dû monter n’a pas monté encore quand ma fille a dit avoir envoyé les pensées droites. Au lieu de monter le poteau, un petit caillou a volé en plein milieu du drapeau, le déchirant en lanière. De plus, un souffle de vent a envoyé le drapeau dans les airs. Le principal est parti à sa chasse, mais le drapeau est tombé dans une poubelle. Tous les étudiants ont éclaté de rire.
Quand j’ai entendu ces nouvelles, j’ai dit à ma fille qu’à tous les moments où le parti pervers veut mettre en scène une activité, qu’elle devait envoyer les pensées droites, parce que c’est une bonne opportunité pour éliminer la perfidie et l’esprit pervers du communisme et accomplir sa mission sacrée. Ma fille a hoché de la tête avec joie.
30 janvier 2006
Traduit au Canada le 21 février 2006