(Minghui.org)


1re Partie
 : http://fr.minghui.org/news/0603/30/E70946_20060319_fr.html

3ème Partie : http://fr.minghui.org/news/0604/22/E71086_20060323_fr.htm

7e méthode de torture : menotter

Forme A : menotter les bras dans le dos

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Voici des photos où un pratiquant de Falun Gong est menotté les deux bras dans le dos face à un mur. Parfois le pratiquant est forcé de porter un casque et les gardiens lui font en plus des électrochocs sur les bras avec des matraques électriques. Après quelques minutes, le pratiquant n'arrive plus à bouger les bras et sent comme si ses bras tombaient de l'articulation des épaules. Les menottes entaillent la chair et ses bras enflent terriblement, il perd la sensation des bras.

Forme B : menotté à un tuyau de radiateur, surnommé « Su Qin portant une épée »

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photo 26

Le pratiquant est suspendu par les menottes à un tuyau de radiateur. Il y a deux crochets métalliques sur le tuyau à environ 1m.80 en-dessus du sol et le pratiquant y est à moitié suspendu. Les menottes lui entaillent la chair, c'est extrêmement douloureux. Certains pratiquants sont devenus handicapés des bras suite à cette torture. En décembre 2002, les gardiens Wang Xiaofeng et Xue Fengdiao ont suspendu Mme Wang Yulan – âgée de 49 ans et venant de Chaoyang – au tuyau du radiateur dans le bureau du chef de division, jusqu'à avoir une brûlure à la main droite, elle a eu une profonde blessure dans la chair, on pouvait même voir l'os. Elle a eu le bras gauche handicapé, en effet depuis lors elle n'arrive plus à bouger le bras gauche. Elle ne peut pas travailler. En mars 2005, le pratiquant Sun Jiping a été traîné dans le bureau et menotté au tuyau du radiateur après avoir résisté au gavage cruel.

Forme C : menotté dans la position de l'aigle déployé

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Les bras du pratiquant sont étirés au maximum et menottés à la barrière du lit supérieur des lits superposés. Ses pieds touchent à peine le sol ; il est dans la position d'un aigle déployé. Tout en étant menotté ainsi, les gardiens le frappent sauvagement ou lui font des électrochocs avec des matraques électriques. Cette torture dure en général plusieurs jours.

Forme D : ligoté, menotté et suspendu

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photo 30

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photo 33

Le pratiquant est menotté dans le dos à la barrière du lit supérieur ; ses pieds ne touchent pas le sol. De cette torture, il peut s'ensuivre un handicap total des bras après un moment. En décembre 2002, le gardien Dong Shuxia a utilisé cette torture sur la pratiquante Yang Yanting âgée de 36 ans pendant 15 heures jusqu'à ce qu'elle perde l'usage de ses deux bras. (voir le processus montré dans les photos 30 à 33)

Forme E : menotté accroupi

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photo 34

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photo 35

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photo 36

Le pratiquant est menotté au bord du lit inférieur, le bas de son corps est forcé à aller sous le lit. C'est une torture horrible. La victime souffre parfois de graves blessures au dos et ne peut pas se tenir debout. Le pratiquant est menotté ainsi pendant plusieurs heures, plusieurs jours ou même plus de dix jours. Les gardiens du camp de travaux forcés de Masanjia utilisent souvent cette torture pour forcer les pratiquants à renoncer au Falun Dafa. En octobre 2002, le pratiquant Song Xiuting de Tieling, province du Liaoning, dans la trentaine, a été torturé ainsi par le gardien Dong Shuxia.

8e méthode de torture : assis avec les bras levés

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photo 37

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photo 38

Les jambes du pratiquant sont attachées avec une corde ou des chaînes et allongées devant lui. Deux gardiens lui tirent les bras par-dessus lui depuis derrière au maximum tout en lui appuyant la tête sur les genoux jusqu'à ce que sa poitrine touche ses genoux. Un collaborateur ou plus est assis sur le dos du pratiquant. La tête du pratiquant est tellement penchée qu'elle forme un U avec le reste du corps et qu'il étouffe presque. Ils torturent le pratiquant jusqu'à ce qu'il renonce à Dafa.

9e méthode de torture : écarter les jambes avec la tête au sol

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photo 39

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photo 40

Les jambes du pratiquant sont écartées au maximum tout en lui menottant les bras dans le dos. Les gardiens lui appuient la tête en bas jusqu'à ce que son visage touche le sol. Les tendons du pratiquant sont tordus ; c'est extrêmement douloureux. À la mi-octobre 2000, la pratiquante Zou Guirong, qui a été torturé à mort par la suite, a été torturée ainsi. Elle a écrit : « Qiu Ping et Huang Haiyan (tous deux gardiens) et les collaborateurs Wang Chunying, Chen Xiaoyu, Wang Yujie, Yang Lin et Qin Zhiqing m'ont poussée par terre, attaché les mains dans le dos et appuyé la tête sur les cuisses. Mon corps était plié comme un ressort comprimé. Je pouvais à peine respirer et je hurlais. Ils m'ont bâillonnée avec chiffon sale. Je luttais, rampais vers les toilettes et j'ai été repoussée en arrière. Tout mon corps et le sol sous moi était mouillé de sueur, on m'avait balancé mes chaussures au loin. J'ai lutté plusieurs fois et j'ai été maintenue au sol plusieurs fois... »

10e méthode de torture : assis sur un petit tabouret

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photo 41

Le pratiquant est forcé à s'asseoir sur un petit tabouret et empêché de dormir. Les gardiens restent à côté du pratiquant et le surveillent tout en lui lisant à voix haute des livres diffamant et attaquant Dafa. Cette torture abîme à long terme les tissus des fesses, qui se nécrosent et deviennent bleus et noirs.

11e méthode de torture : assis dans une bassine d'eau froide

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photo 42

Cette torture est administrée même au plus froid de l'hiver. Les fesses du pratiquant sont poussées dans une bassine contenant de l'eau froide pendant que les collaborateurs tirent les mains du pratiquant derrière lui. Un collaborateur pousse avec force la tête du pratiquant vers le bas, tandis qu'un autre collaborateur est assis sur ses jambes et pousse vers le bas.

12e méthode de torture : frapper sauvagement

C'est la forme de torture la plus violente utilisée contre les pratiquantes de Falun Gong au camp de travaux forcés de Masanjia. Les gardiens agressent physiquement et verbalement les pratiquantes à n'importe quel moment sans retenue. Ce lieu pervers est rempli de violence et de terreur. Les quatre reconstitutions ci-dessous illustrent quatre façons de frapper.

Scène 1 :

Le 17 avril 2004, les gardiens ont traîné des pratiquants dans le bureau du chef de division, ils les ont frappé sans cesse au visage avec des chaussures, ils leur ont donné des coups de pieds dans la poitrine et leur ont boxé le visage. Des pratiquants ont eu les tympans perforés aux deux oreilles, le visage déformé et ils ont perdu leurs dents.

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photo 43

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photo 44

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photo 45

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photo 46

Scène 2 :

Pendant la « bataille pour prendre le fort », qui est la « réforme » forcée, en décembre 2003, la pratiquante Cui Guohua – âgée de 59 ans et venant du canton de Yi – a été sauvagement frappée par huit personnes, menées par les collaborateurs Li Junying et Zhao Xiuli de Jinzhou. Ils ont concentré leurs coups sur la tête et le visage de Cui Guohua. Li Junyaing a dit : « Frappe-la fort ! » Cui Guohua a eu une commotion cérébrale et elle a vomi tout ce qu'elle avait mangé après avoir été frappée. Elle sentait sa tête osciller quand elle marchait. Voir photos 47 à 49.

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photo 47

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photo 48

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photo 49

Scène 3 :

Les gardiens ordonnent aux prisonniers de frapper sauvagement Zhen Xiuxiang. Ils lui cognent la tête contre un mur, la forcent à s'asseoir en croisant les jambes deux fois, ils lui tirent les cheveux et lui déchirent ses habits. Elle a souffert d'un effondrement mental après. Voir photos 50 à 52.

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photo 50

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photo 51

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photo 52

Scène 4 :

Les gardiens frappent brutalement une pratiquante jusqu'à ce que son visage devienne bleu et noir et qu'elle perde conscience. Les gardiens lui mettent des serviettes sanitaires souillées sous le nez pour voir si elle a vraiment perdu conscience. Voir photos 53 à 55.

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photo 53

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photo 54

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photo 55 Le visage défiguré après avoir été frappé

(à suivre)


Traduit en Suisse le 30 mars 2006