Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Indice pour l'enquête : Souvenirs évoqués par le crime du prélèvement d'organes, effectué sur les pratiquants vivants du Falun Gong

Vendredi 14 juillet 2006 |   Écrit par un ami d'un témoin

(Minghui.org)


L’indice de l'enquête: Les souvenirs évoqués par le crime du prélèvement d'organes, effectué sur les pratiquants vivants du Falun Gong

Le matin du 1er janvier 2001, de grands autobus remplis de pratiquants de Dafa ont été envoyés du commissariat de police de TianAnMen. La plupart des pratiquants devaient rester debout. La police armée était debout à côté des fenêtres à l'intérieur des autobus. Il y avait beaucoup d'autobus. Ils se dirigeaient de la ville vers la région rurale.

Près du midi, après avoir conduits pendant longtemps, les autobus sont arrivés à la porte d'un centre de détention avec des murs blancs éclatants. Il ressemblait à une structure récemment bâtie, située dans une région à découvert. Il n'y avait aucun bâtiment tout près. Après être entrés au centre de détention, les autobus ont fait beaucoup de virages et se sont arrêtés devant un couloir tortueux. Il y avait une dizaine de chambres de chaque côté du couloir.

Tous les pratiquants de Dafa ont été enfermés dans ces chambres, environ 20 par chambre. Les chambres avaient été construites le long du couloir de façon à ce que les gens à l'intérieur de ces chambres ne puissent se voir les uns les autres. Environ 30 minutes plus tard, quelqu'un a frappé à toutes les portes et a dit : « Que les jeunes, sortent. » Une jeune pratiquante à l'intérieur de notre chambre, entre 20 et 30 ans, nous a regardé, s'est levée et a dit : « Je suis jeune, je sors la première. » Pourquoi ont-ils demandé aux jeunes de sortir les premiers? Cette pensée a surgi dans mon esprit.

Plus tard, nous avons trouvé un morceau de tissu blanc sous le matelas, avec la conférence « Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi de la région des Grands Lacs en Amérique » écrite là-dessus. Ensemble, nous avons étudié cette conférence. Plus tard, nous avons de nouveau descendu de l’autobus. Parce qu'il y avait maintenant des sièges disponibles dans les autobus, il était évident que quelques pratiquants étaient restés derrière et il y avait moins de personnes dans les autobus.

Nous sommes arrivés à Yanqing après la nuit. Plus tard, j'ai entendu que plus de 300 pratiquants de Dafa étaient allés à Yanqing ce jour là.

Indice pour l'enquête: Les organes des prisonniers sont prélevés au grand jour, suivi par l’incinération du corps

Après que j'ai lu les reportages sur le prélèvement d'organe des pratiquants vivants du Falun Gong par le Parti communiste chinois (PCC) dans le camp de concentration de Sujiatun, je me suis rappelé quelque chose dont mon ami avait été témoin plusieurs jours auparavant, quand il avait été présent lors d’une incinération au crématoire de la ville de Tieling, dans la province du Liaoning.

Quand mon ami et la famille brûlaient des papiers, ils ont entendu un coup de fusil. Ils ont regardé dans la direction où du pistolet et ont vu une personne tomber par terre, à l’extérieur du mur Est du crématorium. Mon ami a demandé : « Que se passe-t-il? » Un ouvrier du crématorium a dit que les agents de la Cour exécutaient des prisonniers. Ils ont aussi vu une voiture de police près du mur. Ils ont vu que deux personnes qui ressemblaient à des docteurs, sont sorties de la voiture et ont ouvert l’arrière de la voiture. Ils ont jeté le corps (mon ami ne savait pas si le corps respirait encore) à l’arrière de la voiture. Les deux personnes ont sauté à l'intérieur de la voiture et ont sorti des outils comprenant des couteaux et des ciseaux, et avec des mouvements de main experts, ils ont rapidement ouvert la poitrine de la personne et retiré ses organes. Ensuite, ils ont mis le corps dans un sachet en plastique et l'ont envoyé au crématorium. Peut-être ils n'ont pas aimé l'odeur, parce qu'une personne a ouvert les fenêtres de la voiture et mon ami pouvait clairement voir tout le procédé. Aucune famille n'est venue pour réclamer le corps.

Mon ami a demandé à l'ouvrier du crématorium : « N’est-ce pas terrifiant ? » L'ouvrier a répondu : « C’est extrêmement normal. » Ainsi, il semble que ce n'était pas la première fois que ceci avait lieu. L'identité du prisonnier est inconnue.


Traduit de l’anglais au Canada le 23 mai 2006