(Minghui.org)
Le gouvernement chinois est accusé de prélèvement d'organes contraire à l'éthique dans plusieurs rapports faits par des anciens militaires et prisonniers. Un médecin militaire, l'ex-épouse d'un médecin militaire et des prisonniers eux-mêmes font partie de ceux qui ont attesté que des centaines de membres du groupe Falun Gong ont eu leurs organes prélevés et vendus par les autorités chinoises, a dit le D. Wenyi Wang mercredi lors d'une audience au Club National de la Presse. Des enquêteurs font également des recherches sur le Centre d'Assistance du Réseau de Transplantation International de la Chine, un site Internet pour les greffes d'organes, sur lequel on affirme que des donneurs peuvent se trouver en une semaine et que les organes ne proviennent pas de victimes d'accidents. Le D. Wang a attiré l'attention internationale lorsqu'elle a été arrêtée pour avoir publiquement dénoncé le président chinois Hu Jintao durant la cérémonie du 20 avril à la Maison Blanche. "Le monde civilisé doit apostropher la Chine," a dit Wang, avec à ses côtés deux membres de Falun Gong récemment emprisonnés. Depuis que l'accusation contre elle a été abandonnée, la pathologiste s'est exprimée contre les méthodes de "génocide" du gouvernement chinois pour éradiquer un mouvement religieux populaire et non violent formé en 1992. "Le gouvernement chinois n'a jamais accordé de valeur à la vie humaine," a dit Wang. "Nous devons être responsables afin de faire toute la lumière sur ces crimes odieux."
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