Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Petites histoires témoignant du pouvoir miraculeux des pensées droites

Mardi 15 août 2006

(Minghui.org)


La police ne voit pas les livres de Falun Gong

Le pratiquant A de Falun Gong a des dizaines de copies de Zhuan Falun et des articles du Maître chez lui, des documents de Falun Gong clarifiant la vérité et les CD de Falun Gong, qu’il voulait distribuer dans les régions rurales. Un jour il décida de sortir un moment. Lorsqu’il a ouvertt la porte, deux policiers se sont précipités dans sa maison.

Il lui était impossible de mettre ces livres dans un endroit sûr ou d’empêcher la police de rentrer. Dans cette urgence, le pratiquant A s’est rappelé ce que Maître avait dit : « Soyez résolu à cultiver Dafa, l’esprit ferme » (Hong Yin II). Il s’est calmé et il a récité silencieusement : « La perversité ne peut pas voir les livres de Falun Gong. » En même temps il a demandé à Maître de le soutenir.

Cette pensée était vraiment miraculeuse ! Bien que les documents de Falun Gong étaientt empilés sur la table, les deux policiers n'ont pas pu les voir tandis qu'ils allaient et venaient. Ils n’ont rien trouvé pour se donner une excuse d’arrêter le pratiquant et finalement ils sont repartis comme ils étaient venus

Utiliser les capacités supra normales pour sortir du poste de police

Le pratiquant C de Falun Gong a été arrrêté et détenu dans un commissariat local parce qu’il avait participé à une conférence de la Loi
Il s'est éveillé au fait qu’un pratiquant peut aller dans d’autres dimensions, où que son corps peutt devenir grand ou petit. Il a commencé à penser que son corps dans d’autres dimensions devenait tout petit, alors que la taille des menottes n’avait pas changé. Avec cette pensée, les menottes sont tombées. Sous la protection du Maître, il a évité le garde de la sécurité et il est sortit sain et sauf du commissariat.

Les pensées droites ont résisté à la persécution: les matraques électriques se sont retournées contre la police

J’ai été arrêté et détenu au de travail de Heizuizi dans la ville de Changchun pour être allé à Pékin demander justice pour le Falun Gong.

Le camp de travail de Changchun Heizuizi déclarait qu’il dirigeait les gens avec humanité. En fait il persécutait cruellement les gens comme des animaux. Parce que j’étais détenu, je pouvais entendre le bruit des matraques électriques lorsqu’elles étaient utilisées pour électrocuter les pratiquants de Falun Gong et les cris douloureux des pratiquants torturés presqu’à tous les jours. J’avais le coeur brisé.

Le 1er décembre 2000, le dirigeant du poste de police local Wang Xiaohua et le policier Jin m’ont fait sortir de la cellule. Ils m’ont demandé d’abord si je pratiquerais encore le Falun Gong. Je ne leur ai pas répondu. Alors ils ont utilisé plusieurs matraques électriques avec un voltage élevé pour électrocuter les endroits sensibles de mon corps. Même maintenant j’ai encore des cicatrices au cou. Bien qu’ils m’interdisaient de dire : « Falun Dafa est bon. Vérité, Compassion et Tolérance est bon », « J'ai continué à répéter : « Falun Dafa est bon. Vérité, Compassion et Tolérance est bon, » et j'ai récité à voix haute les articles du Maître.

Les officiers de police étaient fatigués, cependant ils n’arrêtaient pas de m’électrocuter. Cependant, les matraques électriques les ont électrocutés eux-mêmes. Je leur ai dit : "Vous me persécutez sans aucune raison. C’est votre rétribution. Arrêtez de faire ça immédiatement. " Cette fois ci ils ont été vraiment effrayés et des expressions paniquées se sont dessinées sur leurs visages. Ils ont posé les matraques électriques et ils ont arrêté de me torturer, Alors depuis, ils n’osent plus me torturer.

Aussi longtemps que les pratiquants de Falun Gong maintiennent des pensées droites et des actions droites sans l’attachement de la peur ni compter sur la chance, les capacités supra normales peuvent librement se manifester. Cela réduira le dommage fait à la validation de Dafa pendant la période de la rectification de la loi et invalidera la persécution perverse, y compris la surveillance des agents spéciaux.