pratiquants
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Le 31 juillet, l’ « Association taïwanaise pour secourir les pratiquants du
Falun Gong persécutés » a envoyé une lettre aux institutions judiciaires, y
compris, les cours, les bureaux des procureurs et les divisions de police,
demandant assistance pour enquêter sur le trafic illégal des organes des
pratiquants du Falun Gong. Le 8 août, le Bureau du Procureur de la Cour Suprême
de Kaohsiung a publié une lettre adressée au bureau du procureur municipal
affirmant que le prélèvement d’organes s’apparente au meurtre tel que spécifié
dans le code pénal ainsi que dans les lois sur les greffes d’organes. Le bureau
de l’État a donc demandé au bureau local de traiter ce problème en conséquence.
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Voici la traduction de la lettre
officielle envoyée par l’ « Association pour secourir les pratiquants du
Falun Gong persécutés »
Sujet : Demande d’assistance pour enquêter sur le trafic illégal des organes des pratiquants du Falun Gong
Déclaration :
Au mois de mars dernier, l’information choquante au sujet du camp de concentration établi par le parti communiste chinois à Sujiatun, pour prélever les organes des pratiquants du Falun Gong et les tuer, a été révélée à la communauté internationale. L’Organisation mondiale pour enquêter sur la persécution du Falun Gong (WOIPFG, fondée le 20 janvier 2003) a immédiatement entrepris une enquête approfondie. De plus, les sites Minghui et Clearwisdom ainsi que l’Association Falun Dafa ont rapidement formé la «Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong » afin d’enquêter sur ces atrocités. Les preuves recueillies sont choquantes. L’enquête démontre les résultats suivants : le prélèvement d’organes est systématique et très répandu. Le régime communiste prélève les organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants et les vend à des gens à travers le monde entier pour en tirer du profit. D’innombrables individus dans le domaine médical, le commerce, la politique, les cercles militaires et juridiques sont impliqués dans ces atrocités.
Le 6 juillet, David Kilgour, l’ancien secrétaire d’État canadien, (Asie Pacifique) et David Matas, l’avocat réputé des droits de l’homme ont publié un « Rapport concernant les allégations de prélèvement d’organes des pratiquants de Falun Gong en Chine » (ci-joint). Ce rapport est une enquête systématique décrivant ces atrocités comme « une forme monstrueuse de mal qui, […] est nouvelle sur cette planète. » Le rapport a révélé les mensonges du Ministère chinois des Affaires étrangères et des ambassades et a confirmé la véracité des allégations sur le prélèvement d’organes. De plus, après la publication du rapport, plusieurs avocats renommés en Europe, aux États unis et à Taïwan se sont joints à la Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong en demandant à se rendre en Chine pour enquêter. Le gouvernement canadien a aussi déclaré ouvertement qu’il prendrait ces allégations au sérieux et enquêterait sur ces crimes. Des institutions des Nations-Unies ont également commencé leur enquête.
Taiwan est actuellement l’un des pays où beaucoup de citoyens se rendent en Chine continentale pour des greffes d’organes. Pour éviter que des citoyens taïwanais innocents participent sans le savoir aux crimes du PCC et assistent le régime à tuer les victimes pour prélever leurs organes, nous demandons sincèrement à vos institutions de nous aider à éveiller l’attention au sujet de ces atrocités et d’aider à empêcher la participation des citoyens à de telles greffes illégales d’organes afin de protéger les citoyens et de réduire la possibilité de massacre des pratiquants.
Directeur Chu-Chen Ming