(Minghui.org)
La révélation du fait que le parti communiste chinois prélève des organes sur
des pratiquants de Falun Gong a causé une grande inquiétude dans le monde
entier. Les questions suivantes ont été posées à un médecin de l'Hôpital du
Peuple de la ville de Tianjin :
L'enquêteur : Est-ce que l'Hôpital du Peuple peut faire des transplantations d'organes ?
Le médecin : Oui.
L'enquêteur : Que pouvez-vous dire au sujet des problèmes techniques ?
Le médecin : Il n'y a pas de problème.
L'enquêteur : Est-ce une opération de routine ?
Le médecin : C'est de la routine.
L'enquêteur : Est-ce que ce sont des organes de personnes vivantes ?
Le médecin : Bien sûr.
L'enquêteur : D'où viennent les donneurs ?
Le médecin : Nous avons des contacts avec des tribunaux et des prisons.
L'enquêteur : Si ce sont des condamnés à mort, après l'exécution, est-ce que les organes ne vont pas rapidement mourir ?
Le médecin : Ils sont exécutés, mais ils ne sont pas morts. Ensuite les organes sont prélevés. L'opération prend seulement une dizaine de minutes. Les organes sont mis dans un sac en plastique avec de l'eau et tout de suite embarqué.
L'enquêteur : Selon les traditions chinoises, c'est un grand tabou pour une personne décédée de ne pas avoir un corps intact. N'est-ce pas difficile pour les gens d'accepter cette situation ? Les détenus ou leurs familles ne seraient pas d'accord avec ça.
Le médecin : Vous n'êtes pas au courant des atrocités derrière tout ça. La seule chose que les membres de la famille voient, c'est les cendres.
L'enquêteur : Combien est-ce que ça coûte?
Le médecin : Pour un rein, cinquante mille yuans sont suffisants si vous êtes assuré.
Traduit au Canada le 20 août 2006