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S'occuper des menus détails tout en ayant de grandes aspirations

Vendredi 25 août 2006

(Minghui.org)


Présenté à la Conférence de Loi 2006 à Washington DC par un pratiquant de Toronto

Salutations à Maître Li, salutations à mes compagnons de pratique,

J’ai obtenu la Loi après avoir écouté la conférence du Maître à Toronto le 23 mai 1999. Sans avoir eu beaucoup de temps pour la cultivation personnelle, je suis entré dans la période spéciale du processus de la rectification de la loi. Dans l’Enseignement de la Loi de la tournée en Amérique du Nord, le Maître a dit :

« Au 20 juillet 1999 j'ai déjà poussé tous les élèves d'avant le 20 juillet à leur place, je vous ai poussé à votre place la plus élevée. »

J’étais très heureux d’avoir été capable de sauter dans le dernier bus. Je me complaisais dans ma compréhension que j’avais déjà été poussé dans ma position, donc j’étais sain et sauf tout simplement en ne faisant que suivre. Alors, je me suis impliqué dans les projets médiatiques ainsi que dans bien d’autres projets. Au début, je me considérais comme un nouveau pratiquant. Graduellement, je suis devenu un ancien pratiquant, et par la suite un coordinateur. Au cours de ces sept dernières années, j’ai participé à plusieurs projets, faisant bien des choses et ma cultivation personnelle a été reléguée au deuxième plan.

Récemment, je me suis rendu compte qu’au fil des ans, au nom des « projets de Dafa » je n’avais pas été diligent dans ma cultivation personnelle. Je blâmais toutes les difficultés que je rencontrais comme des interférences perverses. Je n’ai vraiment pas fait face à cette question avant cette année lors de l’Enseignement de la Loi au Canada. Le Maître a dit à Toronto :

« Retenez bien cela, les principes humains sont inversés, donc au cours de votre cultivation et pratique lorsque vous rencontrez des ennuis, il ne faut pas que vous les preniez pour des conflits ni pour des interférences avec les choses sérieuses que vous faites ou des attaques contre les choses sérieuses que vous faites : cette chose-là que je suis en train de faire est importante, cette chose-ci est importante. En réalité, beaucoup de choses ne sont pas forcément comme vous les voyez. »

Le Maître a également dit :

« Justement c’est cela votre responsabilité. Donc, au cours de votre cultivation et pratique, ce n’est pas comme vous l'imaginez, vous ne devez pas penser que seule la cultivation et pratique a de l’importance, qu’aucune autre chose n’a d’importance, par exemple que la famille n’est pas importante, la société n’est pas importante, rien n’est important. Bien mesurer les rapports entre tout cela, c’est justement le chemin que vous devez emprunter. Je dis qu’il faut cultiver et pratiquer en vous conformant au maximum à la forme de la société des gens ordinaires » (Enseignement de la Loi au Canada 2006)

Se débrouiller au nom des projets de Dafa

Je suis un chercheur scientifique dans une grande compagnie de recherches en vaccins. Écrire les rapports fait partie de mon travail. J'ai fait un rapport en 2002, qui a eu un grand impact sur un projet important. Le rapport a été très bien identifié dans la communauté globale de R&D car il a été considéré comme basé sur les faits et facile à lire. Depuis lors, j'ai développé un point de vue plus profond de la rectification de la loi. J'ai participé à beaucoup de projets de Dafa. Graduellement, j'ai commencé à comparer les projets de Dafa à ce que je devais faire au travail et essayais de leur donner une certaine priorité dans l’ensemble. Inconsciemment, j'ai commencé à juger le travail des gens ordinaires selon ma propre compréhension de la Loi. Est-ce que je fais une bonne chose si j'aide à sauver des gens de la douleur de la maladie ou même de la mort ? Avec cette compréhension, vous pouvez vous imaginer à quelle hauteur relativement basse sur ma liste de priorités je plaçais mon travail quotidien ! Je justifiais le tout au nom de faire des projets de Dafa. Plus je partageais avec mes compagnons de pratique, plus je croyais que ma décision était « la bonne » à ce moment-là. Apparemment, je n'étais pas le seul avec cette mentalité. Mon épouse était préposée à la technique de ventes et jouait un rôle de premier ordre dans une grande société de télécommunications. Elle s’est impliquée également dans beaucoup de projets de Dafa, presque en même temps que moi. Quand elle a perdu son travail, je l'ai enviée : « C'est formidable ! Tu peux maintenant effectuer le travail de Dafa à plein temps! » Moi-même, je voulais effectuer le travail de Dafa à plein temps aussi. Seulement parce que quelqu'un devait mettre du pain sur la table n’ai-je pas démissionné de mon boulot. Jusqu'il y a quelques mois seulement, j'essayais toujours de trouver une manière de travailler à plein temps sur les projets de Dafa.

Vous pouvez probablement deviner la qualité de mon travail avec ce genre de mentalité. Ce qui s’est manifesté en surface, ce fut des épreuves après épreuves au travail. Mon patron avait également développé une attitude envers moi. Je considérais tout ceci entièrement comme des interférences à mes « tâches justes » et des « attaques contre celles-ci ». J'avais développé l’habitude d'émettre régulièrement des pensées droites. Avant d’aller à une réunion avec mon patron, j’émettais la pensée droite. Bien que parfois il ne soit pas content, j’ai pu sortir indemne à chaque fois. J’émettais la pensée droite avant la révision de chaque projet. Même si j’aurais pu mieux gérer certains projets, je réussissais les révisions assez bien. Il y a eu quelques fois où j’ai senti que mon patron avait atteint ses limites. Je me suis dit que les problèmes n'allaient pas tarder, je devais donc intensifier la clarification de la vérité. Ce qui est bien, c’est que mon patron a un sens aigu de la justice et il a aussi bon cœur. Je pouvais toujours aller respirer un bon coup après une intense session de clarification de la vérité avec lui.

En 2003 à Atlanta, le Maître nous a dit que la clarification de la vérité était la clef. C'est tellement vrai. Si nous pouvons atteindre cela à un niveau proche des gens ordinaires et avec un langage que les gens ordinaires comprennent, les résultats sont surprenants. Au début de cette année, j’ai passé beaucoup de temps à essayer de stopper l’entrée au Canada des neuf chaînes de télévision du PCC. J’ai fait l’effort de clarifier la vérité à mon patron, ce qui l’a apparemment touché et m’a beaucoup aidé à traverser une autre crise de travail. Il avait fait partie des militaires canadiens brièvement lors de sa jeunesse. Je lui ai dit que j’étais en train de défendre le Canada. Les soldats canadiens portent des armes pour défendre le Canada. En ce moment, le PCC envahit le Canada avec ces neuf chaînes de télévision incitant à la haine. La plupart des Canadiens ignorent ces faits. Oui, j’ai passé énormément de temps là-dessus, mais c'était tellement important, car je défendais le Canada avec nos efforts. En outre, toute les compétences d’écrivain que j’avais appris au travail, particulièrement avec l’aide de mon patron qui a beaucoup de compétences pour écrire, ont été mises à profit. Ce que nous avons soumis au CRTC était très professionnel. Normalement, cela aurait pris quelques mois à des avocats pour accomplir une telle plaidoirie. Nous, des amateurs l'avons fait en moins d'un mois. Plus tard, j’ai appris qu’il avait parlé en bien de moi à son superviseur. J’étais sincèrement heureux pour lui, car je savais qu’il avait bien agi. Rétrospectivement, je réalise que je l’ai obligé à endurer la responsabilité que j’aurais dû accepter moi-même au travail.

Oui, la clarification de la vérité est la clef principale ; cela peut aider les gens à faire le bon choix pour bien se positionner.

Oui, les pensées droites des disciples de Dafa sont puissantes, émettre la pensée droite peut assurément éliminer les interférences de la perversité. Cependant, ni l’émission de la pensée droite ni la clarification de la vérité ne peuvent remplacer la cultivation. Elles ne diminuent pas notre responsabilité d'équilibrer ce que la Loi exige que nous fassions dans la société ordinaire.

La pression économique m'incitait à m’accrocher à mon travail. Maintenant, ce travail signifie plus pour moi que de simples pièces de monnaie. C'est un environnement unique de cultivation. Bien que je doive encore lutter de temps en temps pour équilibrer le travail de Dafa et le travail ordinaire, j'estime que mon esprit est sur la bonne voie. J'ai maintenant une meilleure compréhension de la perspective de la Loi. C'est le plus important ; avec cette compréhension, je suis sûr que je vais arriver à bien les équilibrer.

Ne pas s’occuper des menus détails, toujours au nom des projets de Dafa

Il n’y a pas bien longtemps, mon patron m'a donné un feed-back sur un rapport que j'avais écrit. Il a dit que « dire que ‘A et B sont fortement reliés' est vague, vous devriez plutôt dire ‘lorsque la valeur de P se définit comme XYZ, A et B sont statistiquement fortement reliés’ » Il a continué en disant : « Les conclusions sans les détails pour les appuyer ne sont pas convaincantes. » Je me suis dit : « Tiens encore une fois. » Je n’ai pas vraiment répondu, mais j'ai plutôt émis la pensée droite dans mon esprit. Il avait fallu que je me dépêche pour finir ce rapport, car je devais vite travailler sur un projet important de Dafa. La matière de ce projet était tellement insignifiante, pourquoi était-il si minutieux pour ces menus détails ? Ce devait bien être de l’interférence ! Je suis retourné à mon bureau, j’ai bien fermé la porte et émis la pensée droite. Après m’être calmé, je me suis rendu compte que j’avais en fait tous les éléments pour écrire un rapport de qualité complet. Ce n’était nullement difficile de l’écrire. Ce qui était difficile cependant, était de pouvoir me calmer, de stabiliser mes pensées et de me concentrer sur ce que j’écrivais. Le problème provenait du cœur.

Rétrospectivement, je constate qu’il y a eu bien des incidents où je ne faisais pas attention aux menus détails, même pour les projets de Dafa. Par exemple, lors des plaidoiries envoyées au CRTC contre les chaînes de télévision du PCC dont j’étais si fier, il y avait un règlement mineur dont je n’avais pas fait une étude approfondie et que j’avais accepté tel quel. Plus tard, cela devint une excuse pour les avocats de l’autre partie d’attaquer notre plaidoirie. Parce que cela n’était pas un point majeur, l’attaque n’a pas vraiment fait du tort. Néanmoins, cela reflétait la faiblesse de mon éthique de travail. En comparaison avec le rapport de David Kilgour et David Matas, la lacune était évidente. J’ai un long chemin à parcourir pour m’améliorer en termes de faire attention aux détails, que ce soit pour un travail de Dafa ou mon travail ordinaire.

En fait, la culture du parti pervers se situe dans l'extrême de ne pas s'occuper des détails. Peu importe les faits, le PCC arrive toujours à vous étiqueter en tant que quelque chose et ensuite  commencer à vous persécuter ou vous critiquer. C'est tellement apparent dans la réponse du PCC au rapport de Kilgour-Matas ainsi que dans sa réponse au CRTC. Ils n’osent pas faire face aux faits et à la place ils répondent par de la propagande.

Répondre aux situations avec des slogans est impuissant, mais c’est facile à faire. Je fais ceci parfois aussi, comme manifestation de paresse. Dernièrement, j'ai participé assez activement aux sessions de partage des pratiquants. Mon épouse a dit que j'employais beaucoup de jargon. Le Maître a dit à la Conférence de la Loi de New York que notre chemin est très étroit. Quand je ne fais pas bien moi-même, au lieu d'essayer de faire bien, j'essaie d'imposer mes points de vue aux autres. Pour sûr, c'est en-dehors de la voie du chemin droit. Si je continue à faire pression auprès des autres avec de grands mots, parler avec beaucoup d'adjectifs et vraiment sans aucune substance véridique, alors je pourrais tomber plus près de la culture perverse du parti. C'est grave.

Être indulgent face à ses propres attachements « subtils », toujours au nom des projets de Dafa

J'ai lu le Zhuan Falun plusieurs fois, mais je n’avais jamais compris avant le 22 mars de cette année que le passage sur ‘les serviettes de l'usine’ avait quoique ce soit à voir avec moi. Mais à la fin de l’année passée, ma compagnie a engagé les services d’une psychologue certifiée pour entraîner les chefs en leadership. On m’a sélectionné pour une session en tête à tête avec elle pour analyser mon type de personnalité et mon style de leadership afin que je puisse m’améliorer dans ces domaines. J’étais très content, non seulement pour la chance d’apprendre des techniques et de les appliquer à d’autres projets de Dafa, mais c’était également une bonne occasion de lui clarifier la vérité.

Je lui ai parlé de beaucoup de choses durant la session du 22 mars, de ce qu’était le Falun Gong  jusqu’aux faits sur le camp de concentration de Sujiatun et à mon implication dans le travail de médias. J’ai également partagé les difficultés que j’éprouvais à équilibrer toutes ces activités. Tout doucement, elle m’a demandé : « Le Falun Gong pratique l’Authenticité. Vous ne faites nullement autre chose durant vos heures de travail, n'est-ce pas ? » Sa question m’a frappé assez durement. Puis la discussion se tourna vers d'autres choses. En relisant « Zhuan Falun » au chapitre 4, en réfléchissant sur mon comportement, je me suis rendu compte combien je m’étais éloigné comparativement aux exigences d’un pratiquant. Ce n'était pas comme si je ne savais pas ce que je faisais ou ne savais pas ce quel était le critère, c'était parce que je voulais « me donner une pause » en étant indulgent envers mes attachements apparemment « mineurs », parce que j'avais effectué tellement de travail de Dafa. Je méritais cette pause particulièrement lorsque je sacrifiais des choses insignifiantes, tel que mon travail. Ce manque de discipline m'a mené directement à travailler sur les projets de Dafa durant mes heures de travail sans avoir aucunement l’intention de me rattraper plus tard.

Inconsciemment, je savais que j'aurais dû faire ce pour quoi j’étais payé ; cependant, j'ai même paradé devant mes compagnons de pratique en me vantant que je faisais les projets de Dafa au travail ! En fait, l'efficacité était basse quand j'essayais de faire trop de choses d'un seul trait. En conséquence, je n'ai pas bien effectué le travail de Dafa ; j'avais également un rendement faible au travail. Après avoir écouté la Conférence du Maître à Toronto cette année, je me suis rendu compte de l'importance de bien équilibrer les choses au travail. J'étais déterminé à me concentrer sur mon travail quand j’étais au boulot. Mon efficacité au travail s'est améliorée spectaculairement. Je me suis également arrangé pour effectuer le travail de Dafa pendant les pauses de midi et après mon travail ordinaire. Cependant, c'est un grand défi pour moi de changer une habitude prise depuis beaucoup d'années, particulièrement quand la plupart des projets sont pleins d’exigences de dernière minute. J'ai deux systèmes de courriels sur mon ordinateur. Pouvoir me retenir de cliquer sur le système de courriel de Dafa pendant les heures de travail est devenu une grande épreuve pour moi. Je n'aurais jamais pensé que le contrôle de la souris pouvait exiger autant de discipline. Après quelques mois, maintenant je peux me concentrer sur mon travail pendant 4 heures consécutives le matin, de même l’après-midi et penser aux projets de Dafa seulement durant l’heure de midi et après le travail.

Le Maître nous a bien indiqué l'importance et le sérieux de bien équilibrer les choses. En tant que disciple, je n'ai pas d'autre choix que de le faire bien. La chose la plus importante est d'avoir le bon état d'esprit. Ce qui nous tracasse l’esprit a un impact énorme sur les gens ordinaires. Après avoir déterminé de bien faire le travail, j'ai vu de grands changements également chez mon patron. L'acte pervers du PCC de prélever les organes des pratiquants pour en tirer bénéfice l'a vraiment bouleversé. Plusieurs fois, il a voulu en parler pendant les heures de travail. En fait, si notre état d’esprit est juste et nos actions sont droites y compris bien faire le travail, alors même le patron peut vous rejoindre dans votre travail de Dafa si nécessaire.

Les attachements « subtils » viennent de tous les aspects de ma vie. Par exemple, il y a deux secrétaires dans notre secteur de travail, l’une est jolie, l’autre pas. Quand j'ai besoin d'aide, j'essaie toujours de trouver celle qui a bonne mine pour m'aider. C'est apparemment un attachement, mais j'ai toujours eu mes justifications. Cependant, si nous ne sauvegardons pas chaque particule de nos pensées, ces attachements « subtils » peuvent s’agrandir et endommager le travail de Dafa. L'année dernière, une ancienne pratiquante a été affectée à un travail de coordination avec moi. La collaboration entre nous deux n'allait pas bien du tout. Elle a dit que je ne lui avais pas apporté beaucoup de soutien. Ce n’est qu’après qu’elle me l’ait souligné directement, que j'ai réalisé que j’avais la tendance à choisir les pratiquants que j’aimais pour collaborer. En ce qui concerne les pratiquants auxquels je ne me sentais pas particulièrement proches pour une raison ou une autre, je ne faisais en général pas de geste dans leur direction, j'offrais encore moins de les aider.

Ceci est subtil, mais c'est sûr que c'est le qing. J’ai travaillé avec nombres de pratiquants sur les projets. Durant le processus, j’ai développé une certaine sentimentalité envers eux également. L’ampleur de ma sentimentalité envers divers compagnons de pratique s’est révélée récemment lors d'un conflit d’équipe. Il y a environ un mois, j'ai pensé avoir vu deux pratiquants de l’équipe être traités injustement. En tant qu’un des coordinateurs principaux de l’équipe, j’ai perdu mon sang-froid. J’ai cru que justice devait être faite, alors j’ai disputé les pratiquants « responsables ». Après un temps de partage avec les pratiquants impliqués, je me suis rendu compte que mon comportement était mené par mon qing envers les pratiquants et mon sens de la « justice », et non pas par la compassion envers tout ce qui était impliqué et non plus en considération de l’amélioration de l’environnement global.

« Naturellement, la plupart des disciples qui se trouvent dans cet état, le sont en réalité parce qu’au début, ils n’étaient pas conscients qu’ils avaient des attachements subtils, ou que ces conceptions interféraient avec eux, et la perversité a profité de leurs lacunes pour amplifier ces facteurs. »

Ne pas sauvegarder les attachements subtils est une lacune. Ce n’est pas de la cultivation si nous ne pouvons discipliner nos pensées et nos actions. Le Maître a dit dans « Le Saint (Sheng zhe) » :

« Quelqu’un s’acquitte des décrets du Ciel dans ce monde et au Ciel, il est d’une grande vertu et a bon cœur, de hautes aspirations occupent son esprit et son cœur mais il s’astreint aussi aux formalités, connaît bien les principes de la Loi et peut dissiper les illusions, en faisant du bien au monde et en sauvant l’homme il enrichit naturellement ses mérites. »

Les disciples de Dafa de la période de la rectification de la loi ont l'honneur de suivre le Maître  dans la rectification de la loi. C’est certain que nous avons de « grandes aspirations », mais « s'occupe-t-on des détails mineurs » ? Je ne suis pas si sûr. Je suis certain cependant que je n’ai pas bien fait à cet égard. Je regrette que j'aie eu la pensée d’avoir attrapé le dernier bus et que par la suite j'aie laissé tomber ma garde dans ma cultivation personnelle. Je suis reconnaissant que le Maître, par Sa propre endurance, m’ait donné des chances supplémentaires pour que je me corrige. Je serai diligent et disciplinerai chacune de mes pensées et chacune de mes actions selon Authenticité, Bienveillance et Patience.

Ce sont mes points de vue limités, merci d'être bienveillant en m'indiquant s'il y a quoi que ce soit d'inapproprié.

Merci Maître ! Merci mes compagnons de pratique !


Traduit de l'anglais au Canada le 13 août 2006

Glossaire : http://fr.minghui.org/glossaire/glossaire.htm