(Minghui.org)
J’ai finalement pu voir le Maître pour la première fois à Pékin lors de la
Foire Orientale de la Santé de décembre 1993. Pendant une fraction de seconde,
j’ai pensé « Où l’ai-je déjà vu ? » Il semblait très gentil et familier.
Maître portait un costume bleu nuit et semblait avoir dans la trentaine. Il était solennel et gracieux signant des autographes. Dans une file, les gens attendaient qu’il traite leurs maladies, dans l’autre file ils attendaient pour avoir son autographe. Quand ce fut mon tour, debout devant le Maître je lui ai tendu une feuille de papier blanc, parce que je n’avais avec moi aucun des livres du Falun Gong. J’ai posé la feuille carrément sur la table. Maître me l’a rendue après avoir signé son nom. Une femme mince, qui travaillait à la Foire, était debout près de lui et m’a dit, « Prenez en bien soin quand vous rentrerez chez vous. » Je lui ai dit que je le ferais, mais je ne voulais pas partir, j’ai donc traîné un peu aux alentours du stand.
J’ai vu beaucoup de personnes qui grouillaient autour du stand du Falun Gong. Il y avait peu de monde aux autres stands tant proches qu’éloignés. J’ai vu des gens debout lisant les horaires des prochaines conférences. Je me suis donc inscrite pour assister à une conférence. Un ancien pratiquant du Falun Gong m’a donné un billet. Le lendemain, pour assister à la conférence, je suis allée dans un petit auditorium. Il y avait beaucoup de monde et pas suffisamment de sièges. Donc beaucoup de gens se sont massés au fond de la salle pour écouter la conférence. Quand Maître eut fini de parler et après être descendu du podium, beaucoup de pratiquants l’ont entouré, brandissant leur livre en demandant un autographe. Le jour suivant je suis revenue pour assister à une autre conférence.
J’ai assisté à une Conférence du Falun Gong dans la ville de Tianjin en janvier 1994. Le prix du billet était de 50 yuans pour les gens qui assistaient pour la première fois aux conférences et de 25 yuans pour les anciens élèves. Les membres de l’équipe s’arrangeaient pour trouver des chambres d’hôtels pour les élèves. La nourriture et les dépenses courantes étaient vraiment peu élevées et convenables. Mon corps était en cours de purification bien avant que la conférence n’ait commencé, et cela dura jusqu’au dernier moment de la conférence.
Un jour alors que Maître donnait une conférence, certains des pratiquants assis près de moi ont vu d’anciens pavillons finement sculptés, des terrasses et des tours du Monde Falun derrière le Maître, et ces scènes pouvaient également être vues sur les photos qui ont été prises. Certains pratiquants sentaient par intermittence des parfums de fleurs qui enchantaient les cœurs et rafraîchissaient les esprits. D’autres ont vu le Bouddha Sakyamuni assis à côté de Maître et de l’autre il y avait Lao Tseu. D’autres encore voyaient que le Maître ressemblait de temps en temps à un vieux maître Taoïste.
Qu’il s’agisse d’argent ou d’objet perdus lors de la conférence, tout fut rendu à leurs propriétaires. Les objets trouvés étaient ramassés par les pratiquants et donnés aux membres de l’équipe d’encadrement. Les propriétaires en étaient avertis et venaient les retirer. J’y ai récupéré mon portefeuille perdu. Ce système d’objets trouvés improvisé montrait que les pratiquants avaient purifié leur esprit et élevé leurs niveaux.
Après la conférence, j’ai rencontré beaucoup de pratiquants. Certains ont parlé des énormes changements physiques qu’ils avaient expérimentés. D’autres de leurs impressions lors de l’ouverture de leur œil céleste, et d’autres ont vu des choses avec leurs capacités supra normales. Un pratiquant a dit qu’il avait eu un rêve dans lequel il avait vu une carte de la Chine. On lui a dit que le Falun Gong se propagerait dans toute la Chine.
Un jour avant la conférence plusieurs d’entre nous nous étions concertés que puisqu’il n’y avait qu’un seul chemin par lequel le Maître pouvait entrer dans l’auditorium, nous l’attendrions là pour nous faire prendre en photo avec lui. Nous sommes restés à l’entrée assez longtemps sans le voir. Quand il fut presque l’heure, nous nous sommes dépêchés de rentrer pour nous asseoir à nos places. Maître était déjà debout sur l’estrade. Maintenant en y repensant, à cette époque, nous étions trop attachés à être pris en photo avec Maître.
Maître portait un long manteau bleu clair et avait une apparence soignée parmi la foule. Il y avait beaucoup de nouveaux pratiquants. Ils désiraient faire une photo de groupe avec le Maître et l’ont donc invité à se joindre à eux alors qu’ils n’étaient pas encore prêts. Maître était bousculé de tous côtés par les pratiquants alors qu’ils essayaient de se placer pour la photo, mais il est toujours resté très calme.
A la fin de la conférence à Tianjin, cinq d’entre nous avions pris le train pour Dongying dans la Province du Shandong. Le nouvel An Chinois approchait. Nous sommes allés à Kenli, pour attendre le Maître au lieu d’aller à Pékin. Une pratiquante âgée qui cultivait avec son œil céleste ouvert était extrêmement sensible. Elle pouvait voir beaucoup de choses mais n’en parlait que rarement. Elle a dit que le Fashen de Maître était assis au-devant du train et que nous cinq étions assis dans la poche du Maître. Il lui a demandé de bien nous guider, et elle lui faisait un rapport à chaque arrêt.
Nous avions des chambres au troisième étage à l’hôtel de Kenli. Juste après le Nouvel An Chinois, Maître, sa femme et sa fille et les membres de son équipe sont arrivés à l’hôtel et avaient leurs chambres au premier étage. Maître a donné des conférences en soirée à Kenli pour arranger les pratiquants qui travaillaient durant la journée. Dans la matinée, Maître a demandé aux pratiquants vétérans qui étaient venus avec lui de nous apprendre les exercices. A cette période, le Maître est allé donner des conférences dans la ville de Daqing. Nous l’avons suivi.
Un jour, plusieurs d’entre nous voulions aller sur le pont du Fleuve Jaune. Avant que nous quittions le jardin, nous avons vu le Maître qui avançait rapidement vers nous. Nous l’avons salué en faisant « Heshi » [les paumes pressées l’une contre l’autre, une forme de salutation]. Maître nous a salué en retour et a dit quelque chose à un vieil homme debout à ses côtés. Il tenait un papier rouge roulé dans ses mains. L’homme a dit que c’était utilisé pour y écrire les horaires des leçons. Plus tard, un jeune pratiquant a vu Maître écrire en Kai Shu [écriture régulière, une sorte de calligraphie] dans la pièce. Les horaires étaient envoyés à l’auditorium dans la soirée.
Une nuit aux environs de 23 h, nous allions directement nous coucher en décidant de renoncer à faire les exercices du Falun Gong. Un jeune pratiquant regardait le plafond. Nous lui avons demandé alors « Qu’est-ce que tu regardes ? » Il a dit qu’un très grand Fashen de Maître était assis sur le toit de l’immeuble et faisait les exercices. Nous avons alors compris que Maître nous rappelait de faire de même.
Maître nous a dit de nous concentrer sur l’enseignement lors de la conférence et de ne prendre aucune note, de ne rien enregistrer. Plusieurs d’entre nous étions assis au premier rang. Un pratiquant âgé a essayé d’enregistrer la leçon, mais il n’a pas réussi. Il m’a demandé de le faire car il pensait qu’une jeune personne, comme moi, serait autorisée à le faire. J’étais assise, au premier rang, juste en face de Maître, avec un magnétophone à la main. Bien sûr l’enregistrement n’a pas fonctionné. Plus tard nous avons abandonné et nous nous sommes souvenu que Maître prenait soin de nous et voulait que nous nous concentrions sur la leçon.
Lors de la conférence à Tianjin, il y avait un couple de fermiers présent avec leur fille de 11 ans atteinte de leucémie. Les parents avaient dû la transporter sur leur dos. La santé de la jeune fille s’est énormément améliorée après que Maître ait ajusté son corps. A Kenli, elle était capable de courir et de jouer avec les autres enfants, y compris avec la fille du Maître. Ses lèvres et ses joues sont passées du blanc au rouge. Sa mère était vraiment reconnaissante envers Maître et pleurait à chaque fois qu’elle en parlait.
Chacun d’entre nous voulait parler au Maître. Un jour, nous avons dit aux membres de l’équipe que nous désirions le rencontrer. Nous avons rapidement nettoyé notre chambre et amené des fruits. Maître est venu assez rapidement. Il s’est assis et nous a souri alors que nous nous asseyions autour de lui. Certains pratiquants étaient debout à l’extérieur alors que Maître s’adressait à nous. Une femme s’est assise en face du Maître et toute excitée, lui a raconté ses sensations quand elle faisait les exercices.
Tout le monde se sentait comme un enfant en face du Maître et personne ne trouvait cela bizarre. Assis dans le puissant champ d’énergie du Maître, nous étions très contents et à l’aise et nos pensées étaient si pures. Il est vrai que nous nous sommes sentis proches du Maître plus que d’aucun membre de notre famille. Nous oubliions tout et nous nous sentions simplement heureux. Maître nous encourageait à cultiver diligemment.
Plus tard nous avons fait une photo de groupe avec le Maître. Un jeune garçon s’est précipité vers nous en ramenant avec lui le dessin d’un Falun qu’il avait réalisé et s’est appuyé contre le Maître. Nous chérirons pour toujours la mémoire de cette réunion.
Les pratiquants mangeaient à la cafétéria, il en était de même pour le Maître et pour les membres de l’équipe. Depuis ce moment, nous faisions beaucoup plus attention à ne pas gaspiller la nourriture et nous emmenions toujours s les restes avec nous.
Le matin suivant, après le dernier enseignement, Maître a fait une photo de groupe avec nous devant l’immeuble. Puisqu’il n’y avait pas beaucoup de pratiquants de Kenli, après que les pratiquants de Pékin aient eu leur photo de groupe prise avec le Maître, nous avons pu poser individuellement ou en petits groupes avec lui. Maître souriait en nous attendant. Dans l’après-midi, nous devions Lui dire au revoir. Maître et les membres de l’équipe sont montés dans une camionnette. Tous les pratiquants ont fait heshi en regardant le Maître partir. Le jeune garçon cité plus haut s’est mis à poursuivre la camionnette sur une très longue distance.
Je me souviens qu’il y avait toujours des interférences à chaque conférences que Maître donnait en Chine, spécialement pour celles qui se sont déroulées jusqu’au début de 1994. Parfois, des enfants se mettaient soudainement à crier dans la salle de conférence, d’autres fois c’était des bruits venant de l’extérieur, comme des plaques métalliques frappées les unes contre les autres ou des voitures faisant fonctionner leur klaxon et occasionnellement des gens avec des motivations peu claires entraient dans l’auditorium. Maître pouvait toujours éliminer l’interférence pour que nous puissions écouter l’enseignement sans interruption.
J’ai assisté à une conférence en juin 1994 dans la ville de Zhenzhou. Au début nous étions dans un auditorium assez petit, vieux et délabré au sol bétonné. Les sièges dans toute la salle étaient également en béton. Maître avait une table en bois. Le deuxième jour, le Maître a donné une conférence le matin et une autre l’après-midi. J’ai pensé qu’il agissait ainsi pour diminuer le coût pour les pratiquants. Ce jour là, il bruinait. Vers 13h30, quand le Maître était en train de parler de possession animales (futi), le ciel est subitement devenu très sombre, de gros grêlons et des grosses gouttes de pluie se sont abattus sur les tuiles du toit en amiante et même rebondissaient sur les fenêtres. Le toit en certains endroits fuyait, et l’électricité fut soudainement coupée. La salle était plongée dans l’obscurité. Les personnes qui étaient à quelques centimètres du Maître ne pouvaient pas le voir clairement, mais le Maître a tout de même continué à enseigner.
Un peu plus tard, la partie du toit à droite du podium s’est mise à fuir. L’eau s’y déversait et Maître nous a dit, « Au temps de Sakyamuni, quand il donnait une conférence, un vent violent avait soufflé les bougies, mais aucun de ses disciples n’avait bougé. » Nous avons compris que Maître était en train de nous dire qu’il ne fallait pas paniquer. Nous étions assis tranquillement regardant comment le Maître traitait ces interférences démoniaques. Maître s’assit tranquillement pendant un moment, bu de l’eau de source d’une bouteille qu’un pratiquant lui avait donné avant la leçon. Le Maître, habituellement, ne buvait pas d’eau lors des conférences. Il est allé sur le podium et s’est assis. Il a un fait un grand geste de la main pendant quelques minutes et alors qu’il terminait le mouvement, il mit quelque chose dans la bouteille. La conférence repris après coup. Maître nous a également parlé des effets produits par ces démons qui perturbent les conférences quand il parle d’eux. L’électricité est immédiatement revenue et la pluie fut réduite à presque rien.
Le jour suivant, nous sommes allés au Stade flambant neuf de Zhenzhou pour écouter une conférence du Maître. La scène était magnifique avec autant de monde dans ce stade. J’étais surprise car c’était le même nombre de personnes présentes la veille dans le vieil auditorium.
Un jour ensoleillé, Maître et les pratiquants étions à l’extérieur. Il irradiait de vitalité et son sourire montrait une confiance infinie. Son regard était lointain. Sa façon d’être était extrêmement heureuse. Je me suis avancée vers le Maître et l’ai regardé de très près. Son visage était si lisse et son teint était si beau comme si son visage était luminescent. Il semblait être parfait, immaculé. Je pense que Maître devait se sentir heureux qu’autant de pratiquants soit devenus plus matures.
Après que nous nous soyons installés à l’hôtel, un jour une personne de l’hôtel nous a dit qu’un homme, grand, la trentaine, conduisait un groupe de personne et qu’ils avaient inspecté l’hôtel avant notre arrivée. De part sa description, nous avons su qu’il s’agissait du Maître qui était venu nettoyer le champ de l’hôtel pour assurer notre sécurité. Nous étions très touchés !
J’ai encore vu le Maître lors d’une conférence dans la ville de Jinan, probablement avant la conférence de la ville de Zhenzhou. Maître semblait clairement avoir maigri et souvent son visage avait des expressions graves et sérieuses. Il semblait légèrement fatigué. Il portait une veste marron. J’ai entendu dire que Maître subissait d’énormes pressions et qu’il travaillait d’arrache pied.
A deux reprises, j’ai été en grand danger après avoir obtenu la Loi. A chaque fois, j’ai été en sécurité car Maître prenait soin de moi. La première fois, j’ai laissé vagabonder mon esprit alors que je marchais dans la rue. Soudainement, j’ai entendu quelqu’un me hurler ; « Voulez-vous mourir ? » Quand j’ai levé les yeux, j’ai vu une barre en fer d’un centimètre de diamètre qui avançait sur moi. Les ouvriers du chantier proche déchargeaient des barres de fer. Ces barres m’auraient blessé si je ne n’avait pas été une pratiquante de Dafa. La seconde fois, je pédalais sur mon vélo quand j’ai vu un camion, loin devant moi, chargé d’énormes blocs de bois. Mais, soudainement d’une manière tout à fait inattendue, j’ai été touchée par des blocs de bois. Plus tard, j’ai réalisé que le camion s’était arrêté. Je suis tombée de mon vélo. Heureusement, je portais un chapeau, car j’aurais été défigurée. J’étais un peu groggy, je me suis sentie un peu mieux après avoir un peu secoué ma tête. Je ne sais pas combien d’autres malheurs Maître m’a épargné.
Je connaissais une pratiquante qui avait une petite fille de trois ans. Une fois, Maître lui a légèrement touché entre ses deux sourcils avec un stylo plume ouvrant ainsi son œil céleste. Souvent, elle rappelait à sa mère de pratiquer diligemment.
Un matin, j’ai assisté à une conférence à Changchun en 1994. Nous voulions également assister à la conférence donnée en soirée, mais tous les billets étaient déjà vendus. Nous avons déambulé à l’extérieur de l’Auditorium Mingfang ne voulant pas partir. Après que Maître ait commencé la conférence nous avons collé nos oreilles sur une fissure de la porte pour l’écouter. Très rapidement, un membre de l’équipe est sorti et nous a dit, «Entrez ! » Maître était si bon !
Après la conférence, Maître a posé avec des pratiquants venant de toutes les Provinces du pays. Tout à coup, j’ai entendu des gens qui applaudissaient. Quelqu’un m’a dit qu’une vieille femme venait de se lever de son fauteuil roulant.
Maître a personnellement guéri les maladies de certains pratiquants et quelques fois il les guérissait à leur insu. Il y a d’innombrables exemples. Deux pratiquantes qui étaient souvent avec moi avaient pour habitude de tenir le lit toute l’année, mais après avoir étudié la Loi et pratiqué les exercices, elles ont rapidement recouvré la santé. Elles étaient même en meilleure santé que la plupart des gens. Elles ont suivi le Maître à plusieurs conférences. Leurs familles également savaient qu’elles avaient bénéficié de Dafa. Après avoir pratiqué le Falun Gong, les douleurs de poitrine et les problèmes gynécologiques qui habituellement me tourmentaient, ont disparus. De jour en jour ma santé s’améliorait, j’avais de plus en plus d’énergie.
Je me souviens que Maître avait dit lors de sa dernière conférence à Changchun que nous serions dans le futur la force principale.
Maître, très tôt, a dit que les pratiquants ne devraient pas juste suivre les séries de conférences, mais que nous devrions rentrer chez nous et cultiver et pratiquer authentiquement. Je n’avais pas compris à ce moment là la signification de la véritable cultivation et je pensais que je devais faire de mon mieux pour assister à toutes les conférences du Maître. Après quelque temps, je suis allée à la conférence de Guangzhou. Quelques fois, après la leçon, nous rentrions à l’hôtel, n’ayant pas faim du tout. Nous savions que le champ d’énergie de Maître était très puissant. J’ai entendu des élèves dire qu’ils avaient vu Maître et sa fille manger des pâtes instantanées à Guangzhou et Jinan.
J’ai eu l’impression qu’en cette année 1994, Maître a beaucoup vieilli. Il endurait des souffrances pour le salut des êtres !
Pour chaque détail sur mon chemin de cultivation, Maître a fait d’invisibles et minutieux arrangements. Il a réglé beaucoup de problèmes pour moi, incluant ceux que je n’aurais jamais imaginé. A la fin de la conférence de Zhenzhou, je n’avais pas acheté mon billet de train à temps. Je me suis précipitée à la gare avant que le train ne parte. J’ai vu quelqu’un qui demandait le remboursement de son billet de train, je le lui ai donc acheté. En montant dans le train, mon siège était parmi ceux occupé par des pratiquants que je connaissais. Quand je me suis retrouvée à la gare de Yunqing, m’inquiétant du comment trouver un hôtel, j’ai vu une connaissance qui me faisait signe de la vitre arrière d’un bus. Quand la première fois je suis allée dans une autre ville pour assister à une conférence, je n’avais pas planifié l’endroit où j’allais dormir. Cependant, avant la conférence, un pratiquant est venu vers moi à moto et m’a aidé à trouver un hôtel. Bien que ma situation financière était assez juste, je réussissais toujours à sortir l’argent nécessaire pour la conférence. Même si je devais emprunter de l’argent, je pouvais toujours rembourser rapidement la somme après mon retour.
J’ai toujours reçu des documents sur les sites de pratique quand ils étaient distribués et je pouvais toujours emprunter des cassettes quand je voulais les écouter…bref, j’étais immergée dans le surnaturel de Dafa et toute chose était si miraculeuse.
En regardant en arrière, au tout début de ma pratique de Dafa, j’ai senti une joie incomparable à cause de la protection de Maître et de l’aide apportée par mes compagnons de pratique ! Mon récit ne peut même pas exprimer un dixième de mes expériences vécues. J’espère que je pourrais faire encore mieux de manière à être à la hauteur des énormes sacrifices et du salut plein de compassion de Maître.
J’ai écrit tout ceci pour mon propre encouragement et aussi pour partager avec les autres. Je veux encourager tous les compagnons de pratique à bien faire.
Le 1er août 2006