(Minghui.org)

Le camp de travaux forcés de Zibo dans la province de Shandong est situé dans le village Qiugu, district Boshan. Ici, les fonctionnaires du PCC ont illégalement détenu et persécuté des pratiquants depuis 2000 et les moyens utilisés sont extrêmement cruels.

De 2001 à 2002, le camp a détenu plus de 200 pratiquants. Dans le but de forcer les pratiquants à abandonner leur croyance, le personnel du camp utilise une tactique qu’ils appellent ‘’ bien transformer.’’ Ils disent aux pratiquants juste arrivés : ‘’ Vous ne devez plus pratiquer. Vous avez déjà atteint la Réalisation. Ainsi, fermez vos livres et conformez-vous à la société ordinaire. Défaites les nœuds qui vous attachent au corps du Maître. Cherchez un nouveau Maître’’ et ainsi de suite. Ce sont tous des mensonges, bien sur. Lorsque ces approches échouent, ils ont des méthodes dont ils disent, qu’elles ‘’éduqueront, sauveront, ou persuaderont’’ les pratiquants. Si ces méthodes ne fonctionnent pas non plus, ils torturent les pratiquants par des chocs électriques, les suspendent, les nourrissent de force, ou les mettent en confinement solitaire. Durant cette période, un pratiquant est mort d’avoir été nourri de force et un est mort en tentant d’échapper à cette torture horrible, sautant d’un bâtiment élevé. Imaginez combien ces conditions doivent être horrible pour quiconque est emmené à cette fin tragique ! (Note des éditeurs : Tuer les autres ou soi-même est contraire aux enseignements de Falun Dafa)

Particulièrement en juillet 2004, le Bureau de la Judicature dans la province de Shandong a organisé un ‘’ groupe assistant à l’éducation’’ mené par le chef de l’institution, Sun Jifa, et le commissaire politique, Yuan. D’autres fonctionnaires impliqués étaient : le chef de la septième division de la quatrième équipe, Zhang Zhaogui ; l’instructeur Pu Cunxian ; le chef de la septième équipe Wang Lijun, promu chef de section pour avoir persécuté des pratiquants ; l’instructeur Zhang Meide, personne extrêmement mauvaise promu instructeur assistant de la quatrième division pour avoir transformé le plus de pratiquants ; et les policiers Bian Weigang et Cui Weiguo.

Les fonctionnaires travaillaient ensemble pour persécuter les pratiquants, en les détenant individuellement et en secret. Ils ont utilisé diverses tortures perverses. Chaque pratiquant a souffert de torture par les chocs électriques à divers degrés, les pires exemples étant l’utilisation de sept matraques électriques pour choquer un seul pratiquant. Ils ont aussi mis un casque de moto sur la tête des pratiquants, puis ont mis le haut-parleur dans le casque au plus haut niveau, diffusant un enregistrement diffamant Dafa. Cette torture a endommagé le système nerveux des pratiquants. Les tortionnaires ont envoyé de la fumée à tour de rôle dans le casque pour faire que les pratiquants pleurent et toussent. Ils ont attaché les pratiquants de façon si serrée que la personne ne pouvait pas respirer et subissait presque une attaque. Jour après jour, ils ne laissaient les pratiquants dormir. Durant l’hiver, ils laissaient les fenêtres largement ouvertes. Chaque jour, ils prenaient les assistants les plus vicieux (Zhou Haitao, Cao Mingjun) afin de battre et de torturer les pratiquants. Bien que l’endroit secret où étaient détenus les pratiquants était loin du dortoir, chacun pouvait entendre les cris des pratiquants lorsqu’il faisait sombre. Ils n’épargnaient personne, même ceux qui avaient été déjà torturé au point d’être mentalement perturbés.

Un exemple, Zhai Naijie, torturé et ‘’transformé’’ par la persécution cruelle, est, plus tard, devenu très déprimé durant une longue période de temps. A l’automne 2005, il est devenu déséquilibré mentalement. Même ainsi, le chef de la quatrième division de police, Zhang Zhaogui, a encore ordonné à l’employé du camp de travail, Li Bingjia, de le nourrir de force. M. Zhai a du porter les menottes, même lorsqu’il était envoyé à l’hôpital et fut menotté au lit de l’hôpital, alors que les policiers mangeaient.

Ci-dessus sont les tortures utilisées communément par la police sur les pratiquants. Il y a beaucoup d’autres méthodes insidieuses. En plus de faire surveiller étroitement les pratiquants par les gardiens, les personnes du camp de travail s’arrangeaient aussi, pour surveiller étroitement chaque mouvement des pratiquants. Cette persécution des pratiquants depuis tant d’années est réellement difficile à décrire. Le camp de travaux forcés Zibo est réellement un repaire du mal.