(Minghui.org)


Le 2 septembre 2006, les pratiquants de Suisse ont tenu des activités à Biel, une ville suisse bilingue, où on parle allemand et français, afin de présenter le Falun Gong et apprendre les faits de la persécution à la population. Comme à Biel la majorité de la population parle français il est difficile aux pratiquants de langue allemande de tenir des activités. De ce fait les pratiquants ne sont pas allés souvent dans cette ville et la plupart des habitants ne savent même pas en quoi consiste le Falun Gong.

Alors que les pratiquants commençaient à installer un stand et disposer les posters sur la persécution, des passants se sont arrêtés pour lire et peu à peu de plus en plus de gens ont fait de même. Beaucoup d’autres ont été attirés par les démonstrations des exercices. Les gens qui étaient assis aux terrasses de café, les passagers dans les bus et ceux qui attendaient aux arrêts de bus ont tous pu voir les démonstrations de ces exercices élégants et paisibles. Un bon nombre de personnes ont dit être intéressées à apprendre et sont venues se renseigner sur les sites de pratiques. L’un d’eux travaillait dans l’armée et ne restait à Biel qu’un seul mois. Il a dit qu’il voulait apprendre les exercices et qu’il se débrouillerait pour trouver un point de pratique même s’il ne connaissait pas bien la ville.

Démonstration des exercices

Signer la pétition

Il y a même des personnes qui ont traversé la rue pour venir prendre des informations. Quand ils ont entendu parler des prélèvements d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants, ils ont pris l’initiative de demander ce qu’ils pourraient faire pour aider à mettre fin à ce crime. Beaucoup ont signé la pétition demandant la fin de la persécution et pour soutenir les pratiquants persécutés en Chine.

Une dame a apposé son nom sur la pétition et a dit qu’elle était très choquée d’entendre parler de collecte d’organes et qu’elle avait du mal à croire que de telles choses puissent arriver dans notre monde moderne et encore plus difficile à imaginer qu’un être humain puisse faire une chose aussi cruelle.


Traduit de l’anglais de :