(Minghui.org)

J’ai 36 ans. Mon mari, mon fils et moi vivons à la montagne, dans un coin isolé, entouré par d'anciennes forêts. Ma famille n’est pas riche et nous menons une vie difficile. En 2004, je n’ai plus eu mes règles. Je me suis donc rendue au centre médical pour femmes et enfants de mon district, pour y faire un bilan de santé. Le docteur a diagnostiqué un désordre endocrinien et m’a prescrit quelques médicaments. Malheureusement les médicaments n’ont eu aucun effet. L’année dernière, j’ai commencé à perdre la vue d'un œil ; puis la vue de l’autre œil s’est aussi voilée. Je suis allée à l’hôpital local de mon district pour un examen oculaire. Le docteur ne parvenait pas à en trouver la cause, il m’a juste prescrit quelques médicaments de plus. Cette année, en février, je pouvais à peine supporter mes maux de tête, et j’ai perdu la vue des deux yeux. J’étais très souvent prise de vertiges. Un expert en ophtalmologie d’un grand Hôpital a suggéré que je passe des rayons-X dans le département de chirurgie du cerveau. Il a été découvert que j’avais une tumeur au cerveau. Le docteur a dit que ce genre d’opération coûterait plus ou moins cent mille yuans ; et qu’en plus, l’opération n’était assortie d’aucune garantie de succès. Qu’il serait plus sage de rentrer chez moi et de manger sainement – en d’autres termes, attendez la mort.

Après avoir entendu les dires du médecin, j’étais découragée. Il serait extrêmement difficile pour ma famille de rassembler ne serait-ce que dix mille yuans – ne parlons pas de cent mille. De plus, le docteur a dit qu’il n’y avait aucune garantie pour que l’opération soit un succès. J’ai donc dit à mon mari que nous ne devrions plus chercher à voir de docteurs et que nous devrions juste rentrer chez nous. Mon mari s’est senti très mal. Il a répondu, « ça n'a pas été facile de venir en ville après tout. Laisses-moi t’accompagner et essayons de passer un bon moment. »

Nous sommes restés brièvement dans la maison de personnes de la famille. J’ai appris que deux personnes âgées dans cette famille pratiquaient toutes deux le Falun Dafa. Elles m’ont dit : « Ne soyez pas effrayée. Tout ira bien. Maître Li peut vous sauver.” Alors, elles ont commencé à me parler de la cultivation pratique de Dafa, comment elles cultivaient le «xinxing » et ainsi de suite. Ce qu’elles m’en ont dit m'a redonné l'espoir. De retour chez moi, j’ai trouvé une copie du livre, Zhuan Falun. J’ai également cherché les pratiquants locaux et j’ai commencé à apprendre la série des cinq exercices. Très peu de temps après, mes maux de tête ont disparus, et mon état spirituel s’est beaucoup renforcé. J’étais reconnaissante dans mon cœur que Maître ait réajusté mon corps pour moi.

Mais, deux mois plus tard, ma tête est devenue très enflée. Mon corps tout entier s’est mis à enfler, comme une femme enceinte qui était sur point d’accoucher. J’étais si grosse que tout mon corps était difforme. A ce moment là, j’ai eu une pensée : je voulais aller à l’un de ces grands hôpitaux de Chongqing pour découvrir quel était le problème. Mon mari m’a emmenée à l’hôpital du Sud-ouest de Chongqing, qui se trouve à plus de 400 kilomètres, pour un diagnostique. Résultat, il nous a été demandé, après avoir payé 10 yuans de frais d’inscription, de rentrer chez nous. On nous a également dit qu’il n’était d’aucune utilité pour nous de revenir.

Cette fois ci, j’étais complètement déçue. Même un grand hôpital avait dit que c’était sans espoir. N'étais je pas en train de souffrir juste pour vivre comme cela ? Mon mari fit de son mieux pour me convaincre et m’encourager à me relever, à reprendre courage. Il m’a ramenée dans notre petite ville pour revoir les deux personnes âgées. Elles nous ont demandé des renseignements sur ma cultivation pratique, et ensuite elles ont discuté avec moi.

C'est à ce moment là que je me suis soudainement éveillée. Quand bien même j’avais entrepris la cultivation pratique, mon but était impur. La cultivation pratique n’est pas pour traiter les maladies, mais pour qu’un individu retourne à son être originel. Je n’étais pas heureuse des changements qui se produisaient dans mon corps, donc je voulais aller dans un grand hôpital pour avoir des explications. Ce n’est pas ainsi que devrait agir un pratiquant !

J’ai même pensé que si le temps qu’il me restait n’était pas suffisant, je devrais le chérir plus encore, consacré ce temps limité à étudier Dafa. Il est rare et difficile d’obtenir Dafa ! Après être rentrée à la maison, puisque je ne pouvais pas livre les livres de Dafa à cause de ma mauvaise vue, je demandais à mon mari de me trouver un jeu d’enregistrement audio des conférences de la Loi (Fa) de Maître pour que je puisse les écouter. J’ai continué avec persévérance à pratiquer les exercices quotidiennement. Quelque soit l’état dans lequel se trouvait mon corps, je continuais tout simplement à étudier la Loi et à pratiquer, étudier la Loi et pratiquer.

De la sorte, en à peu près trois mois, comme mes pensées se purifiaient et que mon xinxing s’élevait, mon corps matériel lui aussi a changé. Non seulement mes maux de tête et mes vertiges ont disparus, mais ma vision des deux yeux est revenue progressivement jour après jour. Maintenant je peux lire les livres de Dafa. Mon corps gonflé également est revenu à son état normal. Toutes choses ont été rectifiées. J’ai recommencé à accomplir mes tâches ménagères.

Les personnes de mon entourage en voyant les changements qui s’étaient opérés en moi, furent toutes très surprises. Elles m’on demandé quels étaient les médicaments que j’avais pris pour avoir eu un rétablissement si rapide. Je leur ai dit d’une façon ouverte et digne que c’était parce que je pratique le Falun Gong. Elles ont toutes levé le pouce pour dire que Falun Dafa est bon.

Date de l'article original: 11/9/2006