(Minghui.org)

Peu importe la situation ou l’environnement, nous ne devons pas manquer l’opportunité de sauver les gens. En même temps, nous devons maintenir un esprit clair, être rationnel, avoir des pensées droites et aller de l’avant avec droiture. Nous devons toujours nous souvenir : nous sommes des pratiquants dont la tâche est de sauver les gens.

Lorsque nous clarifions la vérité, nous devons renforcer nos pensées droites. On ne doit pas le faire anxieusement mais on devrait utiliser la compassion d’un pratiquant pour dire les faits aux gens. Dans le processus de clarifier la vérité, si des pensées incorrectes me viennent à l’esprit, j’utilise immédiatement des pensées droites pour les purger. Lorsque je suis confronté à des gens qui ne comprennent pas Dafa et qui disent des choses déraisonnables, je ne me précipite pas pour les corriger. Au lieu de ça, j’envoie des pensées droites très puissantes, détruisant la perversité derrière lui ou elle et séparant sa vraie personne de celle qui ne l'est pas, car son côté véritable attend impatiemment d’être sauvé. La clef pour clarifier la vérité est de ne pas être touché par le cœur de l’autre personne. Nous devons nous abstenir d’argumenter avec les gens et montrer la compassion des disciples de Dafa qui sauvent les êtres de ce monde.

On ne devrait pas avoir des idées préconçues comme qui sera capable d’accepter la vérité. Une fois, j’ai rencontré un principal d’une école et je voulais lui clarifier la vérité. Parce que j’avais un état d’esprit humain, cela m'a bloqué et je ne lui ai pas bien expliqué la vérité. Je pensais que son niveau de culture était très élevé et je n’avais pas lu les « Neuf commentaires sur le Parti communiste ». Et s’il posait des questions auxquelles je ne pouvais pas répondre ? Comme ce serait embarrassant ! Ces notions humaines ont empêché ma chance de lui clarifier la vérité. Heureusement il vivait dans le même village que moi, donc lorsque je suis allé aux champs pour travailler, je l’ai rencontré encore une fois. Je savais que c’était le Maître qui me donnait une autre chance. Je lui ai parlé de la persécution à Sujiatun et de l’appel du « 25 avril ». Il a reconnu que pratiquer le Falun Gong n’était pas une mauvaise chose mais il pensait que nous étions impliqués dans la politique et il était contre ça. Je lui ai dit que nous sommes juste un groupe de personnes qui cultivent Vérité, Compassion, Tolérance et que c’était la jalousie de Jiang qui avait motivé cette vague de persécution violente contre les pratiquants. J’expliquais que nous étions allés à Pékin pour demander pacifiquement justice pour le Falun Gong, en accord avec les lois nationales. Lorsque que quelqu'un est l'objet d'une injustice, il a le droit de s’exprimer. Nous voulons seulement un environnement de cultivation pacifique et nous ne nous sommes pas impliqués dans la politique. Après avoir entendu mon explication, il a décidé de se retirer du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées.

Maître a dit dans « Enseignement de la Loi à la conférence de Boston en 2002 »,

“Vous êtes des pratiquants, dont la conduite est supposée être pure et droite. Il y a tellement de personnes qui pensent que vous êtes formidables simplement en vous voyant agir. »

Chaque jour je vis en accord avec les paroles du Maître. Presque tous les gens que je connais se sont retirés du PCC. Toute ma famille et tous mes amis se sont retirés. Une fois, quinze personnes à qui j’ai parlé se sont retirées en une seule fois.

Une fois j’ai rencontré un bouddhiste qui ne voulait pas m’écouter aussitôt que j’ai mentionné le Falun Gong. D’abord, j’ai envoyé des pensées droites pour purger la perversité derrière lui, puis ses attachements et je lui ai dit que toutes les religions droites enseignent aux gens à être de bonnes personnes. Je lui ai dit que notre Dafa n’attaque pas sa religion. En même temps, je lui ai souhaité sincèrement une vie sauve. Après avoir entendu ça, il a accepté avec joie de se retirer du PCC et de ses organisations affiliées. Il a aussi montré son empathie pour les pratiquants de Falun Gong persécutés.

Il y a un jeune homme avec un handicap mental qui vit très loin de ma maison dans mon village. Pendant quelques jours il me suivait partout mais je n’avais pas peur. Après plusieurs jours je le vis encore derrière ma maison. Je réalisais que je devais lui clarifier la vérité. Immédiatement, je lui ai clarifié la vérité. En effet, son côté humain était mentalement handicapé mais sa conscience principale était quand même consciente du bien et du mal. Il s'est retiré avec joie de la Ligue de la jeunesse communiste. Par cela, nous pouvons voir que le côté conscient des gens de ce monde attend d'être sauvé. Nous ne devons jamais permettre à nos pensées humaines de nous faire manquer l’opportunité de sauver les gens de ce monde !


Le 23 août 2006