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Les pratiquants devraient s'entraider les uns et les autres et avancer avec diligence

Samedi 30 septembre 2006 |   Écrit par un pratiquant du Nord-est de la Chine

Échangé lors de la deuxième conférence de partage d’expérience par Internet en Chine

(Minghui.org)

Depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996, je suis en forme, heureux et joyeux. C’est le résultat d’un cœur purifié. Auparavant, c’était comme une glissade inconsciente dans l’abysse et j’éprouvais des douleurs dans mon cœur et mon corps. Lorsque je jette un regard en arrière sur mes expériences dans le contexte de la société actuelle, je frisonne sur le degré de danger que ma situation représentait à l’époque. Je suis devenu inquiet pour les personnes qui vivent des situations similaires et j’espère qu’elles pourront obtenir le bonheur que représente Dafa de la même manière que moi.

J’ai utilisé chaque opportunité pour promouvoir Dafa et clarifier la vérité aux êtres vivants. En même temps, j’ai contacté un grand nombre de pratiquants pour se rencontrer et partager nos expériences de cultivation, nous entraider et nous améliorer ensemble. Les pratiquants de Dafa sont un corps et l’amélioration d’un individu peut améliorer l’ensemble. L’environnement du corps entier est capable de stimuler le progrès dans la Loi (Fa) de chacun et il peut éradiquer les efforts des entités perverses dans d’autres dimensions qui manipulent les personnes perverses pour endommager Dafa. Ainsi plus de personne pourront s’éveiller et être sauvées. J’écris maintenant cet article sur mon expérience dans différents domaines à Maître et aux compagnons de pratique.

Étudier la Loi en groupe et s’améliorer ensemble. Lorsque nous nous aidons les uns les autres, la première personne qui en bénéficiera c’est nous-même

Maître a mentionné dans un grand nombre de conférences qu’étudier la Loi en groupe et participer aux conférences de la Loi est important. Il a indiqué que c’était un environnement dont les pratiquants ne devraient pas se séparer. Durant ma cultivation j’ai profondément ressenti que c’est ainsi. Avant que la persécution ne commence en 1999, je ressentais le fait que je m’améliorais rapidement lorsque j’étudiais la Loi et faisais les exercices en groupe chaque jour. Le changement dans le corps était bon. Toutefois depuis que la perversité a essayé de détruire le Falun Gong, je sens que j’ai perdu ce bon environnement de groupe. Depuis lors, je me suis parfois, facilement relâché. Dans le passé j’ai vu que certains pratiquants récupéraient rapidement de graves maladies après avoir pratiqué les exercices en groupe. Mais maintenant sous la forte pression de la persécution menée par le Parti communiste chinois (PCC), ils ne parviennent plus à étudier la Loi ou à pratiquer les exercices, sans même mentionner le fait d’avancer diligemment. Les maladies sont revenues. Certains pratiquants ont perdu leur vie sous la torture des maladies imposées par la perversité.

Vivant en Chine pendant la persécution, j’ai clairement reconnu la forte interférence lorsque j’étudiais la Loi. Je prenais souvent plus de deux heures pour finir une conférence. Lorsque je pratiquais les exercices, j’ai rarement pu atteindre l’état de tranquillité. J’ai réalisé que c’était à cause d’un manque d’étude en groupe. Ainsi j’ai décidé de créer un environnement d’étude en groupe. Lorsque je me retrouvais seul à la maison pour étudier, je la lisais à ma famille lorsque c’était possible. Parfois je contactais d’autres pratiquants pour étudier la loi ensemble. En agissant ainsi, j’ai clairement senti que j’étais capable de me concentrer lors de l’étude de la Loi.

Toutefois, les choses ne se passaient pas toujours facilement. Lorsque je lisais la Loi à ma femme à la maison des interférences surgissaient. Elle s’énervait tout à coup et disait : « Ne me lit pas cela, je n’écouterai pas de toute manière. » Elle a même dit des choses plus mauvaises. Lorsque cela survenait je me sentais mal dans mon cœur. Je pensais que si quelqu’un m’avait lu le livre pendant que j’accomplissais mes tâches, j’aurais été très content. Mais j’ai rapidement réalisé que cette affaire visait mon cœur humain. D’un côté j’ai réajusté ma pensée, de l’autre j’ai envoyé des pensées droites pour éliminer les éléments pervers dans les autres dimensions qui l’influençaient. Je n’ai manqué aucune opportunité pour lui lire la Loi.

J’ai eu des expériences comparables avec certains pratiquants. Cet été, j’ai entendu [dire] qu’une pratiquante que j’avais très bien connue, n’était pas diligente. J’ai surmonté un grand nombre d’obstacles pour étudier la Loi avec elle. Les autorités avaient illégalement arrêté son mari parce qu’il pratiquait le Dafa. Elle et son fils étaient restés à la maison. Parce qu’elle n’était pas diligente, ses voisins l’invitaient souvent de jouer au Mah-jong avec eux. Son fils ne parvenait pas non plus à maintenir l’étude de la Loi. Ainsi je me suis souvent rendu chez elle pour me renseigner sur la situation de son mari et pour l’encourager elle et son fils à étudier la Loi. C’est seulement à ce moment là qu’elle a abandonné le Mah-jong. Parfois elle était attachée à la peur. Lorsque je sonnais, elle ne m’autorisait pas à entrer. Au contraire, elle sortait pour discuter avec moi pendant un moment. Parfois elle me laissait entrer à contrecœur dans la pièce. Puis j’étudiais la Loi avec elle et son fils. C’était au milieu de l’été. Afin de donner un bon exemple, je gardais toujours mon dos droit et m’asseyais en position de lotus durant tout le temps passé là-bas. La sueur dégoulinait de mon corps mais je gardais à l’esprit que j’agissais de la sorte pour l’aider. Après ces journées, pendant l’étude de la Loi, dans n’importe quel environnement, je maintenais normalement la bonne position avec mos dos droit et les jambes croisées. Je me souviens lorsque je me rendais chez elle pour étudier la Loi à l’époque, c’était très difficile car c’était comme si je lui apportais des difficultés et lui demandais quelque chose d’elle. Bien sûr j’avais ce sentiment parce que j’avais encore des notions humaines. Lorsque j’ai réalisé que j’avais ces pensées humaines, je m’en suis débarrassé. Plus tard son fils a arrêté de participer à l’étude de la Loi parce qu’il était occupé avec ses devoirs. Puis elle a arrêté notre étude la Loi avec l’excuse de craindre que ses voisins disent ceci ou cela sur elle de part ma présence. J’essaie maintenant de trouver une autre pratiquante qui vit dans le voisinage pour aller chez elle et étudier la Loi avec elle. Toutes les deux semaines je la contacte et lui demande où elle en est dans son étude de la Loi et si elle a besoin d’aide quelque part.


Il y a un autre incident qui m’a profondément touché. Un compagnon de pratique était un chef à son travail. Il avait été très occupé par son emploi et quittait souvent tard le lieu de son travail. Il n’avait pas de temps libre pour envoyer la pensée droite ou clarifier la vérité. J’étais très anxieux pour lui. Je l’ai appelé pour organiser un rendez-vous et étudier la Loi ensemble. Je me suis aussi rendu à son domicile pour l’encourager à étudier la Loi avec sa famille (plusieurs membres de sa famille étaient des pratiquants). Au début il refusait poliment « Je suis avec mon chef ! », « Je suis avec ma famille », « Je suis pris. » De nombreuses fois mes notions humaines me disaient que je ne devrais plus jamais le contacter. Mon cœur se plaignait : qu’avait-il de plus important à faire que prendre rendez-vous pour étudier la Loi ?

Plus tard, j’ai réalisé que c’était une pensée humaine que je devrais éliminer. Je me suis dit : je vais m’améliorer constamment et aussi l’encourager à bien faire les trois choses. Lorsque je ressentais que tout se compliquait je demandais à un pratiquant à qui je faisais confiance d’aller chez lui. De plus je partageais mon inquiétude avec d’autres pratiquants qu’il connaissait bien. Tous ensembles, nous étions d’accord que nous devrions continuer à l’aider et à le contacter souvent.

Grâce à nos efforts communs, il s’est clairement amélioré dans sa cultivation. Il a commencé à accueillir chaleureusement les pratiquants chez lui pour échanger les expériences. Un jour nous sommes tombés d’accord de nous rencontrer chez lui le soir pour étudier la loi. Toutefois dans l’après-midi, j’ai vomis deux fois et je me sentais très mal. Je voulais vraiment faire aller dormir et penser au chose à faire plus tard. Mais lorsque je me suis souvenu que je devais aider un compagnon de pratique dans l’étude de la Loi, je savais que peu importe à quel point je me sentais mal je devais y aller. Je ne pouvais pas manquer ce rendez-vous. J’ai envoyé des pensées droites et rassemblé mon énergie. Lorsque je me suis rendu chez lui pour étudier la Loi et envoyer des pensées droites je me suis comme d’habitude tenu le dos droit et les jambes en position de lotus. Après un certains temps les symptômes de la maladie ont disparu. J’ai senti l’énergie circuler rapidement dans mon corps. C’était une impression magnifique.

Tout à coup j’ai réalisé quelque chose. Maître a dit :

« Pour ces choses on doit avoir le comportement tolérant, bienveillant, serein d'un disciple de Dafa, ses affaires sont vos affaires, vos affaires sont ses affaires.» (Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington DC ; Li Hongzhi, le 22 juillet 2002)

J’ai acquis une nouvelle compréhension de ces paroles. Je me suis rendu là-bas pour aider les compagnons mais finalement je suis celui qui en a bénéficié en premier lieu. Les familles des compagnons de pratique vont certainement aussi en retirer des points positifs. Une fois, j’ai arrangé pour d’autres pratiquants de se rendre à son domicile pour étudier la Loi et partager les expériences. Lorsque j’ai récité les articles de la Loi, il est devenu très excité et a appelé le reste de sa famille pour écouter la Loi et apprendre d’elle. Après cet incident il m’a dit que lorsqu’il avait récité la Loi son œil céleste avait vu un grand nombre de Buddhas, Daos et Dieu qui s’étaient rendu ici pour écouter la Loi. Ils étaient dans chaque dimension, couche après couche. Les pratiquants ont tous compris que Maître lui avait permis de voir ces scènes pour nous encourager tous à avancer diligemment.

J’ai parfois rencontré différents pratiquants le matin, à midi ou le soir. Nous avons échangé des informations et partagé des expériences. Peu importe le nombre de personnes qui étaient présentent nous avons toujours récité, lu et étudié les conférences et les articles de Maître. J’ai mis l’étude de la Loi en première priorité. Nous devons étudier la Loi en tant que groupe et envoyer les pensées droites ensemble. La moitié du temps était utilisé pour cela et l’autre moitié pour partager nos expériences. Nous avons tous ressenti que le résultat était très bon.

Fournir à temps des informations précises et détaillées sur des expériences au site Minghui/Clartés et Sagesse

J’ai souvent écrit des informations sur nos efforts de clarification de la vérité dans notre région rapidement. J’ai envoyé des rapports au site Minghui/Clartés et Sagesse de telle sorte que nous puissions nous améliorer en tant qu’un seul groupe. En octobre 2000, après avoir surmonté des couches d’obstacles, nous avons arrangé pour plus de 30 pratiquants de nous rendre sur la place de Tiananmen. Nous y avons ouvert nos banderoles pour valider Dafa. Après avoir été arrêté, la moitié d’entre nous ont été capables de quitter le centre de détention en moins de deux semaines. Le jour même ou je suis rentré j’ai immédiatement écrit deux rapports détaillés pour les sites Minghui/Clartés et Sagesse. Après que Minghui ait posté l’article, la station de radio mondiale du Falun Dafa l’a aussi publié. Un grand nombre de pratiquants ont entendu la nouvelle et se sont rendus sur la Place Tiananmen.

Durant ma cultivation, j’ai une fois trébuché et j’ai chuté en validant la Loi. J’ai écrit la leçon pour l’offrir en tant que référence pour les autres pratiquants afin qu’ils puissent faire mieux et n’aient pas à prendre des chemins tortueux. Chaque fois que je réalisais quelque chose, je l’ai écrite. Certains de mes articles n’ont pas été publiés, mais cela ne m’a pas découragé. Je pensais que ces articles étaient des conclusions de mon expérience en validant la Loi. Le processus d’écrire un article était aussi un moment ou je pouvais regarder en moi et me mesurer face à Dafa. Lorsque j’écrivais je pouvais exposer quelque chose qui avait besoin d’être corrigé dans le contexte de la Loi. Écrire est un processus d’amélioration de ma compréhension dans la Loi.

Lorsqu’un événement survenait soudainement, tel que l’arrestation d’un pratiquant local, j’obtenais rapidement les détails et envoyait l’information au site Minghui. Je considérais cela comme une responsabilité importante. Si je ne pouvais pas obtenir les détails immédiatement, c’était ok (toutefois l’information devait être juste. S’il y avait une partie qui n’était pas sûr je ne l’incluais pas. Je vérifiais plutôt l’information avant de l’utiliser). Lorsque les compagnons de pratique voyaient l’article, ils aidaient à envoyer des pensées droites pour secourir et prêter main forte aux pratiquants en détention. Puis je continuais mon enquête. Lorsque de nouvelles informations faisaient surface, j’en prenais note et je les envoyais à Minghui. Suite aux articles que j’ai écrits au moins quatre compagnons de pratique qui avaient été illégalement arrêtés ont été relâchés en une dizaine de jours environ. Cela a renforcé ma détermination pour exposer la persécution perverse. Parfois j’encourageais d’autres pratiquants à écrire des rapports informatifs ou d’écrire des articles de partage d’expérience. J’ai aussi promptement rapporté des nouvelles sur moi-même ou d’autres pratiquants qui avions enduré la torture. Tout cela a exposé la perversité avec succès.

Éliminer la séparation et former une cohésion

Lorsque la perversité manipule les personnes mauvaises et qu’elles persécutent agressivement le Dafa, elles appliquaient toute sorte de méthodes dégradantes. La perversité adopte souvent la méthode de « cloisonner » dans le but de séparer les pratiquants les uns des autres et de détruire leur cohésion. Parfois une personne vicieuse ordonne à un espion de devenir proche d’un pratiquant. Il y a une fois où je suis presque tombé dans le piège. Un pratiquant que je connaissais a été trompé, ce qui a provoqué son arrestation. A cause de l’existence de l’espion, un grand nombre de pratiquants n’ont pas osé contacter d’autres pratiquants. Pendant que nous agissions de la sorte pour rester en relative sécurité, ce fut une lacune dont la perversité a pu tirer parti. La perversité a utilisé notre attachement à la peur pour provoquer une séparation et un éloignement entre les pratiquants.

En 2004, une mère et une fille ont rencontré la pratiquante A; tous les trois ont été arrêtés. Lorsque les autorités ont relâché la mère et la fille, la pratiquante A a entamé une grève de la faim et s’est libérée grâce à de fortes pensées droites en moins d’une semaine. Toutefois des rumeurs se sont rapidement répandues sur A, des rumeurs dans lesquelles elle était considérée comme une espionne. Cette nouvelle a été publiée sur le site Internet de Minghui. Ainsi, de plus en plus de personnes ont commencé à suspecter la pratiquante A d’être une espionne. Après tout, la pratiquante A avait été arrêtée un grand nombre de fois et était parvenue à sortir un grand nombre de fois en faisant une grève de la faim. Toutefois un grand nombre de pratiquant la connaissait bien et avaient confiance en elle. Les pratiquants se sont eux-mêmes séparés en deux groupes selon qu’ils la considéraient comme une espionne ou non. Même ceux qui essayaient de clarifier la vérité sur la pratiquante A étaient suspectés. J’ai réalisé que la perversité dans d’autres dimensions avait tiré parti de la peur des pratiquants et créait une fausse manifestation. Son but était de diviser les pratiquants locaux, de nous faire perdre notre cohésion et d’empêcher les pratiquants locaux de partager ensemble nos expériences et valider la Loi avec les pratiquants de d’autres régions. J’ai partagé mes pensées avec un grand nombre de pratiquants pour essayer d’éliminer les mécompréhensions. Mais parce que mon xinxing n’avait pas atteint le niveau requis le résultat n’a pas été celui que j’escomptais. Une année a passé et la méfiance existait encore. La rumeur de l’espionne avait même circulée en prison, propagée par les pratiquants qui étaient détenus.

Lorsque j’ai réalisé la gravité de la situation, j’ai une fois de plus contacté les pratiquants qui avaient les plus fortes suspicions. Je leur ai sincèrement fait part des informations que j’avais récoltées, les ai guidé à regarder en eux et à s’examiner en accordance avec la Loi de Maître. Je suis aussi parvenu à trouver un moyen de mettre en contact les deux parties concernées afin qu’elles se connaissent et éliminent leur mécompréhension. De plus en plus de pratiquants ont réalisé la vérité de cette affaire. Cette cloison entre nous était en train de disparaître.

En fait, les pratiquants locaux ont agi en tant qu’un seul corps à de nombreuses reprises. Nos coeurs étaient à la même place et nos énergies étaient concentrées sur le même lieu. La perversité a reçu un grand coup et beaucoup d’entités vivantes ont été sauvées. Lorsque chacun de nous agissait individuellement, cela devenait plus une action de bonne volonté et ce qui nous manquait était la cohésion. Je crois qu’avec Maître qui nous renforce et les efforts des compagnons de pratiques, des pratiquants locaux peuvent à coup sûr former un tout indestructible et harmonieux. Nous pouvons adopter des manières flexibles (quand au fait de nous réunir en tant qu’un tout ou agir séparément en tant qu’individus) pour éliminer les éléments pervers, éveiller et sauver plus d’entités vivantes.

Durant ces longues années de cultivation, la compassion de Maître m’a profondément touchée. Peu importe si je trébuche et tombe ou avance diligemment, Maître m’éveille avec la Loi, me donne des indices, me renforce m’aide à m’améliorer et me pousse en avant. Je crois que tous les pratiquants peuvent à coup sûr s’améliorer et avancer dans la cultivation. Ainsi chaque fois que je me lève après une chute, j’aide d’autres pratiquants qui sont aussi tombés ou qui ont des difficultés à se lever. Lorsque je définis mes buts et que je vais de l’avant, je mets aussi en garde les pratiquant qui hésitent encore, sont perdus ou se sont relâchés. Je sens que c’est ma mission. Ce sont les conseils de Maître qui se reflètent en moi.

Ce sont quelques unes de mes expériences dans la validation de la Loi. S’il y a quoi que ce soit d’inapproprié, veuillez s’il vous plaît me l’indiquer.

Traduit de l’anglais le 19 septembre à Genève