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Deux évènements étonnants survenus à Qinhuangdao, dans la Province de Hebei

8 janvier 2007

(Minghui.org)


Neuf mots qui sauvent les gens

Mme Liu pratiquante du Falun Dafa de Qinhuangdao a une nièce de 39 ans atteinte d’un lupus érythémateux disséminé (LED). Elle était très faible, sans énergie, dans un état tel qu’il lui était impossible d’aller travailler. Tous les mois, elle devait se faire faire une injection coûtant 2 000 yuans. Après un an de traitement et des dizaines de milliers de yuans dépensé, son état ne s’est pas amélioré. Les spécialistes lui ont conseillé d’arrêter le traitement puisqu’il n’était d’aucun bénéfice.

Mme Liu a donc dit à sa nièce de réciter avec sincérité : « Falun Dafa est bon » et « Vérité-Compassion-Tolérance est bon ». Sa nièce a véritablement cru en Falun Dafa et a récité les phrases silencieusement chaque jour. Après plus ou moins 20 jours, son état a connu un changement. Quand elle est retournée à l’hôpital pour une visite de vérification, le docteur responsable d’elle était vraiment surpris et lui a demandé, « Comment avez-vous pu vous rétablir aussi vite ? Moins d’une personne sur dix mille se remettent de votre maladie, maintenant il ne vous est plus nécessaire de prendre des médicaments. » Son mari a dit, « Il y a une femme d’environ 40 ans qui travaille pour les chemins de fer qui a dépensé plus de soixante-dix mille yuans de traitements à Pékin et ne s’en n’est pas remise. Plusieurs personnes atteintes de la même maladie à Qinhuangdao en sont toutes mortes. » Alors que la nièce de Mme Liu est récemment retournée au travail.

En août de cette année, la mère de la belle-fille de Mme Liu a été diagnostiquée atteinte d’un cancer du foie en stade terminal. Sa tumeur était aussi grosse qu’un poing l’empêchant d’avaler quoique ce soit. Sa belle-fille lui a dit toute en sanglotant, « Ma mère est entrain de mourir. Le docteur dit qu’ils ne lui administrent des médicaments que pour la maintenir en vie. Il est trop tard pour une chimiothérapie parce que le cancer s’est trop développé. » Mme Liu est allée à l’hôpital pour dire à sa belle parente de sincèrement réciter tous les jours : «Falun Dafa est Bon. « Authenticité-Compassion-Tolérance est bon ». En l’espace d’une semaine, la mère de sa belle-fille s’est remise de sa maladie et a quitté l’hôpital. Elle a cessé de vomir et en moins d’un mois, elle a pu remarcher. Elle déambulait tout le temps dans la cour en étant de bonne humeur. Quand elle est allée à l’hôpital pour une visite de contrôle, deux mois plus tard, le docteur lui a dit, « Vous vous en êtes bien remise. Les vaisseaux sanguins autour de la zone à problème sont en bon état. Il est extrêmement inhabituel que quelqu’un dans votre situation se rétablisse si vite.

Maintenant, elle est autonome et peut même travailler dans le périmètre de sa maison. Sa fille est très contente et se sent soulagée.

« C’est un miracle”

Un matin au début du mois de novembre 2006, j’ai reçu un appel téléphonique d’une amie qui avait pris sa retraite d’une unité dans laquelle j’avais travaillé auparavant. Elle voulait m’emprunter 1 000 yuans pour l’aider à solutionner un problème. Quand je suis allée chez elle, elle semblait triste et déprimée. Elle éprouvait à nouveau des problèmes cardiaques et avait besoin de cet argent pour payer son traitement. D’un ton faible, elle m’a expliqué qu’elle me rendrait l’argent quand elle recevrait sa pension à la fin du mois. Son problème cardiaque existait depuis une dizaine d’années mais maintenant il empirait. Les docteurs lui avaient auparavant recommandé une opération, mais en ce temps là, elle ne pouvait pas se la permettre. L’âge avançant, elle a manqué l’occasion propice pour se faire opérer. Dans cette situation, elle a dû pendant plus d’un mois être nourrie par intraveineuse et avait des douleurs et une sensation d’étouffement quand elle touchait le côté droit de sa poitrine. De plus quand elle montait les escaliers, elle n’avait plus de souffle.

Mon amie a tenue sa promesse et m’a apporté l’argent chez moi quand elle a reçu sa pension de retraitée. Elle marchait lentement et avait le souffle court. Elle parlait sans trop de force, mais a voulu tout de même me rapporter l’argent et bavarder un peu avec moi. Elle m’a dit, « Je sais que vous tous vous pratiquez le Falun Dafa, bien que le gouvernement vous en interdise sa pratique. Et je sais que vous n’abandonnerez pas la pratique. » Elle m’a raconté que son mariage n’était pas heureux et que son mari souvent l’insultait et ne se souciait pas de son état de santé. De plus, que son fils n’a pas un emploi stable et que leur situation financière n’était pas mirobolante.

Je lui ai dit que les relations maritales sont prédestinées et que son fils n’avait pas d’emploi à cause du Parti communiste chinois (PCC). Je lui ai dit que le PCC avait persécuté à mort plus de 2 000 pratiquants du Falun Gong et que maintenant il volait les organes internes de pratiquants encore vivants pour faire de l’argent. Après avoir entendu ces faits, elle a maudit le PCC et a dit qu’elle voulait le quitter. Ce qu’elle a fait depuis.

Je lui ai raconté qu’”une femme dans mon unité de travail avait l’habitude de prendre des médicaments quand elle tombait malade, mais après avoir pratiqué le Falun Gong, elle allait mieux. » Elle m’a dit, « Je suis au courant. J’ai toujours lu les affiches sur ma porte.» Je lui ai demandé, “Pourquoi ne récites tu pas sincèrement quand tu a le temps ‘Falun Dafa est bon’ et ‘Authenticité-Compassion-Tolérance est bon’. Elle a été d’accord et a commencé à réciter immédiatement les mots. Je lui ai également donné quelques documents concernant Dafa.

Après avoir discuté pendant plus de deux heures, j’ai remarqué qu’elle avait plus d’énergie. Je lui ai demandé, « Comment te sens tu maintenant ? » Elle a touché sa poitrine et a répondu, « Je n’ai plus de douleurs de poitrine, ni la sensation de gonflement. C’est véritablement un miracle. Falun Dafa est vraiment bon. Je réciterai ‘Falun Dafa est bon’ et ‘Authenticité-Compassion-Tolérance est bon’ quand je rentrerai à la maison ». Le lendemain soir, je l’ai appelé et elle m’a dit qu’elle n’avait plus mal à la poitrine. Je lui ai encore et encore répété de ne pas oublier de réciter ces deux phrases. Elle m’a dit, « Je m’en souviendrai. »