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Des pratiquantes endurent une torture mentale et un travail exténuant dans la prison pour femmes de Shijiazhuang, province du Hebei

19 octobre 2007 |   Écrit par un pratiquant en Chine

(Minghui.org)

Présentement, la prison pour femmes de Shijiazhuang détient illégalement 200 pratiquantes qui sont dispersées par petits groupes. Dans la prison les incidents se produisent rapidement et cruellement. La vie tient à un fil; un laisser-aller est suivi de mauvais traitements, et il y a une énorme pression. Les pratiquantes sont également tenues d'accomplir un travail physique exigeant.

Les gardiens poussent les détenues à surveiller toutes les activités journalières des pratiquantes incluant pendant les conversations, les repas, les heures de travail et autres activités. Ainsi elle doivent endurer beaucoup de traitements inhumain. On les oblige à faire de longues heures de travail jusqu'à 23h00 ou minuit avant de pouvoir aller se coucher. Il y a une certaine quantité de travail que chacune d'elles doit remplir; sinon, elles sont punies. La punition suit si le travaille n'est pas de bonne qualité, si elles parlent en travaillant ou si elles se saluent.

La pratiquante, Madame Zhang Lijun, a été condamnée à 12 ans d'emprisonnement parce qu'elle a refusé de coopérer avec les gardiens de la prison. Elle a fait une grève de la faim pendant quelque temps pour résister à la persécution. Les gardiens de la prison ont incité les détenues à la battre et à l'injurier. Elle est très faible physiquement et a des problèmes au coeur et de pression sanguine. Son corps entier est enflé. Elle n'est pas autorisée à voir sa famille ou à écrire une lettre. Elle est actuellement détenue dans la 5e section de la prison.

Traduit de l'anglais au Canada le 16 octobre 2007