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Le directeur ajoint de la CIPFG Asie : Le public doit être mis au courant des atrocités de prélèvements d'organes par le Parti communiste chinois (Photo)

29 octobre 2007

(Minghui.org)

L'Association médicale chinoise a récemment promis qu'elle ne grefferait pas d'organes venant de prisonniers exécutés. En réponse à cette déclaration, Chiu Huangchuan, célèbre avocat des droits de l'homme et directeur adjoint de la Coalition d'Investigation sur la persécution du Falun Gong (CIPFG) chapitre Asie, a indiqué que le crime le plus grave du Parti communiste chinois (PCC) est qu'il prélève des organes sur des gens innocents, en particulier des pratiquants de Falun Gong.

Chiu Huangchuan, célèbre avocat des droits de l'homme et directeur adjoint de la CIPFG, chapitre Asie h

"Cette déclaration indique que le PCC reconnaît à présent le fait qu'il a utilisé les organes de prisonniers exécutés pour la transplantation. Toutefois, la question de droits de l'homme la plus grave est qu'il n'utilise pas seulement les organes de prisonniers exécutés mais aussi d'autres détenus." a dit M. Chiu. "Il y a de nombreux Chinois innocents, en particulier des pratiquants de Falun Gong, qui ont été arbitrairement détenus et assassinés pour leurs organes. Le régime n'a donné aucune réponse aux accusations dans ce domaine, pourtant c'est en fait le crime des droits de l'homme le plus grave."

Depuis la révélation des atrocités de prélèvement d'organes en mars 2006, en dépit des requêtes répétées des groupes des droits de l'homme, le PCC refuse de laisser la CIPFG entrer en Chine pour y mener une enquête approfondie. M. Chiu a commenté : "le PCC ne devrait utiliser les organes d'aucuns détenus. Surtout, il devrait permettre à la CIPFG de mener une enquête sans entraves."

Dr Haiying, porte-parole pour la Coalition globale pour secourir les pratiquants de Falun Gong persécutés, a pressé les membres de l'Association médicale chinoise à avouer ce qu'ils avaient fait dans le passé et à promettre de ne plus utiliser d'organes de pratiquants de Falun Gong pour les greffes dans le futur. Dr He a dit :" Ils peuvent certainement faire cela en tant que professionnels médicaux."

Récemment, Liu Jiangchao, porte-parole pour le Ministère des Affaires étrangères chinois, a révélé qu'une compagnie à Shenyang est suspectée d'être impliquée dans le traffic d'organes. Le site web du Centre de Soutien à la transplantation d'organes internationale chinois a promis de fournir des services de transplantation d'organes pour des Japonais. Le site web contenait quantité d'informations importantes suggérant qu'il existe des banques d'organes vivants en Chine pour le traffic d'organes. De plus, le site web a clairement établi que la compagnie était soutenue par les autorités communistes chinoises.