(Minghui.org)
1) Mme Cong encourageait les gens à quitter le parti communiste chinois (PCC)
et ses organisations affiliées à une fête chez un ami. Un parent lui a montré du
doigt un monsieur d’une soixantaine d’années et dit : "je quitterai
toutes les organisations que vous voulez à condition que vous arriviez à le
persuader de le faire. " Mme Cong a pensé intérieurement : " Je
suis ici pour sauver les gens sans me soucier de qui il s’agit. " Donc
elle a demandé à l'homme de sortir et commencé à parler avec lui des faits à propos
du Falun Gong, tout en demandant l'aide du Maître. Elle était pleine de pensées
droites et sans la moindre trace d'attachement à son intérêt personnel. A
travers sa sincérité, sa patience, et ses explications détaillées, l'homme
a finalement consenti à quitter le PCC.
Par la suite le parent lui a demandé :” Savez-vous qui il est ? " Elle a dit : "Non ". Le parent a dit : "Je ne m’attendais pas à ce que vous puissiez le persuader de démissionner. Il est le commandant de telle et telle zone militaire (qui couvrent habituellement plusieurs provinces). "
2) Un pratiquant dans un village a été arrêté et emmené au commissariat. La police l'a menacé : "vous produisez tout le matériel d’information du Falun Gong dans cette région. Si vous ne coopérez pas avec nous aujourd’hui, nous vous mettrons en prison. " Le pratiquant a refusé de coopérer. Sans aucune peur, il a envoyé de fortes pensées droites pour dissoudre tous les facteurs pervers manipulant la police.
Une heure plus tard, la férocité de l’officier de police était sensiblement réduite, sa véhémence dissipée et curieusement il a dit : "les conséquences seront mauvaises si quelqu’un s’oppose au Falun Gong. Pourquoi ne rentrez-vous pas chez vous maintenant ? "
Ainsi le pratiquant est sorti du commissariat et rentré chez lui.
3) Le chef d’un certain commissariat est allé avec quelques policiers à la maison d’un pratiquant pour le harceler. Ils ont commencé à fouiller l’endroit après être rentré dans la maison. Le chef voulait voir ce qu’il y avait dans le secrétaire. Juste au moment où il allait l’ouvrir, le pratiquant a mis sa main sur la porte du secrétaire et a dit fermement : "C’est ma maison. Qui vous a donné le droit d’ouvrir mon secrétaire ? " Le chef était abasourdi sachant qu’il n’avait pas le droit de faire cela, il est parti avec les autres policiers. Les pensées droites du pratiquant ont désintégré la perversité derrière le chef du commissariat de police.
4) Une pratiquante est allée à la coopérative du village pour acheter quelques kakis. La police et le secrétaire du parti du village y sont allés aussi. La police voulait prendre ses empreintes digitales mais elle a refusé, puis elle a parlé avec eux des faits concernant le Falun Gong et leur a signifié que ce qu’ils essayaient de faire était mal. Craignant qu'elle ne soit arrêtée, des membres de sa famille ont essayé de lui faire donner ses empreintes digitales, mais elle les a traités de lâches. Quand la police a essayé de la traîner dans la voiture de police, les voisins ont fait venir sa vieille grand-mère. La police a été forcée de s’arrêter et est partie.
Le lendemain après-midi, la police est revenue de nouveau chez elle et a bloqué la sortie. Ils voulaient obtenir ses empreintes digitales, mais elle a refusé de nouveau. La police l'a traînée dans leur voiture et emmenée au commissariat. Ils l'ont menacée de l'envoyer au département de police si elle ne se soumettait pas. Et ils l’ont fait. Elle continuait à clarifier les faits aux gens partout où on l’emmenait. Un capitaine du département de police a tenté de la persuader de laisser prendre ses empreintes digitales. Elle lui a dit qu’elle l’aurait déjà fait chez elle si elle avait voulu le faire. N’obtenant rien, il a demandé à une femme policier de lui parler. La pratiquante a clarifié la vérité à la policière. La femme était touchée : "Ce n’est pas facile de travailler à la ferme et de s’occuper de trois personnes âgées à la maison en même temps." Le capitaine est revenu pour voir si elle avait coopéré et l' a menacée de l’envoyer en prison. La pratiquante ayant foi en Dafa et en Maître a catégoriquement refusé de se soumettre. Elle a dit fermement : "Ce que vous dites ne compte pas, vous me ramènerez chez moi de la même manière que vous m’avez emmenée ici. " Le capitaine a répondu :" Si ce que je dis ne compte pas, qu’est-ce qui compte ?" Elle a dit fermement " Ce que dit mon Maître" et elle a commencé à envoyer des pensées droites. Peu de temps après, le policier qui l’avait amenée là l'a ramenée chez elle.
5) Au printemps 2003, la police du commissariat d’un village est allée à la maison d’une pratiquante pour la harceler. Ils ont frappé à la porte, mais la pratiquante a refusé d’ouvrir et leur a dit : " Vous agents de l'application des lois enfreignez la loi en essayant d'entrer par effraction dans les maisons de citoyens innocents. Si vous entrez par effraction, vous aurez à en supporter les conséquences." Ils n’ont pas osé entrer et sont partis l’air abattu et ne sont jamais revenus l’ennuyer. C’est la puissance des pensées droites.
Traduit de l’anglais le 24 octobre 2007