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Une pratiquante de Falun Gong dans la province du Yunnan : merci Maître de nous avoir sauvés, ma famille et moi

Jeudi 13 décembre 2007 |   Écrit par Gui Lian, une pratiquante de Falun Gong dans la province du Yunnan, Chine

(Minghui.org)

[Note de l’éditeur : Ces deux articles ont été compilés par une pratiquante qui les a écrits à l’occasion de l’anniversaire du Maître en 2007, mais ce n’est qu’en août qu’ils nous ont été envoyés.]

En tant que pratiquante de Falun Gong, je ne pourrai jamais rembourser le Maître de sa grâce, mais j’aimerais partager avec les compagnons de cultivation la grâce infinie du Maître que j’ai obtenue au cours de ma cultivation-pratique. 

J’ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1999 avant le début de la persécution. À l’époque, on avait un bon environnement de cultivation. Nous avions le droit d’étudier la Loi et de pratiquer les exercices du Falun Gong en groupe, mais j’ai perdu cette opportunité si précieuse. Je ne pratiquais que les exercices du Falun Gong sans étudier la Loi. Je pensais que ma santé se rétablirait tant que je pratiquais chaque jour les exercices du Falun Gong. Je ne m’étais pas rendue compte que l’étude de la Loi et la cultivation du cœur étaient primordiales dans la pratique du Falun Gong.

Étant donné que je n’avais pas étudié la Loi, j’ai renoncé à la pratique du Falun Gong quand la persécution perverse a débuté le 20 juillet 1999 et que l’entreprise où travaillait mon mari a menacé d’arrêter de le rémunérer si je continuais à pratiquer le Falun Gong. Dès que j’ai cessé de pratiquer le Falun Gong, j’ai été de nouveau tourmentée par mes nombreuses maladies. J’avais une maladie cardiaque et je souffrais fréquemment d’atroces maux de tête. Après chacun de ces maux de tête, je m’évanouissais soudainement. Je suis allée à l’hôpital pour un examen médical, mais le médecin n'a pas pu trouver la cause de mes symptômes. De plus, mon corps était enflé sans aucune raison, et je souffrais de torticolis et de douleurs dans la partie inférieure de mon dos. Je devais aller voir un chiropracteur une fois par mois. J’étais irritable et je déchargeais ma colère sur mon mari et mes enfants. J'ai ansi souffert le martyre pendant très longtemps.

J’ai recommencé à vivre le 7 avril 2003, car c’est ce jour-là que j’ai recommencé à pratiquer le Falun Gong et à revenir sous la tutelle du Maître. Je ne ressens qu’une immense gratitude envers notre Maître bienveillant et grandiose qui refuse de m’abandonner.

Je fais de mon mieux les trois choses requises par le Maître. Je dis aux gens que le Falun Gong est une méthode de cultivation-pratique basée sur la droiture et que nous, les pratiquants de Falun Gong, devons suivre les principes de Vérité, Compassion et Tolérance. Une personne peut endurer une perte d’argent ou d'objets de valeur, mais elle ne doit pas renoncer à la fondation même de sa vie. Mes amis et proches ont été réceptifs aux faits que je leur ai énoncés.

Dans le village, ce n’était un secret pour personne que ma mère était malade tout le long de l’année. Après avoir attrapé une grave maladie à 32 ans, elle ne pouvait plus se permettre de travailler dans les rizières. En 2003, elle a commencé elle aussi à pratiquer le Falun Gong et elle n’est jamais retombée malade à ce jour. Étant une vieille dame dans la soixantaine, ma mère a commencé à travailler dans les rizières en 2006, ce qui prouve sa bonne santé et le pouvoir miraculeux du Falun Gong. On ne parlait que de cela dans tout le village.

En octobre 2006, ma mère a eu subitement une forte fièvre qui a duré 21 jours et elle a perdu connaissance quelques fois. Pendant une semaine, elle n’a pu ni manger ni boire et dégageait une mauvaise odeur corporelle. Mais elle nous a assurés qu’elle n’avait pas peur. Donc, ma mère a finalement vaincu cette fièvre en raison de sa foi inébranlable envers le Maître et la Loi. Elle  disait à ceux qui lui rendaient visite : « Le Maître m’a permis de retrouver un second souffle dans la vie. Vous devez vous rappeler que le Falun Gong est bon et qu’il est important de devenir une meilleure personne en suivant les principes de Falun Gong, Vérité, Compassion et Tolérance. Le Parti communiste chinois pervers sera puni par le Ciel en fin de compte parce qu’il persécute les bonnes personnes qui pratiquent le Falun Gong. Si vous êtes membre du PCC, de sa Ligue des Jeunes ou de sa Ligue des Jeunes pionniers, vous devez faire une annonce [sur le site web de La Grande Époque] que vous démissionnez de ces organisations afin que vous puissiez avoir une bonne santé et une vie harmonieuse comme moi. » 

Le Falun Gong a créé plus de miracles au sein de ma famille que je ne peux en décrire. Mais j’aimerais partager deux anecdotes au sujet de deux membres de ma famille non pratiquants qui ont retrouvé un second souffle en raison de la protection du Maître.

La première concerne mon fils qui ne pratique pas le Falun Gong. Il était fragile et avait tendance à attraper des maladies depuis qu’il était petit. En juillet 2004, il a eu soudain une fièvre. Quand la température a monté jusqu’à 40°C, il est tombé sans connaissance dans la salle de bain. Il a été emmené à l’hôpital et a eu des piqûres pendant sept jours consécutifs, mais la fièvre ne s’est pas dissipée. Je lui ai dit : « Et si on te faisait des piqûres pendant trois autres jours? » Mais il m’a demandé : « Mais pourquoi tu n’as pas besoin de piqûres? » Je lui ai répondu qu’étant sous la protection du Maître, je n’en avais pas besoin. Il a répliqué : « Le Maître me protège également. Je suis en train de payer ma dette karmique. Je ne suis pas malade. Les injections empirent mon état de santé. Je ne prendrai plus de piqûres. » Sa maladie a disparu le lendemain.

Un jour, il a saigné du nez, mais je savais que le Maître était en train d’ajuster sa santé. Depuis ce jour, la sinusite nasale qui l’a embêté pendant des années a disparu. Mon fils ne pratique pas le Falun Gong, mais il croit au Maître et à la Loi. Quand il se trouve devant une tribulation, il dira : « Je n’ai pas peur d’elle. Je vais bien parce que le Maître me protège! »

La deuxième anecdote concerne mon neveu de 4 ans, qui a appris à chanter « Falun Dafa est bon ». Même s’il n'a appris que cette ligne de la chanson, cet enfant innocent chante cette chanson maintes fois partout où il va. Quand les gens lui demandent ce qu’il chante, il épèle les mots « Falun Dafa est bon ». Les mots de cet enfant ont aidé de nombreuses personnes à savoir que le Falun Gong est bon.

Un jour en juin 2004, mon neveu jouait à l’extérieur d’une porcherie dans la cour arrière du domicile de son oncle quand tout à coup une grande quantité de briques empilées, chacune pesant environ 15 kg, se sont effondrées et ont brisé la porte de la porcherie. La porte et les briques sont tombées sur l’enfant. Son oncle a crié à l’aide en voyant le garçon enfoui sous la pile de briques. Sa grand-mère est sortie en entendant l’appel, mais frappée de terreur par la vue de cet accident elle a perdu connaissance. Elle a cru que c’en était fait de l’enfant. Après que les adultes de la famille se soient dépêchées de retirer l’enfant sous les briques, ils ont été stupéfaits de le voir vivant et sain et sauf. Il avait une bosse à l’arrière de la tête et une petite écorchure au nez. À part cela, il n’avait aucune blessure. Toute la famille a eu de la reconnaissance envers le Maître qui a sauvé la vie de cet enfant. Le Falun Gong a créé beaucoup de miracles dans ma famille et pour ceux qui ont accepté la vérité sur le Falun Gong. Étant donné le peu d’éducation que j’ai reçu, je ne peux que partager ces deux anecdotes.

Au nom des 17 membres de ma famille, je salue avec mes deux mains jointes devant ma poitrine le Maître pour lui exprimer mon profond respect et ma reconnaissance !


Traduit de l'anglais au Canada le 9 décembre 2007