(Minghui.org)

Dans mon travail, je présente et démontre des produits au personnel médical dans les hôpitaux. Je sens que quelle que soit la personne avec qui j’entre en contact, elle a une affinité prédestinée avec moi, mais je ne clarifie pas la vérité à la plupart d’entre eux. C’est avec les spécialistes, qui sont les chefs dans leurs domaines et qui ont un statut social élevé que c’est le plus évident. Chaque fois que je les vois, je ne peux m’empêcher d’être nerveux. Même avant d’ouvrir la bouche, toutes sortes de choses font irruption dans ma tête : « Que va-t-il penser de moi ? Que se passera-t-il s’il arrête d’utiliser nos produits ? » Parfois je peux voir clairement qu’ils attendaient que je dise quelque chose, mais parce que j’hésitais, j’ai raté l’opportunité et l’ai regretté plus tard. Pourquoi je ne parlais à nouveau plus ?! Cela s’est passé pendant plusieurs mois. J’ai compris qu’il y avait quelque chose qui m’empêchait d’être diligent et que je devais le traverser.

Après le congé du 1er octobre, des compagnons de pratique m’ont apporté le DVD du Maître «  Enseignement de la Loi aux pratiquants d’Australie ». Le Maître dit dans la conférence que la tâche la plus importante pour les pratiquants de Dafa est de sauver les gens. Mais qu’est-ce que j’étais en train de faire ? J’ai vu immédiatement que j’étais bloqué à cause de la paresse et l’attachement au confort, à ma propre protection, à la peur de perdre ses propres intérêts, à être autosuffisant sur la plus petite réalisation au travail, à me délecter quand les autres avaient une haute opinion de moi-même. Mais en fait, est-ce que mes mérites ne sont-ils pas dus au fait que je suis un pratiquant et à la sagesse octroyée par le Maître ? En même temps, je me suis éveillé au fait que les personnes avec qui j’entre en contact dans ce monde humain, peu importe la hauteur de leur statut social, sont en premier des êtres qui ont besoin que je les sauve.

À ce moment, mon entreprise m’a demandé de ré établir le contact avec une directrice avec qui j’avais perdu contact et qui avait commencé à utiliser une autre marque de produits. Je me suis rendu à son bureau pour la voir, en envoyant les pensées droites sur le chemin. Elle était très occupée, mais j’ai pensé : « Je ne partirai pas avant de lui avoir clarifié la vérité sur le Falun Gong. » Quand elle s’est arrêtée pour un moment, je lui ai immédiatement parlé de mon expérience de cultivation et de la vérité sur le Falun Gong, et un petit peu du travail. Nous avons finalement parlé pendant plus d’une heure.

En rentrant chez moi, j’étais très heureux. J’étais enjoué pour un autre être qui avait été sauvé. J’avais fait une percée dans mes attachements fondamentaux. Que je puisse lui vendre ou non nos produits m’importait peu. Le lendemain, elle a appelé et m’a demandé de préparer un paquet d’échantillons et de l’envoyer à certains départements dans l’hôpital, ce qui voulait dire qu’elle était d’accord pour utiliser à nouveau nos produits. Mes larmes sont sorties, mais ce n’était pas parce que j’avais conclu une affaire, mais parce que chaque être a un côté qui sait et qu’elle était en train de me rembourser à travers ce geste. Merci, Maître!

À une autre occasion, une personne chargée d’un autre hôpital m’a appelé. J’ai compris que l’opportunité de le sauver se présentait à nouveau, et j’ai réalisé qu’il ne fallait pas rater l’opportunité. Après avoir conclu notre affaire et avant qu’il sorte par la porte, je lui ai tendu un DVD des « Neuf commentaires sur le parti communiste chinois » et lui ai dit, « Je souhaite vous donner quelque chose à regarder, qui est interdit et très difficile à obtenir, mais je suis sûr que cela va vous être utile. » Quelques jours plus tard, je suis allé le voir. En me voyant, il m’a souri comme s’il avait vu un vieil ami et m’a dit, « J’ai lu le livre des « Neuf commentaires », et le DVD que vous m’avez donné et que je n’avais jamais vu auparavant. » Il m’a ensuite dit qu’il ne s’était jamais joint à une organisation du PCC. Alors que j’étais sur le point de partir, il a dit : « Veuillez m’apporter plus de vos produits. » Je lui ai demandé : « N’avez-vous pas conclu une commande dans une autre entreprise ? » Il a souri. « Je veux vous soutenir et vous aider à augmenter vos ventes. »

Plus tard, j’ai pensé : À la surface, j’ai demandé aux gens de soutenir mon travail. En fait, tout cela est arrivé parce que le Maître a arrangé pour les gens qui ont une relation prédestinée de m’attendre pour que je leur clarifie la vérité. C’était un pratiquant sauvant les êtres. Après qu’ils comprennent la vérité, ils montrent leur soutien. Bien sûr, ce n’est pas parce que nous voulons leur soutien que nous sommes venus les sauver. Nous sommes des disciples de la rectification par la Loi, et assister le Maître à rectifier par la Loi et sauver les êtres est notre devoir.

Au cours du processus de clarifier la vérité,  chaque fois que mon côté fanatique a refait surface, je l’ai éliminé juste après. Mon égoïsme est également souvent ressorti, mais j’étais capable de le saisir et de l’éliminer.

En regardant en arrière mon chemin de cultivation, j’ai vu l’aide du Maître et l’encouragement des pratiquants. Chaque jour, je suis immergé dans la grâce de Bouddha emplie de salut, en suivant l’avancée de la rectification par la Loi. Je suis l’être le plus chanceux de l’univers.


Traduit de l’anglais en Suisse le 16 décembre 2007