(Minghui.org)


Récemment, deux ou trois pratiquants ont été emmenés au camp de travaux forcés de l'agglomération de Shijiazhuang chaque jour. Il y a de nombreux rapports de gardes tourmentant brutalement les détenus.

Habituellement, les visiteurs n'ont besoin d'apporter que les documents fournis par leurs gouvernements locaux pour vérifier leurs identités, mais les gardes du camp ont placé de grosses piles d'imprimés diffamant le fondateur du Falun Gong près de l'entrée. Quiconque vient visiter des pratiquants de Falun Gong est forcé à les lire à haute voix. S'ils ne lisent pas suffisamment fort, ils doivent répéter plusieurs fois jusqu'à ce que les gardes soient satisfaits. Après avoir lu, ils doivent signer leurs noms avant d'être autorisés à entrer.

Ces dernières années, le Parti communiste chinois (PCC) a essayé de vanter ses progrès dans le bilan de droits de l'homme et le système légal, spécialement en anticipation des Jeux Olympiques. Cependant, le comportement des autorités du PCC au camp de travaux forcés de Shijiazhuang s'oppose à la fois aux droits de l'homme et à l'état de droit.

Le système de camp de travail du PCC bafoue les droits de l'homme, viole publiquement la Constitution chinoise et n'a aucune méthode indépendante de contrôle, c'est un outil violent servant à réprimer les bonnes personnes.


Traduit de l’anglais le 14 décembre 2007