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Du désespoir à l’espoir

Dimanche 9 décembre 2007 |   Écrit par Wanqing, un nouveau pratiquant de la province de Henan en Chine

(Minghui.org)

Voici peu, le site web Clearwisdom.net a publié un article intitulé " Mon oncle a obtenu Falun Dafa " Je suis cet « oncle », un ouvrier horticole en retraite. Pendant plusieurs années, bien que je n’ai pas cessé d’aller à l’hôpital pour faire traiter mes maladies, ma santé ne faisait qu'empirer. Quand je me suis dit que c’était sans issue, j’ai eu la chance de rencontrer Dafa.

En septembre 2004, on m'a diagnostiqué une infection urinaire et une inflammation de la prostate. Je suis allé me faire soigner à l’Hôpital Central de la ville. Le médecin a dit : « Il n’y a qu’une opération qui puisse vous guérir. » J’ai donc été hospitalisé. Le jour suivant, lors des examens médicaux, le médecin m’a demandé : « Comment çà s'est passé quand vous avez uriné récemment ? » J’ai répondu : « Normal ». Le quatrième jour, la chirurgie a commencé. Comme c’était une électro-résection, le tube de l’instrument devait être inséré dans mon appareil urinaire. Mais mon urètre n’était pas adapté pour ce genre d’opération ; résultat, l’insertion a endommagé de multiples zones de mon système urinaire. L’opération a échoué.

Le médecin a dit alors : « On n’a pas d’autre choix que de faire une opération de réparation ». J’ai refusé. Le médecin m’a alors installé un tube urinaire et m’a renvoyé dans la chambre d’hôpital. Je me suis allongé sur le lit et je ne pouvais plus bouger. A l’hôpital, je prenais des pilules et des injections chaque jour. Du liquide sortait continuellement par le tube inséré, ce qui sortait c’était du sang et du pus. Vingt deux jours plus tard, les médecins ont enlevé le tube et m’ont permis de quitter l’hôpital. Après cela, mon urètre s’est rétréci. Plusieurs jours plus tard, je pouvais à peine uriner.

Après cela, j’ai été hospitalisé pendant presque cinquante jours, j’ai dépensé tout l’argent que j’avais amené avec moi pour payer mes dépenses médicales et pour acheter des cadeaux [dans la chine actuelle, un patient offre souvent des cadeaux aux docteurs et infirmières pour avoir un meilleur traitement]. Y avait-il une issue pour moi ? J’étais extrêmement déprimé. Quand j’ai appelé ma famille, j’étais si triste que j’ai à peine pu ouvrir la bouche pour parler.

Le lendemain, j’ai supporté la douleur et suis finalement renter chez moi. Je suis resté alité. Sous le lit, il y avait un urinoir. Je pouvais entendre le bruit du goutte à goutte de l’urine qui coulait. C’était un état très dangereux. Après en avoir discuté avec les membres de ma famille, je suis retourné à l’Hôpital du Peuple de la ville de Zhengzhou dans la Province de Henan, le seizième jour du douzième mois du calendrier lunaire. Après que le directeur du département d’urologie m’ait placé un tube de drainage, j’ai pris des médicaments coûteux et suis rentré chez moi pour le Nouvel An Chinois.

Après le Nouvel An Chinois, d’autres complications sont apparues : ptôsis de l’estomac et du gros intestin et une hernie due à la colique. L’état de mon appareil urinaire avait empiré et du liquide n’arrêtait pas de sortir. Ma vessie s’est atrophiée et j’ai eu une maladie cardiaque etc. Ma femme m’accompagnait souvent dans les hôpitaux petits ou grands de la ville. J’ai dépensé plus de 10 000 yuans. En raison de la longue durée des injections intraveineuses pour maîtriser les infections, mon estomac et mes intestins ne fonctionnaient plus bien aussi à chaque repas mon épouse et moi-même nous étions inquiets.

Durant les quelques années qui ont suivies, je suis retourné régulièrement à l’hôpital pour prendre des médicaments ou pour faire remplacer le tube à urine. Quand j’y allais pour y prendre des médicaments, les docteurs paraissaient heureux, puisqu’à chaque fois je devais débourser plusieurs centaines de yuans ; cependant, ce n’était pas le cas quand il s’agissait de remplacer le tube à urine car cela ne coûtait que quelques dizaines de yuans. Pour faire plaisir aux docteurs, les membres de ma famille, n’avaient d’autre choix que de leur acheter des cadeaux. Après leur avoir offert les cadeaux, le comportement des docteurs s’améliorait beaucoup lors des deux premières visites, mais ce n’était plus le cas à la troisième. Le docteur, intentionnellement tentait d’insérer plus profondément le tube, pour que je souffre de douleurs intenses et ne souhaite plus revenir.

Aujourd’hui, je me remémore les trois années que j’ai passées à chercher un traitement médical. Bien que je suis allé dans tous les hôpitaux, dépensé beaucoup d’argent et souffert énormément, ma maladie empirait de jour en jour. J’ai fini par devenir une personne inutile et je devais rester alité toute l’année. Moi qui avais l’habitude d’être optimiste, je suis devenu pessimiste et désespéré.

Pendant le Nouvel An chinois de 2007, mon neveu et sa femme sont venus chez moi. Ils ont essayé continuellement de me persuader de pratiquer le Falun Gong. Deux jours plus tard, deux autres pratiquants de Dafa (un couple) sont venus chez moi pour me persuader de cultiver en Falun Dafa. Ils m’ont aussi amené des livres de Dafa et d’autres documents. Ils m’ont suggéré de venir chez eux pour apprendre le Falun Gong en disant qu’il serait plus efficace de pratiquer les exercices ensemble. J’ai dit : « J’ai trop d’empêchements, ça ne marchera pas. » Il a répondu : « Dans ce cas vous pourrez aller chez votre neveu. Ils ont déjà tout préparé pour vous. Ils vous l’ont demandé plus de dix fois. Alors n’hésitez plus. Allons-y maintenant ! » Puis les deux pratiquants nous ont emmenés mon épouse et moi chez mon neveu.

Mon neveu et son épouse avaient préparé spécialement pour nous un lit et le nécessaire pour notre quotidien. L’épouse de mon neveu a dit : »SVP, considérez que vous êtes ici chez vous. Si vous désirez manger dites le moi et je cuisinerai pour vous. » Ce soir là, plusieurs pratiquants de Dafa sont venus étudier la Loi avec nous. Ils m’ont convaincu et encouragé.

Le jour suivant trois pratiquants âgés sont venus de la ville. Ils étaient gentils et avaient un teint rosé. Ils étaient, de toute évidence, différents de ceux qui ne pratiquent pas le Falun Gong. L’un d’eux avait déjà quatre vingt ans, mais il paraissait à peine plus âgé que soixante ans. Son expérience miraculeuse sur la façon dont il a pu venir à bout de ses tribulations physiques a été très inspirante pour moi. Il y a deux ans, il ne pouvait pas uriner ni aller à la selle pendant quatorze jours d’affilée. Ses enfants l’ont forcé à aller voir un médecin et à prendre des médicaments. Ils le surveillaient à tour de rôle pour être sûr qu’il prenait ses médicaments. Ils l’ont surveillé ainsi pendant plus de dix jours. Le pratiquant a fini par guérir. Ses enfant ont alors dit avec le sourire : « En fin de compte çà a été plus efficace de prendre des médicaments. » Le pratiquant a dit à ses enfants avec un sourire : « Tous les médicaments sont dans ma poche. » Il a alors sorti toutes les pilules qu’il était supposé avoir pris pendant quatorze jours et les a montrées à ses enfants. Tous ses enfants ont fini par être convaincus des merveilles du Falun Gong. Ils ont dit : « Le Falun Gong est vraiment miraculeux ! Père, tu peux continuer et pratique bien. Si tu réussis ta cultivation nous en bénéficierons aussi. »

Plus tard, d'autres pratiquants sont venus partager leurs expériences avec moi. Leurs histoires m’ont beaucoup ému. Je sentais que « le Falun Gong est vraiment bon ! Les disciples de Dafa sont vraiment bons. » Ma foi en Dafa et dans les exercices se renforçait de plus en plus. Le six de ce même mois, je me suis mis debout miraculeusement, j’ai jeté tous les médicaments que j’avais amené avec moi. Je pouvais également manger plus. Quelques jours plus tard, j’étais capable de marcher quatre ou cinq li (entre 9 et 11 kilomètres). Dans la journée, quand je voyais le lit, je n’avais plus envie de m’y coucher. Je ne me sentais plus l’envie de dormir durant la journée ; dans la soirée, je pouvais dormir toute la nuit sans avoir le sommeil coupé. Depuis lors, toutes mes maladies ont disparu. Je suis arrivé chez mon neveu couché dans un véhicule, et suis rentré chez moi en marchant tout simplement. Tous les membres de ma famille en étaient émus aux larmes ; leur bonheur était au-delà de toute description. Ils ont dit : " C’est Maître Li qui a sauvé notre famille ! "

Le lendemain, je me suis rendu à mon usine. Mes collègues étaient surpris et heureux. Tout le monde, y compris mes amis, sait que j’ai recouvré la santé parce que je pratique le Falun Gong. Ils admirent tous Maître et Dafa. Certaines personnes sont même venues chez moi pour apprendre le Falun Gong. Des gens des villages voisins sont également venus pour me poser des questions au sujet de mon histoire.


Traduit de l’anglais le : 05 décembre 2007