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Le coeur pur d'une pratiquante

Mercredi 21 février 2007

(Minghui.org)


Je connais une pratiquante qui s’appelle Xiaorong. La mémoire lui fait défaut, mais elle est une très bonne personne. Bien qu’elle soit de temps en temps tête en l’air, elle fait diligemment les trois choses que Maître nous demande. Par contre, quand il s’agit de réciter les écrits de Maître, elle a une formidable mémoire. En à peu près un an, elle a presque mémorisé tout Zhuan Falun, et peut écrire les deux recueils de poèmes Hong Yin de mémoire et sans erreurs. Elle fait également de son mieux pour clarifier la vérité et presse les gens à démissionner du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Mais ces choses ne sont pas la principale raison qui me pousse à partager au sujet de Xiaorong.

Xiaorong donne presque tout son argent pour nos sites de production de documents de clarification. Elle ne s’achète que rarement des vêtements neufs. Quelques fois je remarque qu’elle porte des chaussettes trouées. Je lui demande « Pourquoi n’en achètes-tu pas des neuves ? » Elle me réponds que ces chaussettes là étaient encore mettables. Elle dit souvent que l’argent d’un pratiquant devrait être utilisé pour sauver les êtres et que c’est quelque chose qui en vaut la peine. Quand je regarde un VCD du Maître donnant une conférence à l’étranger, elle dit avec des larmes aux yeux que nous sommes chanceux d’être des élèves du Maître. Sa ferme croyance en Maître et en Dafa est comme de l’or. Quand elle a su que le site de production avait besoin de fonds, et qu’elle n’en avait pas de côté, elle a vendu tous ses bijoux et a donné l’argent pour le site.

Au temps des récoltes à l’automne, elle travaille pour gagner un peu d’argent dans un Moulin à maïs. Elle doit enlever à la main les feuilles qui couvrent les épis de maïs. Après un jour de travail, elle ne peut à peine fermer le poing. A l’heure du coucher, ses mains lui font si mal qu’elle ne s’endort que très tard dans la nuit. Le lendemain, elle part quand même travailler. Je lui ai demandé si elle était fatiguée. Avec un sourire elle m’a répondu, “Quelque fois, je suis si fatiguée que je sens que je vais pleurer. » Je peux assurer qu’elle était extrêmement fatiguée et quelque peu émue. Juste comme ça, elle a donné aux pratiquants du site de production de matériel tout cet argent durement gagné. Je lui ai demandé, « Pourquoi n’en gardes-tu pas un peu pour toi ? », elle m’a dit, « je pense que si je faisais ainsi, je ne serai pas digne d’être appelée pratiquant de Dafa de la période de la rectification par la Loi, ni digne d’être un disciple de Maître. »

Si tous les pratiquants de Dafa avait un cœur si pur en remplissant leur mission d’assister Maître durant la période de la rectification par la Loi, tous les facteurs pervers seraient dissout et tous les êtres pourraient être sauvés.