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Les choses miraculeuses que j’ai vues quand j’étais avec le Maître

15 avril 2007

(Minghui.org)

En novembre 1992, le Maître est venu donner des conférences dans le comté Guan. À l’époque, mon mari était très faible. Un jour, j’ai invité le Maître à dîner chez moi. Après le dîner, le Maître s’est assis sur le sofa de la chambre à l’intérieur. Je me suis approchée du Maître et lui ai demandé : « Il reste combien de temps à mon mari à vivre? » Le Maître a répondu : « Je ne peux dire. » Le Maître a chuchoté quelques mots à un disciple qui l’accompagnait à l’époque, et ensuite le disciple a répondu : « Il n’en a pas pour longtemps, et ce sera fini très bientôt. » À ce moment-là, j’ai expliqué toutes mes difficultés et j’ai demandé au Maître de prolonger sa vie. Le Maître a dit : « Je peux le laisser sur terre; cependant, si c’est le moment pour lui de partir et qu’il ne part pas, il commettra une erreur. »

Le 23 novembre, le Maître a quitté Beijing et je l’ai vu partir. Quand nous sommes allé dans le district Liaocheng, nous avons pris des photos à six. À l’époque, le Maître a appelé le nom de mon mari et le disciple m’a dit : « Cette fois ton mari a été sauvé. Le Maître a prolongé sa vie pour deux autres années. »

Mon mari est mort de maladie le 29 décembre 1994. Le Maître a prolongé sa vie pour quasiment deux ans. À 2 h, le 28 décembre, mon mari m’a parlé soudain : « Tout ceci est de ta faute. Pourquoi suis-je ligoté? » Il paraît que dans une dimension quelconque, il était attaché et était puni pour un crime qu’il a commis.

2.         Purifier l’environnement et placer un abri sur ma maison

En 1992, le Maître est venu dans ma résidence. La première chose qu’il a faite était d’encercler le périmètre de ma cour. Ensuite, il a agité sa main et m’a dit : « À partir de maintenant, tu devrais faire les exercices diligemment. Il n’y aura plus d’interférence. J’ai tout purifié dans d’autres dimensions, et il y a un dragon au-dessus et une terre divine au-dessous. J’ai aussi installé un abri sur toute la cour afin de mauvaises choses ne puissent pas entrer.

En 1993, un homme, qui avait pratiqué une autre méthode de qigong, m’a rencontrée et m’a dit : « C’est difficile de franchir ta porte. J’ai essayé trois fois sans succès. Finalement, j’ai eu l’idée de baisser ma tête et de lever mes deux mains, et ensuite j’ai été capable d’entrer. » Ce cas m’a fait comprendre l’énorme pouvoir du Maître et les pouvoirs surnaturels de Falun Gong.

Lorsque le Maître est venu chez moi la deuxième fois, il a purifié ma maison à nouveau. J’ai beaucoup d’appréciation pour le Maître.

3.         Enseignements mémorables

Le 26 avril 1994, le Maître a donné la septième de la série des neuf leçons sur la Loi. Vingt-six personnes du comté Guan y ont assisté. Un pratiquant dans la ville de Jinan nous a aidés à acheter les tickets de train. À l’achat des tickets, il a présenté au guichetier du bureau des ventes un certificat d’études supérieures et a été en mesure d’acheter vingt-six tickets à moitié prix.

Quand nous avons reçu les tickets, nous avons constaté qu’ils avaient été achetés à moitié prix. Avant de prendre le train, je voulais me rendre au guichet pour payer la différence. Certains pratiquants n’étaient pas d’accord avec moi et ont dit : « Lorsqu’ils viendront pour le contrôle, on paiera. » Alors je n’ai pas payé la différence, ce qui était dû à mes notions humaines. Nos tickets ont été vérifiés à la gare de Jinan, et trois d’entre nous avons payé soixante yuan.

Nous étions dans une situation spéciale dans la ville de Tianjin et nous devions faire le transfert à un autre train. Chacun de nous avons payé soixante yuans. Quand je suis sortie du train dans la ville de Changchun, mon ticket a été vérifié encore. Ils m’ont demandé combien de personnes étaient ensemble avec notre groupe. Les pratiquants, qui étaient déjà sortis de la gare, m’ont demandé de ne pas répondre. Dans de telles circonstances, j’étais très impatiente. Nous étions neuf personnes et nous devrions payer 450 yuans. J’ai demandé au personnel de la gare : « Il a coûté seulement 50 yuans de la ville de Jinan à la ville de Changchun, pourquoi devrions-nous payer 50 yuan supplémentaire? » Il a répondu : « C’est ce qui est stipulé, y compris l’amende. »

À notre arrivée à l’auditorium, le Maître avait déjà commencé la conférence. Le Maître a dit : « Est-ce que ce n’est pas un comportement malhonnête d’accepter un traitement spécial quand vous ne devriez pas ? Est-ce que c’est comme cela que je vous ai enseignés de vous comporter? » À ce moment-là, nous avions tous très hontes. Après la conférence, nous sommes retournés à l’hôtel. J’ai dit : « Quiconque a été vérifié dans le train a perdu de l’argent. J’ai été vérifié trois fois et j’ai été réprimandé en plus. » Nous pensions tous que nous étions tous dedans et devrions payer le solde du montant dû. Après avoir calculé le coût, nous étions surpris de voir que les amendes que certains d’entre nous avons payées plus notre premier paiement arrivaient au même total que le prix original qui aurait dû être payé. Cette fois, nous avons compris que le Maître s’occupait de nous en tout temps dans notre chemin de cultivation. Si nous dévions du droit chemin, le Maître nous donnait une leçon au moment approprié.

Au cours de la conférence, j’ai réellement senti que je ne pouvais pas regarder le Maître en face. De plus, j’avais honte après avoir écouté les enseignements du Maître, et ils resteront toujours dans mon cœur.

4.         Le Maître a aidé à secourir le professeur préexistant de ma fille

En novembre 1992, le Maître a terminé ses conférences dans le comté Guan. Le 23 novembre, le Maître s’en allait à Pékin. La soirée du 22 novembre, ma fille et moi sommes allés voir le Maître là où il logeait pour lui dire au revoir. À l’époque, de nombreux pratiquants sont allés. Le Maître a demandé à ma fille de laver les pommes pour tout le monde. Ma fille a obéi au Maître et est restée silencieuse. De retour à la maison, je me suis plainte du fait qu’elle était une ignorante. Ma fille a pleuré et a dit soudain : « Il n’est pas mon professeur. Mon professeur a été poussé au fond d’un iceberg. Il a fait des erreurs au ciel. Il est resté dedans pendant 18 ans, depuis que j’ai 18 ans. » En entendant ses paroles, qui ne semblaient pas avoir du sens, j’ai cru que quelque chose n’allait pas dans sa tête.

Le lendemain quand j’ai accompagné Maître dans le district de Liaocheng, le Maître m’a demandé pourquoi je n’avais pas emmené ma fille. J’ai raconté au Maître ce qui s’est passé la veille. Le Maître a répondu : « Vous n’avez pas parlé de cela auparavant. Si vous m’en aviez fait part, j’aurais résolu le problème plus tôt pour elle. » Lorsque notre voiture est arrivée au pont Pingyin, le traffic nous bloquait. Le Maître est sorti de la voiture et a fait un signe vers l’est, et puis il est retourné et a dit : « Votre fille est un Tao, et son Maître n’est pas sous l’iceberg, mais est tombé dans l’oubli. Je l’ai sauvé. Vous pouvez lui demander à votre retour à la maison, et elle devrait le savoir. » Il était exactement midi.

Quand je suis entrée dans la voiture, j’ai fermé mes yeux et suis entrée dans la méditation. À ce moment-là, j’ai vu une personne avec ses cheveux attachés en haut, vêtu d’un habit taoïste de couleur bronze, et un corps rempli partout de symboles yin et yang en blanc et noir. Il était assis dans la position du lotus et faisait face à l’ouest, et il y avait un fouet fait de queue de cheval sur son bras. Après avoir terminé la méditation, j’ai dit au Maître : « Une personne de haut niveau venant du temple Lingyan vient nous rencontrer. J’ai vu un homme s’asseoir dans sa voiture et elle ressemblait à la personne que j’avais vue dans la méditation. » Le Maître a répondu : « Cette personne ne vient pas du temple Lingyan. C’est le Maître de votre fille. Il était vêtu d’un habit taoïste.

De retour chez moi, j’ai demandé à ma fille : « Qu’as-tu ressenti à midi quand je suis allée dans la ville de Jinan? » Elle a répliqué : « À midi, après avoir fait la cuisine, je suis allée dans la cour et j’ai vu le vêtement que tu as lavé était en train de sécher. J’étais si contente. J’ai une bonne mère et je suis si chanceuse. » Je sais la raison de son bonheur. Elle était si heureuse parce que c’était le Maître avait sauvé son ancien Maître de l’oubli.

Je viens de vous relater mon expérience et ce que j’ai vu en personne. Comme tant de choses miraculeuses ont eu lieu autour de moi, j’ai cru davantage au Maître et au Dafa, et ma volonté de cultiver n’a jamais chancelé. J’ai écrit ces événements en espérant que les pratiquants qui n’ont pas encore rattrapé la rectification par la Loi de se dépêcher et de bien faire les trois choses, afin que nous puissions finalement suivre notre Maître pour retourner à la maison et atteindre la plénitude parfaite.

Traduit de l’anglais au Canada le 12 avril 2007.