(Minghui.org)
Le 29 avril 1994, j’ai eu la chance de pouvoir assister à la septième conférence de Maître sur le Falun Gong à Changchun. J’ai écouté ses leçons et appris les exercices. Les conférences avaient lieu à l’Auditorium de l’Université de Jilin, à Changchun. Au moins trois à quatre mille personnes y assistaient. Parce qu’il y avait tant de monde, il y avait un cours du jour et un cours du soir. Le séminaire a duré dix jours et s’est terminé le 8 mai.
En y repensant, ces dix jours ont été vraiment les jours les plus heureux de ma vie. Le visage de Maître était doux et plein de compassion. Il avait l’air très jeune, comme s’il avait la trentaine. Sa peau était lisse, délicate et rosée et Il avait beaucoup d’énergie. Il portait des vêtements simples : un costume gris, une chemise blanche et une cravate. J’ai vu une lumière violette tout autour de lui. Il avait l’air si droit et transparent. Voici ce que j’ai vu durant les conférences. En partageant avec les autres pratiquants, je souhaite exprimer ma gratitude et chérir le fait que je sois un disciple de Dafa dans la période de la rectification par la Loi.
Le premier jour, Maître a dit : (ce ne sont pas ses mots exacts), « Je donne ici une conférence. Je ne traite pas les maladies. Nous allons rectifier tout votre corps. » Maître a demandé aux personnes de l’assistance de se lever et il a dit : « Pensez à l’une de vos maladies. Détendez-vous. Je compte un, deux et trois, frappez du pied droit par terre. » Maître a fait un geste de la main en disant : « Tapez du pied droit tous ensemble. Boum ! » Certaines personnes étaient trop nerveuses et ont frappé du pied avant que Maître ait fini de compter. Alors on l’a refait. Maître était si patient. A l’époque, j’avais une maladie à l’estomac. J’ai alors pensé à mon estomac et je me suis sentie très à l’aise.
Au début de la conférence de Maître, j’étais somnolente. J’ai pensé : « Je ne dois pas dormir. Comme ce serait embarrassant si Maître me voyait dormir! » Mais je n’ai pas pu m’empêcher. Je me suis réveillée quand Maître avait fini la conférence, mais je n’ai manqué aucune parole et j’ai tout entendu. Alors j’ai entendu Maître dire :
« Parce qu’ils ont une maladie dans la tête et qu’il faut y remédier. Ces personnes ne supporteraient absolument pas une intervention dans la tête, il faut donc les plonger dans un état d’anesthésie sans qu’elles le sachent. Pourtant, certains n’ont pas de problème d’ouïe, ils ont beau dormir profondément, pas un seul mot ne leur échappe, ils ont tout retenu ; à partir de là, ils vont se sentir pleins d’énergie, ils n’auront pas sommeil même après deux jours sans dormir. Ce sont des situations différentes, tout doit être réajusté, votre corps entier doit être complètement purifié. » (Zhuan Falun, « Deuxième Leçon », version de novembre 2006)
Avant d’assister à la conférence, pendant plus de 20 ans, j’ai souffert de migraines, d’artériosclérose, d’une maladie coronaire, d’une maladie gastrique. J’avais aussi d’autres problèmes de santé comme une maladie de la colonne vertébrale, des rhumatismes, de l’entérite, une inflammation pelvienne et mes jambes et mon dos étaient insensibles, etc. Bien que les traitements médicaux soulageaient les symptômes, ils ne guérissaient pas mes maladies. Cependant toutes ces maladies ont été complètement guéries après avoir assisté pendant cinq jours aux conférences de Maître. Quel miracle! Ma propre expérience montre que :
« La « Loi de Bouddha » est ce qu'il y a de plus subtil et de plus profond, elle est la science la plus mystérieuse et la plus extraordinaire de tous les systèmes de connaissance du monde. » (Tiré de « Lun Yu » dans Zhuan Falun)
Après les dix jours de conférences, j’avais complètement changé physiquement et mentalement. Ma peau était devenue lisse et rosée, j’avais l’air beaucoup plus jeune, et c’est resté ainsi depuis. Voilà 12 ans que je ne souffre plus d’aucune maladie.
Maître enseignait pendant une heure et demie chaque matin puis montrait les exercices pendant une demi-heure. Pour que tout le monde puisse le voir, il descendait des escaliers et marchait dans toutes les allées de long en large. Maître faisait signe aux pratiquants en marchant. Partout où il allait, les pratiquants se levaient spontanément et applaudissaient. Tout l’auditorium était éclairé de la lumière de Bouddha. L’atmosphère était gaie. Les mouvements de Maître étaient doux et puissants à la fois ainsi qu’élégants. Maître nous démontrait aussi les moudras qui ne faisaient pas partie des exercices. Quand Il voyait que les mouvements des élèves n’étaient pas corrects, Maître les corrigeait patiemment. Maître était toujours heureux. Il montrait l’exemple dans chaque détail.
Chaque jour Maître arrivait quinze minutes en avance. Il était bien habillé et avait une allure solennelle. Quand il enseignait, il tenait simplement une feuille de papier. Les pratiquants assis devant pouvaient voir qu’il n’y avait d’inscrit que quelques lignes. Bien qu’il ait une bouteille d’eau sur la table, Maître ne buvait jamais pendant la conférence. Sa voix était claire. Avec le langage actuel le plus simple, il enseignait les principes les plus profonds et les pratiquants écoutaient attentivement. Le hall de la conférence était très bien organisé et résonnait de la voix de Maître.
Je me souviens que lorsqu’il répondait aux questions, Maître a lu une question concernant sa vie personnelle et sa famille. Maître a souri en disant : « Je suis venu vous sauver. » La femme qui était à côté de moi était originaire de Yanbian (et avait suivi Maître pendant trois séries de conférences) elle avait environ cinquante ans. Elle m’a dit : « Toutes les femmes coordinatrices qui voyagent avec Maître sont plus âgées que Lui. Maître est très très intègre. » Comme il est décrit dans l’article de Maître « Sage » :
« Quelqu’un s’acquitte des décrets du Ciel dans ce monde et au Ciel, il est d’une grande vertu et a bon cœur, de hautes aspirations occupent son esprit et son cœur mais il s’astreint aussi aux formalités, connaît bien les principes de la Loi et peut dissiper les illusions, en faisant du bien au monde et en sauvant l’homme il enrichit naturellement ses mérites.» (« Le Saint » de Essentiels pour un avancement assidu)
Le troisième jour, nous avons pris des photos avec Maître. Les pratiquants de trois provinces du Nord –est et de la province du Heilongjiang étaient séparés. Dans la photo avec les pratiquants de la Province du Heilongjiang, j’étais juste à côté de Maître. J’ai senti que Maître était très grand comme s’il touchait le ciel. Mes mots ne peuvent décrire ma joie à ce moment là. Après la conférence, et les exercices, avec beaucoup de patience il a posé pour prendre des photos avec tous les groupes. Il était très respectueux. Maître souriait toujours et était toujours de bonne humeur.
Un pratiquant qui avait soixante ans (des cheveux blancs) était assis sur une chaise et a voulu prendre une photo avec Maître. Maître lui a demandé de se lever. Il a répondu : « Je suis malade. Je n’arrive plus à me lever depuis longtemps. » Maître l’a regardé en lui disant : « Tu peux te lever. » Il a alors essayé et s’est vraiment levé ! Après avoir pris des photos, Maître lui a demandé de marcher sans béquilles. Il a vraiment réussi à marcher seul ! Il a réalisé plusieurs miracles. Lui et sa famille se sont agenouillés devant Maître en disant : « Merci, Maître, de m’avoir sauvé. » De tels exemples sont innombrables. Je ne vais pas en nommer d’autres à cause du manque de place.
Quand la série de conférences a pris fin, j’étais triste de devoir dire au revoir à Maître. En partageant mon expérience, je ne pouvais pas m’empêcher de pleurer... J’ai promis de bien me cultiver et d’être une vraie disciple de Maître.
Maître a dit :
« La souffrance des disciples je la sais entièrement, en fait je vous chéris plus que vous ne vous chérissez vous-mêmes ! » (« Eliminer le dernier attachement » tiré de Points essentiels pour un avancement assidu II)
« L'esprit occupé par toutes les affaires du monde humain,
Le cœur chargé de toute la souffrance du Ciel.
Vers qui se tourner pour parler ?
Là-haut, il fait encore plus froid. »
On ne peut que très peu comprendre ces choses là. Maître met un point d’honneur à être responsable envers la société et les élèves durant le processus de transmettre ses enseignements et les exercices. Nous ne saurons jamais totalement combien Maître a sacrifié pour les êtres dans cet univers et pour les pratiquants. Le langage humain ne nous permet pas de décrire combien notre Maître est merveilleux et magnifique.
En tant que pratiquants de la période de la rectification par la Loi, nous devrions être encore plus sérieux et magnifiques. Avec ces bons souvenirs, je suis motivée à bien me cultiver et remplir ma mission qui date de millions d’années. Dans ces moments précieux, je vais saisir chaque moment et être diligent pour faire les trois choses. Nous devons bien étudier la Loi, valider la Loi et sauver plus d’êtres afin que nous méritions le salut plein de compassion de Maître et suivions Maître sur le chemin du retour vers nos origines.
Note : Voilà dix ans que je voulais écrire cela. Mais à cause d’idées préconçues – j’avais peur de ne pas bien écrire – j’ai essayé plusieurs fois. A chaque fois je n’arrivais pas à continuer. Récemment, je me suis éveillée au fait que je devais partager avec les autres et documenter ces faits de notre grande Maître enseignant la Loi dans la monde humain, et documenter cette histoire magnifique et ces précieux moments.
Ecrit par un pratiquant de la province du Heilongjiang
19 février 2007
2 janvier 2007 (calendrier lunaire)
Mes pensées à la lecture de cet article
Ecrit par un pratiquant du Heilongjiang
Je viens de la même région que l’auteur de cet article. J’ai pleuré en lisant chaque article de la quatrième collection, « Souvenirs sur la Compassion de Maître ». Je ne peux pas exprimer toute ma gratitude à Maître. Notre Maître me manque beaucoup ! Je sais aussi que si tous nos pratiquants en Chine continentale se cultivent bien, et font ce qu’ils doivent faire, Maître sera bientôt avec nous.
Dans notre région, seuls deux pratiquants ont assisté aux conférences de Maître. L’un d’entre eux a été torturé à mort. Quand j’ai lu cet article, j’ai cru revoir ce pratiquant. J’ai pensé aux pratiquants dont les organes ont été prélevés alors qu’ils étaient encore vivants, et j’ai pensé aux pratiquants qui sont toujours détenus et torturés dans les prisons, les camps de travaux forcés et les centres de détention.
Je ne veux pas trop m’épancher ici. Je veux juste dire aux pratiquants que je veux vraiment réaliser mes responsabilité, réaliser la mission qui date d’il y a des millions d’années et remplir cette mission en tant que pratiquant dans la rectification par la Loi. Je veux aussi dire aux pratiquants de la région que durant cette période, nous avons la mission historique de sauver les êtres de cette région. Nous devons achever cela de manière stable et en respectant la sécurité, abandonner nos attachements pour se fondre dans la Loi, bien étudier la Loi, maintenir nos pensées droites, transmettre aux êtres la grande compassion de Maître et de Dafa, et apporter à chaque personne de cette région le message de salut afin qu’ils puissent avoir l’occasion de choisir leur futur.
Chacun de nous doit être une personne de contact et coordinateur compétent. Nous devons éliminer en profondeur tous les êtres maléfiques et les facteurs qui interfèrent avec notre xiulian et nous améliorer en tant que corps entier pour purifier notre environnement de xiulian.
19 février 2007
Traduit de l’anglais le 3 avril 2007