(Minghui.org)

J'habite dans la Communauté Hewanzi dans la Province de Jilin. Une de mes parentes est une pratiquante de Falun Gong. Elle a laissé ses livres de Dafa chez moi afin d'éviter la confiscation et elle m'a demandé de bien les protéger. J'ai rangé ces livres soigneusement sur le dessus d'un meuble.

Le 5 janvier 2001 du calendrier lunaire chinois, deux personnes de notre village ont eu un accident de motocyclette. Ils sont tombés par terre et de l'essence s'est renversée sur eux. L'une des deux personnes a oublié qu'il avait de l'essence sur ses vêtements lorsqu'il est venu chez moi pour fumer une cigarette. Il a allumé sa cigarette et il a été soudainement englouti dans les flammes, lesquelles se sont rapidement propagées au toit de ma chaumière. Cependant, le toit n'a pas pris feu. Nous avons rapidement transporté l'homme brûlé à l'extérieur. Il n'était pas gravement blessé excepté une petite brûlure sur la main, qui a été vite soignée après l'application de médicament.

Le feu a touché le toit inflammable, mais il ne l'a pas brûlé. Mon mari a demandé à notre parente comment c'était arrivé. Elle a répondu: "Parce que vous avez protégé des livres de Dafa, mon Maître a protégé votre maison." Un tel évènement miraculeux a eu immédiatement un gros impact sur la population locale et la nouvelle s'est largement répandue alentour.

Après avoir quitté le PCC, le fils s'est changé en une bonne personne et le père a recouvré la santé

L'année dernière, mon père en Chine se trouvait au stade terminal d'un cancer du nez. Ma mère ne voulait pas que je m'inquiète, aussi se garda-t-elle de m'en parler. Deux semaines après que mon père a commencé un traitement en dehors de la ville, ma mère m'a finalement mis au courant.

Elle m'a dit au téléphone que mon père était dans une situation critique, mais mon frère et ma belle soeur refusaient de prendre soin de lui. Ils n'étaient pas allés à l'hôpital pour le voir, et ils ne participaient pas aux dépenses. C'était vraiment mauvais. J'espérais pouvoir retourner à la maison immédiatement.
Heureusement j'ai eu une idée à propos de sa démission du Parti communiste chinois (PCC). J'ai réalisé que cela pouvait être une bonne opportunité de persuader mon père de le quitter. Mon père a été d'accord, contre toute attente.

Le troisième jour j'ai appelé de nouveau. Ma mère m'a dit avec joie que mon père se sentait beaucoup mieux—même le médecin en était bouleversé. Trois mois plus tard mon père sortait de l'hôpital; six mois plus tard il avait complètement récupéré. Tous les docteurs ont dit que c'était un miracle.

Le plus étonnant a été que le coeur froid de mon frère et de ma belle soeur a complètement changé. Ils sont allés voir mon père, ont donné de l'argent et ont aidé à faire les travaux ménagers. Nous sommes personnellement témoin du miracle qui peut résulter du fait de quitter le PCC. Maintenant mon père est tout près à m'écouter à propos de cultiver et pratiquer.