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Des prisons et des camps de travaux forcés à Shanghai bafouent les droits de l’homme et violent les principes de l‘OMC (Photo)

Dimanche 1 juillet 2007

(Minghui.org)


Les prisons et les camps de travaux forcés à Shanghai bafouent les droits de l’homme et violent les principes du commerce mondial. Dans les camps de travail ils fabriquent une grande quantité de produits pour exporter en Europe et en Amérique, perturbant les marchés commerciaux internationaux. Les prisonniers sont la main d’œuvre la moins chère du monde. Et chaque jour en Chine, ils sont forcés de s’adonner à un travail épuisant pendant de longues heures, sont battus par les gardiens de prison avec des matraques électriques et des ceintures en cuir. Illégalement détenus, les pratiquants de Falun Gong sont aussi forcés à participer. C' est une grave violation des règles de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

Voici une photo du journal interne de l’administration de la prison de Shanghai et du Bureau de réforme par le travail, appelé « Da Qiang Nei Wai » (A l’intérieur et à l’extérieur du Grand Mur). Selon le journal, la division 4 de la prison Tilanqiao de Shanghai était la première section de production établie dans la prison, aujourd'hui elle a la capacité de produire 400 000 vêtements par an et elle est équipée avec du matériel importé perfectionné. En 2003, sa valeur de production se chiffrait à plus de 5,2 millions de yuan, avec un bénéfice net de plus de 3,6 millions de yuan; en 2005, la valeur de production est passée à 5,8 millions de yuan, avec un bénéfice net de plus de 4,8 millions de yuan.

De nombreux pratiquants de Falun Gong sont détenus dans la prison Tilanqiao de Shanghai, la prison pour femmes de Shanghai, le camp de travail n°3 Qingpu de Shanghai et le camp de travail pour femmes de Qingpu. Sous la forte pression et les instructions de la dictature communiste chinoise, les gardiens ont infligé largement mauvais traitements et torture aux pratiquants de Falun Gong. La division 4 de la prison Tilanqiao de Shanghai fabrique des vêtements pour l’exportation derrière de hauts murs munis de fils électriques, sous l'appellation « Usine de Vêtement de Shenjiang. » Cette usine de vêtement prison est assez grande, produisant une large variété de produits dont des T-shirt en coton, des chemises et des sous-vêtements. De nombreux exportateurs visitent la prison pour passer leurs commandes.

De nombreux pratiquants de Falun Gong ont refusé de se soumettre à la persécution du pervers Parti communiste chinois (PCC), faisant remarquer que les pratiquants n’ont commis aucun crime, et refusent de participer à la soi-disant « réforme par le travail ». Certains ont dit qu’ils révéleraient les crimes du PCC à l’OMC. A cause de cela, les gardiens de prison utilisent toutes sortes de torture pour tenter de les forcer à renoncer.

Les gardiens de prison ont enfermé chaque pratiquant de Falun Gong dans une petite cage d’une taille de 3,3 mètres carré et les ont torturés avec un tabouret étroit spécialement fabriqué long de 20 cm, large de 5 cm et haut de 20 cm. S’asseoir sur un tabouret aussi minuscule c'est comme s’asseoir sur un petit bâton. Les gardiens de prison ont forcé les pratiquants à s’asseoir sur les tabourets de 5 heure 30 jusqu’à 20 heure, au total 15 heures par jour. Si les pratiquants refusaient d’ «avouer», ils étaient forcés de souffrir une telle torture une année après l’autre. Pendant qu’ils devaient s’asseoir sur les tabourets, ils étaient aussi forcés à faire face au mur, les yeux grand ouvert fixant le mur blanc toute la journée, les mains derrière leurs dos. S'ils échouaient à suivre ces exigences , ils étaient soumis à davantage de mauvais traitements, dont le passage à tabac et les abus verbaux, par des détenus spécialement choisis par les gardiens pour surveiller les pratiquants de Falun Gong.

De nombreux pratiquants de Falun Gong ont commencé une grève de la faim en guise de protestation contre la persécution et la torture. Parmi eux, Ju Yanlai a fait une grève de la faim pendant presque cinq ans. Les gardiens de prison l’ont traîné de haut en bas d' escaliers en béton jusqu’à ce que les jambes de Ju gouttent de sang et que les os dépassent à travers la chair arrachée par le frottement contre le béton rugueux. Le pratiquant Zhou Bin a reçu des coups de pieds brutaux dans le bas de son corps par des détenus à l’incitation des gardiens, causant de graves blessures à ses organes génitaux et à ses articulations. Beaucoup d’autres pratiquants dont Xiong Wenqi et Du Ya, ont été attachés à un lit de torture en bois spécialement conçu pour le gavage forcé pendant une longue période de temps, causant une hémorragie de l’œsophage. Les muscles de leurs membres se sont atrophiés à force d'être attachés à ce lit pendant longtemps. Le pratiquant Zhang Ming a été forcé de mettre un pot de chambre sur sa tête. Les détenus l’ont aussi forcé à mettre la tête dans le pot de chambre et ne lui permettaient pas de dormir. Certains pratiquants n’étaient même pas autorisés à s’asseoir et étaient forcés de s’accroupir toute la journée en guise de torture.

La prison pour femmes de Shanghai est spécialisée dans la confection de jouets en peluche et devêtements tricotés; les fabricants incluent Shanghai Haixin Toys Co. Ltd et CE Toy Ltd. La prison pour femmes de Songjiang est même plus cruelle dans la torture des pratiquantes de Falun Gong. Les pratiquantes sont soumises à des abus verbaux. Les détenues surveillantes privent les pratiquantes de sommeil avec l’excuse qu’elles doivent d’adhérer aux règles de la prison. Elles ont choqué Yang Manye avec des matraques électriques pendant longtemps parce qu’elle copiait des articles du Falun Gong. Plus tard, Yang Manye est tombée d'épuisement et a souffert d'une fracture compliquée de l’os. Elle a été envoyée à l’hôpital pour une opération. Les gardiennes de prison ont inventé des excuses et prolongé son terme de neuf mois. A présent, elle est détenue dans la prison pour femmes de Shanghai pour la deuxième fois. On dit que quand Yang Manye était détenue dans la deuxième division , la responsable adjoinet Wang Ming et la responsable d’équipe Xu Hong, ont mis les bras de Yang Manye derrière son dos et l’ont suspendue en l’air avec des ceintures en cuir. Plus tard ils l’ont placée en incarcération solitaire. La pratiquante Shen Zhuoying n’a pas été autorisée à quitter sa cellule pendant les quatre années de sa détention. Aussi chaud qu'il ait pu faire, elle n’a jamais été autorisée à prendre une douche. Elle a développé des infections de la peau et continué à souffrir jusqu’à sa libération.

La pratiquante de Falun Gong Dai Zhiying a dit ouvertement à une réunion : « Dafa est juste » après qu’elle ait vu le complot des gardiennes pour la « réformer ». Elle a été enfermée dans une petite cellule confinée de moins de trois mètres carré dans la chaleur de l’été à 38 degrés Celsius. Elle n’a pas été autorisée à prendre une douche et devait manger, utiliser les toilettes et dormir dans cette cellule. Afin de réduire son influence sur les personnes de la division, elles l’ont transférée en dehors de la «division strictement contrôlée » à un autre endroit où elles l’ont forcée à faire un travail intensif et essayé de la forcer à abandonner sa pratique.

Chaque division de la prison pour femmes de Shanghai a son propre réseau commercial, et par conséquent la prison produits divers biens incluant des jouets en peluche, des chemises, des chaussures et des produits électroniques. Les fabriquants incluent Shanghai Sanqiang Knitwear Ltd, Shanghai Dafuni Shoe Manufacture Ltd, Shanghai Yousheng Toy Ltd, Wujiang No. 1 Electric Device Company et Shanghai Qiaqia Food Ltd.

Le pratiquant de Falun Gong Fan Guoping a été transpercé avec des poinçons par des détenus qui le surveillaient sous les instructions des gardiens de la Troisième Division parce qu'il n'avait pas plaidé coupable et refusé d’obéir aux gardiens et aux détenus. Il a été enchaînée à un lit dans la position de l’aigle étendu. La pratiquante Zhang Ying a été suspendue en l’air les mains derrière le dos par le chef de la Première Division parce qu’elle a refusé de plaider coupable et refusait de participer à la réforme par le travail forcé et de rejoindre les activités de la prison. Elle a ensuite été transférée à la « division strictement contrôlée » et a été forcée de se tenir debout, le visage au mur et a été enfermée dans une cellule de confinement. Après avoir été transféré à la Deuxième Division, le chef de la division Wang Hanqing et le chef d’équipe Shen Qiaohong l’ont suspendue en l’air avec des ceintures en cuir pendant six jours parce qu’elle refusait de suivre les règlements de la prison. La deuxième fois ils l’ont détenue illégalement, elle a souffert d’une maladie du cœur et d’hypertension à cause d’une grève de la faim. Plus tard elle a découvert qu’une drogue blanche inconnue était introduite dans sa nourriture par la cantine de la prison, elle mangeait très peu, ce qui a conduit à un arrêt cardiaque. Elle a souffert de crampes constantes et était trop faible pour marcher. La pratiquante Cheng Wenying était souvent suspendue et mise en confinement pour ne pas avoir obéi aux gardiens de la prison. En conséquence elle a développé un désordre mental à cause du long tourment physique et mental. La pratiquante Liao Xiaomin a été forcée de se tenir debout pendant de longues périodes de temps pour avoir refusé d’être réformée à travers le travail. Elle a été privée de sommeil et a souffert d’incontinence et de confusion mentale. La pratiquante Li Jiu a été forcée de se tenir debout tous les jours pour avoir refusé de participer au travail d’esclave jusqu’à ce qu’elle fasse une rechute d’hypertension. Le deuxième fois elle a été illégalement détenue, ils ont mis une drogue toxique inconnue dans sa nourriture.

Le camps de travail N° 3 de Shanghai est encore plus barbare. Ils ont transféré tous les pratiquants de Falun Gong qui avaient refusé d’obéir aux ordres à l’hôpital de Qingpu, où le détenu Si Guanlong et d’autres, sous les instructions des gardiens, ont torturé les pratiquants avec une nouvelle forme de Banc du Tigre. Le pratiquant Lu Xingguo a été battu à mort en moins d’une heure. Le pratiquant Guo Mianfu a été choqué par des détenus avec cinq matraques électriques jusqu’à ce qu’il devienne incontinent. Les tortures que les pratiquants ont endurées sont trop nombreuses pour les décrire toutes.

Le PCC est un Parti malfaisant qui s’est toujours engagé dans la violence. Il est le plus habile dans les tactiques de dissimulation, la tromperie et les mensonges quand il a affaire à des personnes bienveillantes dans le monde. En terme de droits de l’homme, le PCC dit effrontément au monde que « les réalisations de la Chine attirent l’attention du monde.» Dans le commerce, il trompe les pays en Europe et en Amérique en disant que « il n’y a aucun autre pays comme la Chine dans le monde qui peut fournir et exporter des biens de qualité bon marché avec une livraison rapide; que les pays en Europe et en Amérique devraient être patient avec la Chine, et ne devrait pas affronter la Chine, ne devraient pas adopter une politique de protectionnisme commercial et ne devraient absolument pas politiser le commerce. » En fait en terme de droits humains, très peu de pays dans le monde croient vraiment aux mensonges du PCC. Pourtant, bien que le PCC admette que « le travail bon marché est le facteur clé pour assurer le pouvoir compétitif des biens d’exportation de la Chine, » divers pays autour du monde qui engagent de larges sommes de leur commerce extérieur avec la Chine n’auraient jamais imaginé que le régime du PCC utilise un grand nombre de prisonniers à coût zéro et de détenus des camps de travail pour produire de grandes quantités de produits à bas coût pour rivaliser sur le marché mondial.

Les usines de confection dans les prisons et les camps de travail en Chine sont des « usines de sang et de sueur » et les prisonniers de la main d’œuvre gratuite qui n’a aucun syndicat, aucun droit et aucune liberté. Il y a eu une fois un incident qui s’est produit dans une prison. Un prisonnier a perdu sa carte d’identité (avec le nom de la prison, le nom du prisonnier et le numéro dessus) dans l’emballage d’un vêtement à exporter aux Etats-Unis. Les gardiens ont immédiatement ordonné à tous les prisonniers d’arrêter leur travail et de déballer tous les colis pour chercher le carte d’identité. Ils étaient très angoissés et criaient: « Si vous ne trouvez pas la carte et qu’elle part en Amérique, et si les Américains la trouvent , cela aura un impact international et sabotera la stratégie internationale de notre pays. Si cela arrive vous serez entièrement responsables de toutes les conséquences. Vous devez la trouver aujourd’hui; autrement personne n’est autorisé à dormir! » A partir de cet incident on peut voir que derrière la diplomatie souriante du PCC, il y a un gigantesque plan caché .Toutes les soi-disant politiques économiques stratégiques et les partenaires commerciaux sont en fait une partie de la « stratégie de tromperie globale » du PCC, qui non seulement perturbe le commerce global et les marchés de la finance, mais aussi envoie de grandes quantité de nourriture toxique et d’autres produits toxiques aux pays développés, en causant des dommages aux gens dans ces pays.