(Minghui.org)

Le pratiquant de Falun Gong M. Li Enying de la Cinquième ferme du comté de Tanghai, à Tangshan, dans la province du Hebei, est mort le 29 juillet 2007, sous les mauvais traitements que lui a infligés l’équipe no. 304 du camp de travaux forcés municipal de Shijiazhuang dans la province du Hebei. Il n’avait que 53 ans.

M. Li Enying

Chaque pratiquant qui a appris la nouvelle en a été très affecté et indigné, ils ont dit qu’il était difficile d’exprimer ce que l’on ressent à l’annonce d’une telle nouvelle. Ils étaient tristes aussi pour ceux qui ne savent pas la vérité sur le Falun Gong et participent à la persécution. « Si ces gens ne se réveillent pas à temps, et qu’ils continuent à suivre le parti communiste chinois en commettant ces exactions, il sera trop tard pour regretter quand le parti pervers sera dissout. »

Tous ceux qui connaissaient M. Li Enying ont dit que c’était un homme bon. Il avait commencé à pratiquer le Falun Gong en 1997 et en avait beaucoup bénéficié tant au niveau de sa santé que de son caractère. Il se souciait beaucoup des autres et avait aidé de nombreuses personnes autour de lui à découvrir la beauté du Falun Dafa. Les gens ont appris le Falun Gong les uns après les autres. De nombreuses personnes dans la société savent maintenant que les pratiquants sont des gens bons, qu’ils sont droits, sincères et doux. Dans la société actuelle, pour obtenir des intérêts personnels, les gens se battent et s’inquiètent toujours de perdre leurs intérêts personnels. De nombreuses personnes se méfient des autres, personne ne parle d’honnêteté et personne ne se sent en sécurité. Donc la sincérité, la gentillesse et la tolérance des pratiquants ont gagné la reconnaissance de nombreuses personnes de bien.

Le 20 juillet 1999, la clique de Jiang a commencé à persécuter à grande échelle le Falun Gong. En l’espace d’une journée on pouvait entendre partout des rumeurs et des attaques. M. Li Enying a été arrêté à quatre reprises à partir du moment où la persécution a commencé. Trois policiers du comté de Tanghai l’ont violemment battu au point que son corps soit couvert de sang. Les policiers du poste de police de la cinquième ferme du comté de Tanghai ont extorqué huit mille yuans à sa famille.

Dans le but d’éviter d’être de nouveau arrêté, Li a dû quitter son domicile et vivre de menus travaux dans d’autres villes. En février 2007, alors qu’il travaillait dans le District Fengrun de la ville de Tangshan, des policiers du département de police de Tangshan l’ont kidnappé pour l’emmener au camp de travaux forcés de Shijiazhuang.

Au camp de travaux forcés de Shijiazhuang, M. Li a été incarcéré avec des criminels. En l’espace de six mois, il a été torturé au point de frôler la mort. Pour échapper à leur responsabilité, les dirigeants du camp ont secrètement notifié sa famille en juillet 2007 de venir le chercher.

Quand la famille s’est précipitée au camp de travaux forcés de Shijiazhuang, M. Li venait de recevoir des injections de substances inconnues. Quand la famille l’a ramené à la maison, il était déjà sur le point de mourir. Tout son corps était gonflé, il avait beaucoup de difficultés à respirer et à manger. Il avait une mauvaise toux et crachait sans cesse de la glaire. Quand il essayait de s’allonger pour dormir, il ne pouvait plus respirer. 13 jours après être rentré chez lui, il est mort, c’était le 29 juillet 2007. Sa famille a remarqué que la peau derrière ses oreilles et dans son dos était toute bleue. En plus, durant ses 13 derniers jours chez lui, M. Li a pu parler de manière intermittente de ce qu’il avait vécu au camp de travaux forcés. Comme il avait refusé de renoncer à sa pratique, les gardiens l’ont privé de sommeil, l’ont forcé à rester assis sur une planche dure pendant des périodes de temps prolongé, et ont aussi incité des criminels de droit commun à le violenter. Les circonstances exactes qui ont causé sa mort ne sont pas claires, et sa famille a ouvert un dossier auprès du département de police.

Voilà un homme qui était en excellente santé, un homme qui jouissait d’une bonne santé à la fois physique et mentale parce qu’il pratiquait le Falun Gong, et qui a fini par être persécuté à mort, à la merci de ses bourreaux. Voilà un autre crime commis par le parti communiste chinois. Un vieil adage dit que toute affaire concernant une vie humaine doit être traitée avec beaucoup de soin. Jiang et le PCC ont commencé à persécuter le Falun Gong le 20 juillet 1999. Ceux qui ont participé au harcèlement, aux arrestations et à la persécution de M. Li Enying : le comité du parti du comté de Tanghai, le gouvernement du comté, le comité politique et légal du comté, le bureau 610 du comté, l’école de droit, le département de police du comté, le centre de détention du comté, le comité du Parti de la ferme No. 5, le bureau 610 de la ferme, et le département administratif, ainsi que les personnes sans foi ni loi de la huitième équipe de la ferme, sont responsables de la mort de M. Li Enying, un crime dont ils ne peuvent pas se disculper. Le crime de persécuter des pratiquants est intolérable et doit être remboursé.

Le pratiquant Li Enying est mort. Mais comme il a persévéré dans sa foi en « Vérité-Bonté-Patience » sa vie s’est élevée. Bientôt les gens pourront voir la grandeur de la détermination d’un être noble  et ces criminels vont recevoir la rétribution qui leur est due.

Traduit de l'anglais en France le 22 août 2007