(Minghui.org)
En raison de la persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois, j'ai été arrêté et condamné à quatre ans de prison. En mars 2005, j'ai été emprisonné dans l'équipe de formation de la prison de la ville de Hulan. À ce moment-là, les prisonniers étaient forcés d’éplucher de l'ail. Comme forme de résistance à la persécution, j'ai refusé de faire ce travail. Un autre prisonnier, d’environ 50 ans, ne pouvait pas travailler parce qu'il était malade. Il s'est assis contre le mur à côté de moi.
Ce détenu s'est tourné vers moi et m’a dit : « J’arrive à ma fin. » Je lui ai demandé pourquoi. Il a dit : « Je souffre de la tuberculose, avec des expectorations et des hémorragies. Je suis allé deux fois à l'hôpital, mais il y a tant de monde que je n’ai pas pu recevoir un traitement. » Je l'ai regardé et j’ai dit : « Tu peux te sentir bien si tu dis dans ton esprit « Falun Dafa est bon ». » L'homme m’a fait un clin d’œil et il a dit : « Oui, je le ferai : »
Quatre jours plus tard, il m'a dit joyeusement que sa maladie avait disparu et qu’il n’avait plus d'expectoration, ni d’hémorragie. Il était vraiment rempli de joie. Il m'a dit également : « J'ai rêvé d'un Bouddha. » Quand je lui ai demandé à quoi ressemblait le Bouddha, il a dit : « Il brillait comme de l'or et il volait dans le ciel. » « T’a-t-il dit quelque chose ? » Il a répondu : « Le Bouddha m'a dit : « Tu dois devenir une bonne personne quand tu seras libéré. » Il m’a également dit que parmi les 100 personnes dans cette pièce, moins de 10 seraient gardées pour le futur. Après cela, il a disparu. »
Deux jours plus tard, l'équipe de formation a été partagée en groupes différents, et il a été envoyé dans une prison nouvellement construite dans la ville de Harbin. Avant de partir, il m’a dit sincèrement : « Je pratiquerai le Falun Gong après ma libération. » Il a été condamné à trois ans de prison et il savait que ma peine était de quatre ans. Il m'a demandé d'aller à sa maison pour lui enseigner le Falun Gong et il m'a donné son adresse. J'ai accepté en pensant qu'une personne de plus allait obtenir la Loi.
Dans la prison de la ville de Hulan, beaucoup de gens attrapaient la grippe, particulièrement pendant les changements des saisons au printemps et à l’automne. Un prisonnier d’une quarantaine d’année m'a dit : « Je souffre de refroidissements et de la grippe maintes fois chaque année et il m’est tellement difficile d’obtenir des médicaments ou de me faire faire des injections à l’hôpital. Je suis désespéré. » Je lui ai dit : « Si tu fais confiance à mes paroles, tu n’auras plus besoin d'avoir des médicaments et des injections. » Je lui ai raconté l'histoire de l'autre homme qui avait récupéré de la tuberculose. Alors il a commencé à dire dans son esprit « Falun Dafa est bon. » Quand il m'a revu quelques jours plus tard, il m'a dit qu’il ne souffrait plus du refroidissement. A partir de ce moment, il disait aux autres à quel point le Falun Gong est impressionnant et mentionnerait qu’il pratiquerait le Falun Gong après sa libération.
Traduit
de l’anglais en Suisse le 24 octobre 2008