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Pratiquer à l’extérieur

18 février 2008 |   Écrit par un pratiquant de Falun Gong d’Israël

(Minghui.org)

J’aimerai partager mon expérience de pratiquer les exercices dans les jardins de ma ville natale.

Trois mois après que j’ai commencé à pratiquer, j’ai déménagé pour une autre ville. Dés le début, j’ai décidé que je devrais pratiquer exercices à un point de pratique, ainsi d’autres personnes pourraient en bénéficier aussi. Etant donné qu’il n’y avait pas de point de pratique à Hadera, là ou j’avais emménagé, un compagnon de 'cultivation' et moi en avons établi un. Le fait que nous n’attirions pas l’attention du public tout le temps nous était égale. Au début nous avions l’attachement de vouloir être vu par « le plus de monde possible », mais nous l’avons abandonné assez rapidemnt. Néanmoins nous avons décidé de déplacer le point de pratique dans un endroit plus central, ainsi nous pourrions clarifier la vérité à plus grande échelle de cette façon, nous avons réussi à générer plus d’attention et fait que beaucoup de gens veuillent comprendre qu’est que le Falun Dafa et la persécution.

Durant tout ce processus, j’ai décidé que je devrais toujours faire les exercices à l’extérieur. Je préfére pratiquer à l’extérieur et être vu par les gens, qui de cette manière apprennent ce qu’est le Falun Dafa et la persécution. Je ne m’inquiète pas du fait qu'ils pratiquent dans le futur ou pas. C’est leur propre affaire. Je suis juste une porte ouverte leur permettant de connaître la méthode et la persécution.

Je portais mon tee-shirt Falun Dafa et j’allais pratiquer les exercices dans le centre ville. Au début, j’ai rencontré beaucoup d’interférences. Les matins il y avait des mouches, des employés municipaux qui tondaient le gazon, et même un aveugle qui m’a heurté deux fois.

Les après midi, il y avait des moustiques, des enfants qui m’ennuyaient, et d’autre formes d’interférence diverses et plus sévères. Mais à partir du moment où je pouvais les traiter comme des interférences temporaires plutôt que faisant partie de l’environnement, elles devenaient facile à dépasser. J’avais aussi une peur troublante d’être reconnu par quelqu’un que je connaissais. Avec persistance j’ai dépassé cela aussi. Maintenant ces interférences sont parties, et si elles se montrent, elles ne prennent pas d’importance.

Quand je pratique dans des endroits plus centraux, beaucoup de gens me voient, et rien que cela atteint l’objectif. Lorsque je pratique dans des endroits tranquilles et plus intimes, des passants s’arrêtent et posent des questions. J’explique alors la méthode et la persécution. Une personne est restée debout et a tenu une longue conversation avec moi. Il a dit qu’il m’a vu pratiquer dans le centre ville et voulait me demander ce que j’étais entrain de faire. Donc, la façon dont je vois les choses : les deux endroits ont leurs avantages et leurs inconvénients.

Souvent j’entends des passants chuchoter, “ Qu’est ce que c’est ? Est-ce du yoga ? Les gens pensent que cela ressemble au yoga, mais sentent que c’est différent. Ceci me permet facilement d’expliquer plus clairement ce qu’est la méthode.

Faire les exercices dans le centre ville a fait que je suis un visage connu, ainsi celui qui veut connaître la méthode et la persécution peut toujours me le demander. Je pense que pratiquer à l’extérieur est un moyen fondamental et efficace de clarifier la vérité et d’offrir le salut à tous êtres vivants. C’est aussi une bonne façon de pratiquer avec diligence.


Ce sont mes compréhensions limitées.


Traduit de l'anglais de : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2008/1/10/93150.html