(Minghui.org)
Le dimanche passé, au cours
du partage en groupe, plusieurs dans notre groupe ont parlé des choses
qui étaient vraiment miraculeuses. Je les ai mis sur le papier pour les
partager d’une façon plus large.
Un jour, un pratiquant rentrait à la maison après une étude de la Loi en groupe. Comme il habite loin, il amène souvent les documents de la clarification de la vérité pour d'autres pratiquants dans sa région. Ce jour-là, il était dans un bus avec deux grands sacs de ces documents. Un jeune homme a affirmé que le pratiquant avait marché sur son pied. En fait, puisque le pratiquant portait des grands sacs, son corps gardait une certaine distance du jeune homme et il lui était impossible d’avoir marché sur le pied du jeune homme. Cependant le pratiquant n'a pas disputé. Au lieu de cela il a demandé : « Où ai-je marché sur vous ? Je vais le nettoyer pour vous. » Alors le jeune homme a dit : « Mes chaussures coûtent 300 yuans. Comment peux-tu les nettoyer bien ? » Il a insisté pour que le pratiquant paye 100 yuans pour ses chaussures. Le pratiquant savait que c'était les forces anciennes qui essaient d'utiliser cette personne pour commettre des crimes contre la Grande Loi et les pratiquants de Dafa. Il a eu pitié pour le jeune homme et il lui a dit qu'il n'avait pas d’argent sur lui.
Le jeune homme ne l'a pas cru. Peut-être les deux grands sacs lui ont fait penser que le pratiquant était un homme d'affaires. Il a sorti un couteau de l'armée, l’a pointé contre le ventre du pratiquant, a enroulé ses manches pour montrer les traces d'aiguilles sur son bras et a dit férocement : « Sais-tu quel genre de personne je suis ? Si tu es intelligent, donnes-moi de l'argent. Autrement je vais te poignarder et cela pourra te coûter plus de 5 000 yuans ! »
Le jeune homme avait un associé. Personne dans le bus n'a osé dire quoi que ce soit. Le chauffeur a fait semblant de ne rien voir. Le pratiquant n'a pas eu peur. Il a pensé : « Je fais la chose la plus droite au monde. Comment peux-tu me toucher ? » Il a envoyé des pensées droites pour éliminer les forces perverses derrière le jeune homme et il a dit calmement : « Si j'avais de l'argent, cela m’importerait peu de vous donner 100 yuans. Mais je n'ai pas du tout d’argent, qu’importe si vous me poignardez ou pas ! »
Le jeune homme a commencé à compter : « Un, deux... » et son couteau s’approchait de plus en plus de la peau du pratiquant. Mais il n'est jamais arrivé à prononcer le chiffre « trois». Très vite après cela, les deux hommes sont descendus du bus.
Un autre jour, je suis allé clarifier la vérité avec une compagne de pratique. Elle a des pensées droites très fortes. J'ai dû acheter des légumes au supermarché, ainsi nous nous sommes séparés. Elle m’a dit sur un ton autoritaire: « Après tes courses, tu vas aller à pied à la maison. Si tu rencontres des personnes prédestinées, tu pourras clarifier la vérité. »
Je lui ai dit que j’étais d’accord, mais dans ma tête je pensais que je devrais prendre un bus, car le repas se préparait déjà à ma maison. Après avoir fini mes courses, à ma propre surprise j’ai découvert que j'avais dépensé tout mon argent et que je n’avais pas un sou dans ma poche. Il ne me restait qu’à penser à la puissance d’une seule phrase d'une pratiquante qui a bien cultivé, ainsi je suis allé à pied à la maison.
Sur mon chemin, j'ai rencontré une vieille femme qui portait un sac de riz et marchait très lentement. Quand je me suis approché d’elle, je lui ai dit : « Laissez-moi vous aider à porter le riz, grand-mère. » Elle a dit : « Je ne veux pas vous embêter. » Alors j’ai répondu : « C’est bien pour un jeune de faire un peu de travail physique » et j’ai pris son sac.
Nous avons commencé à parler. Je lui ai dit que j'étais un pratiquant de Falun Dafa et que mon Maître nous a dit d’être de bonnes personnes. Je lui ai appris à dire « Falun Dafa est bon » et « Zhen Shan Ren sont bons. » Elle était très heureuse et a continué à répéter quand nous nous sommes séparés : « Le Dafa est bon ! Le Dafa est bon! »
Traduit
de l’anglais en Suisse le 21 février 2008